Atlas de la ville de Caen en relief et en couleurJean Poitevin |
Merci à tous ceux, qui directement ou indirectement ont aidé à la rédaction de ce guide.
Merci aux historiens qui m’ont permis d’émailler le texte de notes historiques ou géographiques. Merci en particulier à Pierre Gouhier, pour son ouvrage "Caen", qui m’a été d’une aide précieuse. J’en profite pour lancer un appel à ceux qui voudraient bien reprendre, pour le compléter le travail de Pierre Gouhier, là où il l’a laissé, certaines rues, places ou monuments n’existant pas lors de la publication de son ouvrage, en 1986.
Les sites Internet ont été également d’un grand secours et Madame Wiki Pédia, entre autres, n’a jamais été avare de renseignements.
Merci au groupe de travail de Cécitix qui s’est réuni régulièrement et dont la contribution fut toujours constructive.
Merci à Raphaël et Nicolas pour leur contribution dans la mise en forme aux formats PDF et HTML.
Un grand merci à Emmanuelle, Nicolas et Mathilde pour leur relectures minutieuses.
Merci à Marie-José qui m’a souvent servi de documentaliste et m’a apporté une aide précieuse grâce à sa bonne connaissance de la vie culturelle caennaise.
Merci à Mathilde et à son travail de cartographie, sans qui je n’aurais pu entreprendre la rédaction de ce guide.
Merci à ceux et celles qui ont prêté leur voix sans la quelle ce guide serait resté muet.
Jean Poitevin
14 février 2014
L’association Cécitix, tient à remercier la ville de Caen, l’Agglomération Caen-la-Mer, le Conseil Général du Calvados, la Fondation de France, la Fondation Harmonie Solidarités, l’Association les Bouchons d’Amour, le Groupe Intégrance, les Opticiens Mutualistes, les Magasins Leclerc de Caen et le magasin Cora de Caen pour avoir contribué à la réalisation de ce projet. Nous remercions également Hoëlle Corvest et Christian Bessigneul pour leurs conseils précieux et leurs encouragements amicaux. Nous tenons également à remercier Pierre Fustier de l’Impremerie Laville toujours à notre écoute.
La connaissance que nous avons du monde, proche ou lointain, se fait principalement grâce à la perception visuelle. De plus en plus souvent, l’image vient illustrer, compléter, voire remplacer le texte ou la parole. On affirme d’ailleurs ici ou là, que 60 à 80 pourcent des informations passent par la vue. Ceci n’est pas nouveau et depuis fort longtemps, même avant que l’éducation des aveugles soit prise en compte, on a cherché des solutions pour que les déficients visuels puissent, eux aussi, avoir accès à l’information à travers l’image. Le mathématicien Saunderson, dont nous parle Denis Diderot dans sa "Lettre aux Aveugles", traçait ses figures géométriques sur le sable. D’autres se faisaient fabriquer des silhouettes en papier ou usaient d’autres expédients toujours aussi éphémères ou fragiles. Pour éduquer les aveugles à partir de la fin du XVIIIe siècle, on commença à fabriquer des cartes de géographie. Pierre Henri dans sa biographie de Louis Braille signale l’introduction de cartes en relief par Monsieur Guillié, directeur de l’Institut Royal des Jeunes Aveugles vers 1820, cartes que l’on doit à l’"aveugle de Manheim". Depuis, les exemplaires de cartes pédagogiques présents dans les instituts spécialisés dans l’éducation des aveugles sont devenus chose commune. Si on y ajoute les collections d’animaux empaillés, de reproductions anatomiques en plâtre ou d’autres objets, ceci montre bien que les aveugles et ceux qui se préoccupent de leur éducation ont toujours eu un souci constant de représentation du monde sous toutes ses formes. Cependant, la production d’images tactiles reste souvent confidentielle et rare même si elle commence à sortir des établissements spécialisés. Certes, on trouve ici où là, des "livres en relief", mais, soit qu’il s’agisse d’ouvrages dont le "tactile" n’est qu’un des éléments, soit qu’il s’agisse d’ouvrages entièrement dédiés au toucher, le plus souvent ils ne sont pas adaptés à la "lecture tactile" envisagée comme "lecture". Les images tactiles vraiment adaptées sont rares car peu d’éditeurs s’y intéressent. Elles sont confidentielles car on ne les trouve pas dans les lieux de distribution habituels du livre. Pour se les procurer, il faut connaître les circuits spécialisés, peu connectés avec les circuits de distribution classique. D’autre part, pendant trop longtemps, l’éducation des aveugles s’est cantonnée dans l’apprentissage du Braille et c’est depuis peu (deux ou trois décennies), que l’on se penche sur la formation des déficients visuels à une "lecture tactile" prenant en compte non seulement l’alphabet Braille, mais aussi toutes les autres formes de relief, l’élaboration de compétences nouvelles concernant la communication graphique et le dessin en relief. Rareté des images tactiles et rareté de la demande ont fait que les bibliothèques d’images tactiles sont encore aujourd’hui trop peu garnies. Heureusement les initiatives, quoi que peu nombreuses, se multiplient pour fournir aux aveugles et mal-voyants une représentation du monde sous forme d’images tactiles adaptées. Des stages sont organisés pour leur permettre d’acquérir les compétences nécessaires car, contrairement à ce que l’on pourrait penser, la perception tactile, si elle reste le mode d’appropriation du monde le plus précis pour les aveugles, ne s’acquière pas d’emblée et implique pour certaines activités un apprentissage et une pratique soutenus. Le projet d’Atlas de la ville de Caen en relief et en couleur s’inscrit dans cette démarche : mettre à la disposition des déficients visuels un outil qui les aidera à s’y retrouver dans une ville de taille moyenne et avoir accès à un nouveau stock d’"images tactiles" élargissant la possibilité de pratique de la "lecture tactile". Le but sera aussi atteint, si d’autres, s’inspirant de ce projet, se lancent à leur tour dans l’aventure, et contribuent à la constitution de cette grande librairie d’images tactiles que beaucoup d’aveugles appellent de leurs voeux.
Jean Poitevin
14 février 2014
L’objectif de ce guide audio est de vous emmener, à l’aide de 38 cartes en relief et en couleur, à la découverte de la ville de Caen et de son Agglomération.
Il est divisé en chapitres indépendants, ce qui vous laisse la possibilité d’explorer une partie qui vous intéresse plus particulièrement, d’y revenir à l’occasion ou de parcourir l’ensemble en partant du premier chapitre de l’atlas jusqu’au dernier. Chaque chapitre correspond à une des 38 cartes que contient l’Atlas. La Carte numéro 39 présente la légende des codes graphiques utilisés.
Nous nous sommes efforcés, à chaque fois que cela est possible, de conserver toujours la même méthode d’exploration. L’exploration d’une carte commencera toujours par la découverte des éléments extérieurs pour vous donner une impression d’ensemble et pour faire un lien avec les cartes voisines, puis progressivement, vous serez amenés à pénétrer à l’intérieur de la carte pour aboutir au cœur de celle-ci. Enfin, toujours à partir d’un ou plusieurs points excentrés, il sera proposé d’atteindre un élément significatif de la carte (monument, espace vert, bâtiment public etc.) par des cheminements variés.
Afin de rendre la lecture moins aride, nous avons agrémenté le texte de quelques informations ayant trait à l’histoire de la ville et à l’origine de certains tracés de rues dessinés parfois à partir d’anciens cours d’eau ou longeant une ancienne voie ferroviaire par exemple. Ainsi, nous espérons que vous pourrez peu à peu vous approprier cet Atlas et avoir une meilleure connaissance de la ville de Caen.
La première carte (carte A), campe Caen dans son environnement géographique et administratif, l’Agglomération Caen la mer. Les quatre suivantes (B C D E), montrent une vision globale de la ville sous quatre points de vue différents. Les 33 cartes suivantes, numérotées de 1 à 33 sorte de puzzle, présente la ville en autant de carrés de même taille. Chaque carte est imprimée sur un carré de format 32 CM par 32 CM, l’échelle allant de 1/80 millièmes pour l’agglomération Caen la mer à 1/3 millième pour les 33 carrés, en passant par 1/25 millièmes pour les quatre cartes montrant Caen dans sa globalité.
Le texte de ce guide audio est également accessible sur le site de l’Association Cécitix. Pour que la prononciation des codes formés de plusieurs caractères, soit compréhensible par une synthèse vocale, les éléments du code ont été séparés par un espace qui n’apparaît pas sur la carte. Les codes formés d’un seul caractère sont en majuscule si nécessaire, ceci pour faciliter la lecture tactile. Les puristes seront peut être surpris de l’utilisation répétée et non-justifiée de la virgule. Nous espérons qu’ils voudront bien nous accorder leur indulgence. Cet usage abusif et parfois inapproprié, permet une meilleure audibilité avec certains synthétiseurs vocaux. Pour favoriser la mémorisation, le code d’un élément se compose le plus souvent de ses deux premières lettres. Les éléments qui comportent le nom d’un saint, commencent toujours par la lettre "s", ceux qui comportent le nom d’un général, commencent par la lettre "g" et ceux qui portent le nom d’un maréchal la lettre "m". Lorsque, dans une carte, le même code est utilisé, il ne s’agit pas d’une erreur. Ce code s’applique à deux éléments dont la représentation graphique est différente (rue et place par exemple). Lorsque nous utilisons le terme croiser, ceci signifie que nous passons devant le début ou la fin d’une rue. Lorsque nous employons le terme couper, cela signifie que nous traversons une rue. Pour éviter toute ambiguïté, nous avons préféré, le plus souvent, l’emploi des points cardinaux, aux termes haut, bas, gauche et droit, dont la signification peut varier en fonction du sens de déplacement sur la carte. La lecture d’un plan, d’une carte, ne va pas de soi. Au début, vous éprouverez peut être quelques difficultés, cela est tout à fait normal. Ne vous découragez pas!!!
En 1990, l’Agglomération de Caen s’organisée en district. Elle devient Communauté d’Agglomération en 2002, sous le nom de "Grand-Caen", puis est renommée Agglomération Caen la mer en 2004. Elle se compose alors de 29 communes. En 2013, elle est élargie à 35 communes. Quatre d’entre elles forment la façade maritime. Trois cours d’eau traversent l’Agglomération. Deux sont naturels : l’Orne et l’Odon qui rejoint l’Orne à Caen. Le confluent de l’Orne et de l’Odon forme le bassin Saint Pierre. Le troisième, le Canal de Caen à la Mer, est artificiel. Sa création date du milieu du XIXe siècle.
Avant de nous lancer dans cette promenade, observons le contour de la Communauté d’Agglomération. La partie gauche est formée par une diagonale ponctuée de creux et de bosses. La partie supérieure se compose d’une ligne légèrement inclinée vers la droite puis d’une inclinaison brusque vers le bas. Sur la partie droite, on trouve une sorte d’excroissance relativement importante. Dans la partie inférieure, apparaissent deux pointes, l’une, dans le coin inférieur gauche, l’autre à peu près au centre. Si nous laissons notre imagination vagabonder, cela peut suggérer le profil d’un animal fantastique, au dos bosselé, à la tête surmontée d’une crête, au mufle allongé, muni de pattes courtes. Cela peut aussi évoquer le profil d’un homme, aux cheveux ondulés, coiffé d’un chapeau, dont l’appendice nasal serait de taille anormalement grande. Un hommage involontaire à Cyrano de Bergerac ?
La mer occupe l’angle supérieur droit de la carte. Elle forme un grand triangle dont la base, un peu incurvée, représente la limite du littoral. Plaçons-nous à l’extrémité gauche de ce triangle et commençons à descendre en longeant la côte. Nous entrons d’abord dans la commune de Lion-sur-Mer, (30), puis nous traversons Hermanville-sur-Mer, (29). Nous parvenons ensuite à Colleville-Montgomery, (28), puis, tout à fait à l’Est, à Ouistreham, (27). Ici, tout à fait à droite, insérées dans le triangle représentant la mer, nous trouvons les lettres "c a", qui indique le départ du Canal de Caen à la Mer. Ouistreham est la commune maritime la plus importante. Le canal lui donne un statut tout particulier. Elle dispose d’un grand port de plaisance et c’est là que se trouve la passerelle des Ferries pour Portsmouth en Angleterre. Enfin, à partir des lettres "c a" nous pouvons commencer à suivre le cours du canal qui devient, pour un temps, la limite de la commune de Ouistreham et la limite de l’Agglomération. À ce niveau, à l’extérieur de l’Agglomération Caen la Mer, le code "o r" marque l’embouchure de l’Orne qui se jette dans la mer de la Manche, dans la baie de Sallenelles. Nous allons maintenant poursuivre cette découverte en traversant les communes de l’Agglomération, situées à l’Est. Au Sud de Ouistreham, nous entrons dans Saint-Aubin-d’Arquenay, (26), puis nous arrivons à Bénouville, (25). La limite Est de la commune de Bénouville est formée dans sa partie supérieure par le canal puis dans sa partie Sud par le cours de l’Orne. Au Sud de Bénouville, Blainville-sur-Orne, (24), coupée par le canal quasiment en son milieu. L’Orne reste encore la limite Est de la commune. Au Sud-Est, nous arrivons à Colombelles, (22). L’Orne, après y avoir pénétré, devient la limite Ouest de la commune. Plus à l’Est, se trouvent les communes de Cuverville, (21), puis Sannerville, (20). En nous déplaçant vers l’Ouest, à partir de Sannerville, nous traversons Démouville, (19), puis Giberville, (18). Prenons maintenant la direction du sud. Après Mondeville, (17), nous traversons Cormelles-le-Royal, (16), pour parvenir à Ifs, (15). À l’Ouest d’Ifs, nous arrivons à Fleury-sur-Orne, (13), puis nous parvenons à l’extrême Sud de l’Agglomération à Saint-André-sur-Orne, (14), le fleuve formant la limite Ouest de ces deux communes. Notons un petit bras de l’Orne juste à l’extérieur de l’Agglomération. Remontons au Nord sur Fleury, (13), puis partons vers l’Ouest. Traversons l’Orne, nous sommes tout de suite à Louvigny, (12), longée à l’Ouest par l’Odon. En traversant l’Odon, nous nous trouvons à Tourville-sur-Odon, (11), puis plus au Sud, nous parvenons à Éterville, (10). Ces deux communes sont bordées à l’Est par l’Odon qui les sépare de Louvigny. Déplaçons-nous maintenant sur le coin inférieur gauche de la carte. Nous nous trouvons sur la commune de Mouen, (9), située à la pointe Sud-Ouest de l’Agglomération. En remontant vers le Nord, à partir de Mouen, Nous sommes maintenant à l’Ouest de l’Agglomération. Les deux communes suivantes, Verson, (8), et un peu plus sur la droite, Tourville-sur-Odon, (7) sont bordées à l’Est par l’Odon. Continuons à l’Ouest en remontant vers le Nord à partir de Verson. Nous arrivons à Carpiquet, (6), où se trouve l’aéroport puis passons à Saint-Germain-la-Blanche-Herbe, (5). Nous traversons ensuite Authie, (4), puis Saint-Contest, (3). Plus au Nord, nous voilà à Villons-les-Buissons, (35). Dirigeons nous maintenant vers l’est. Traversons Cambes-en-Plaine, (34), puis remontons pour atteindre Mathieu, (31). Un petit crochet à droite pour entrer dans Périers-sur-le-Dan, (32), puis repartons en direction du Sud. Encore un effort, nous sommes presque arrivés. Nous passons par Biéville-Beuville, (33) puis par Éperon, (2). Un petit crochet vers l’Est nous amène à Hérouville-Saint-Clair, (23). Nous y retrouvons le canal, et à droite, l’orne qui forme la limite Est de la commune. Hérouville-Saint-Clair constitue un pôle important de l’Agglomération Caen la mer. Elle accueille de nombreux services et établissements administratifs ou culturels. Enfin, quittons Hérouville-Saint-Clair par le Sud. Nous voici à Caen au bout de notre voyage. L’Orne traverse Caen, venant du Sud et sort de la ville en s’infléchissant légèrement vers l’Est. Elle reçoit les eaux de l’Odon qui pénètre à Caen par le Sud, un peu plus à l’Ouest. Le canal se trouve juste au-dessus de l’Orne ; il sort de Caen par le Nord-Est.
Pour continuer à nous familiariser avec la communauté d’Agglomération Caen la mer, nous allons maintenant passer en revue les communes traversées par les trois cours d’eau.
L’Orne, d’une longueur de 170 kilomètres, prend sa source aux environs d’Aunou-sur-Orne, au Nord-Est de la forêt d’Écouves, près de Sées, à 190 mètres d’altitude, dans le département de l’Orne. Elle pénètre dans la Communauté de l’Agglomération Caen la Mer par le Sud. Au milieu du bord inférieur de la carte, nous trouvons le code "o r", qui marque le départ du tracé de l’Orne dans la communauté d’Agglomération. Après avoir été la limite Sud, puis Ouest de Saint-André-sur-Orne, (14), elle forme la limite entre Louvigny, (12) et Fleury-sur-Orne, (13), puis entre dans Caen par le Sud de la ville. En traversant Caen, elle reçoit les eaux de l’Odon puis forme, avec le bassin Saint-Pierre et le canal une sorte d’enclave désignée sous le nom de "Presqu’île", avant de sortir de la ville par l’Est. Son parcours dans Caen n’est pas représenté. Elle traverse le haut de Mondeville, (17) puis prend la direction du Nord. Elle forme ensuite la limite des communes d’Hérouville-Saint-Clair, (23) et Colombelles, (22), longe Blainville-sur-Orne, (24) une partie de Bénouville, (25) et quitte définitivement la Communauté d’Agglomération.
L’Odon, long de 47 kilomètres, prend sa source, à Ondefontaine près de Jurques, à une altitude de 275 mètres, à l’Ouest de Caen, dans le département du Calvados. Il pénètre dans la Communauté d’Agglomération en formant successivement la limite des communes de Verson, (8) et Éterville, (11), puis Bretteville-sur Odon, (7) et Louvigny, (12). Il pénètre à Caen par les prairies de l’Ouest de la ville. Canalisé par étapes successives entre 1862 et 1930, le cours de l’Odon est devenu souterrain depuis son entrée dans la ville, (quartier Saint-Ouen) jusqu’au bassin Saint-Pierre, place Courtonne où il rejoint l’Orne. Il se divise en plusieurs bras, dont l’un est appelé "petit Odon". Le petit Odon, a été complètement asséché entre 1932 et 1935. Ses eaux ont été dérivées dans le grand Odon au niveau de la Halle aux Granges. Il faut signaler aussi un autre cours d’eau de moindre importance, la Noë considéré comme un petit bras de l’Orne. Il se détache de l’Orne au niveau de la commune de Vaucelles en amont de Montaigu et après avoir serpenté dans les prairies de Caen, rejoint le bras principal de l’Orne au niveau du cours Montalivet. Celui-ci n’est pas représenté sur la carte. Signalons encore le Canal Robert, créé au XIE siècle et recouvert en 1932. Il longeait le Cours la Reine, (actuel Cours de Gaulle) et faisait la liaison entre l’Orne et le grand Odon. Le Canal Robert était parallèle à la rue "Exmoisine" renommée rue Saint Jean.
Le canal, terminé de creuser en 1857, est long de 14 kilomètres. Il commence au bassin Saint-Pierre dans le port de Caen. Sa profondeur actuelle est de 10 mètres et sa largeur peut atteindre 200 mètres, (dans le bassin de Calix). L’une des deux écluses, du port de Ouistreham, à l’embouchure du canal, peut accueillir des navires de plus de 200 mètres de long. En sortant de Caen, il traverse Hérouville-Saint-Clair, (23), Blainville-sur-Orne, (24), Saint-Aubin-d’Arquenay, (25) pour aboutir à Ouistreham, (27) où il se jette dans la mer.
Pour terminer, il nous a semblé utile de vous faire parcourir les communes situées autour de Caen. Cherchons le "1", qui indique que nous sommes à Caen et déplaçons nous verticalement vers le Nord. Nous trouvons la commune d’Éperon, (2). Faisons maintenant le tour de Caen en nous déplaçant dans le sens des aiguilles d’une montre. Nous parcourons ainsi Hérouville-Saint-Clair, (23), Mondeville, (17), Cormelles-le-Royal, (16) et Ifs, (15). Nous sommes au Sud où nous trouvons, à côté d’Ifs, Fleury-sur-Orne, (13) puis Louvigny, (12). Nous parvenons ainsi sur les communes de l’Ouest de Caen que nous pouvons parcourir en remontant vers le Nord : Bretteville-sur-Odon, (10), Carpiquet, (6), Saint-Germain-la-Blanche-Herbe, (5), et enfin Saint-Contest, (3).
Le territoire de l’agglomération Caen la mer est aussi structuré par le périphérique qui traverse Caen dans sa partie Nord. Bien qu’il ne soit pas possible de le représenter sur cette carte, il nous a paru utile d’indiquer les communes qu’il traverse. En sortant de Caen à l’Est, il entre dans Hérouville-Saint-Clair, (23), enjambe le Canal de Caen à la Mer et l’Orne grâce au Viaduc de Calix, pour arriver dans la commune de Mondeville, (17). Le Viaduc de Calix, dont la construction commence en 1961, est ouvert à la circulation en 1975 lors de la mise en service du tronçon Est du périphérique. Il est long de 1200 Mètres et culmine à une hauteur de 38 Mètres. Dans la commune de Mondeville il enjambe la ligne de chemin de fer Paris-Cherbourg. Le périphérique descend ensuite vers le Sud et traverse les communes situées à l’Est de Caen : Cormelles-le-Royal, (16) et Ifs, (15). Il s’oriente ensuite vers l’Ouest et traverse les communes situées au Sud : Fleury-sur-Orne, (13), Louvigny, (12) et Éterville dans sa partie Nord, (10). Au niveau de Fleury-sur-Orne et Louvigny, il enjambe la ligne de chemin de fer et l’Orne en empruntant le viaduc de Louvigny. Il remonte ensuite vers le Nord et traverse la commune de Bretteville-sur-Odon, (10), puis coupe la pointe Est de la commune de Carpiquet, (6). Il traverse ensuite Saint-Germain-la-Blanche -Herbe dans sa partie Sud-Est, (5), puis revient vers Caen.
Dans un premier temps, son terminus était situé à Mondeville. Elle est prolongée en 1858 pour faire la liaison avec Cherbourg et traverse Caen à partir de cette date. Comme le périphérique, pour des raisons de lisibilité, elle n’est pas représentée sur cette carte. Elle pénètre dans l’Agglomération par le sud de la Commune de Mondeville, (17), traverse Caen dans sa partie Sud, (voir carte B), puis traverse la commune de Bretteville-sur-Odon, (10), puis la commune de Carpiquet, (6), dans sa partie Nord. Elle sort de l’Agglomération Caen la mer pour partir vers le Nord-Ouest.
Carte graphique :
La ville de Caen est située dans un ensemble de 35 communes dont elle occupe à peu près le centre (voir carte A). Elle est forte de plus de 100.000 habitants (108.996 en 2010). Elle est le Chef-Lieu du département du Calvados et la capitale de la région Basse-Normandie. Le territoire de la commune couvre 2 570 hectares. Il culmine à 73 mètres, au nord. Le point le plus bas, atteint 2 mètres, à l’Est, à la sortie de l’Orne. Elle accueille le Conseil Régional (Abbaye aux dames) et on y trouve aussi l’hôtel du département (Conseil Général du Calvados). Ses trois édifices principaux, l’Abbaye aux Dames, l’Abbaye aux Hommes et le château des ducs de Normandie sont là pour nous rappeler son histoire très liée pendant fort longtemps à celle de l’Angleterre. Cette carte B montre, l’ensemble des espaces verts, le tracé des cours d’eaux et les lignes de Tramway 1 et 2, qui chacun à leur manière, structurent l’organisation urbaine.
En observant les contours, deux grands blocs se dégagent. Dans la partie supérieure de la carte, se dessine un triangle pointe en haut, avec sur son côté gauche un rectangle dans la partie inférieure duquel se situe l’entrée du périphérique (b p). Juste au-dessous de l’entrée du périphérique, se dessine un petit triangle qui forme un élément de la deuxième structure. Cette deuxième structure occupe quasiment toute la partie inférieure de la carte. Au-dessous de celle-ci, à l’extrême Sud, se dessine une forme triangulaire. En examinant maintenant la répartition des zones à l’intérieur de la carte, nous pouvons en déterminer arbitrairement quatre. La première, bordée par le cours du canal de Caen à la mer, le bassin Saint-Pierre et le cours de l’Orne, se situe dans le quart inférieur droit de la carte. Nous pouvons y voir, une partie du parcours du Tramway, une partie du tracé de la voie de chemin de fer qui traverse Caen d’Est en Ouest, le bassin Saint-Pierre et la Presqu’île. La deuxième zone occupe le Sud-Ouest de Caen (quart inférieur gauche de la carte), sur la rive droite de l’Orne. Elle est constituée d’espaces verts. Elle est traversée par la voie de chemin de fer. Y sont situés l’hippodrome, le parc des Expositions et le Zénith (voir carte 27). La troisième zone est délimitée par le périphérique Nord. Elle constitue la partie supérieure du grand triangle évoqué ci-dessus. Sont mentionnés sur cette zone la Colline aux oiseaux et la Vallée des jardins qui se situent le long du périphérique en allant d’Ouest en Est. S’y trouve aussi la ligne A du Tramway encore plus à l’EST. La quatrième zone, la plus importante, est située entre le périphérique au Nord, le Canal, l’Orne et le bord des espaces verts au Sud. En plein centre, contourné par le tronçon commun des lignes A et B du tramway, se trouve le château des Ducs de Normandie. Nous y trouvons également la ligne 2 du Tramway avec son tronçon commun et ses deux branches C et D, (mise en service prévue en 2018).
L'Orne et le Tramway, chacun à leur manière, structurent l’organisation de la ville. L’Orne, comme nous l’avons vu précédemment déterminent deux zones bien distinctes, rive droite et rive gauche. Le Tramway, d’abord TVR, qui n’existe que depuis fin 2002, est orienté Nord-Sud. Il partage la ville en deux zones, l’une Est et l’autre Ouest. A cette ligne 1 transformée en tramway sur fer, s’ajoute à partir de 2018, une ligne 2 formée par deux branches, l’une orientée Nord-Ouest et l’autre Ouest.
Sur le bord inférieur de la carte, les lettres " o r " indiquent le début du cours de l’Orne. Le fleuve pénètre à Caen par le Sud venant des communes de Louvigny et Fleury-sur-Orne (voir cartes A 12-14). Son cours, venu du Sud décrit une courbe qui s’oriente Nord-Est. Elle coupe d’abord la ligne de chemin de fer. Elle passe sous les ponts de Bir-Hakeim et de Vaucelles, coupe la ligne du Tramway au pont Winston Churchill. Elle passe ensuite sous le pont Alexandre Stirn au niveau du quel se trouve le pont de l’écluse qui ferme le bassin Saint-Pierre au Sud. À partir de cet endroit, elle s’oriente franchement vers l’Est, et forme la limite Sud de la presqu’île. Elle est reliée au Canal de Caen à la Mer par un Canal de régulation puis elle traverse Caen et entre dans la commune de Mondeville (voir carte A 17). Le canal, qui aboutit au port de Caen, quasiment en son centre, au niveau du pont de la Fonderie, forme la limite Nord de la Presqu’île. Il sort de Caen sur la commune d’Hérouville-Saint-Clair.
Les lignes de Tramway sont implantées sur les voies de circulation, à l’exception de certains tronçons peu nombreux et relativement courts. Sur les cartes où apparaissent les tracés des rues, il n’a pas été possible de représenter le tracé du Tramway, cela aurait rendu la lecture plus difficile. Tout d’abord conçu sur pneus pour sa première ligne en 2002, le tramway de Caen sera reconstruit sur rails pour l’ensemble de ses lignes.
La ligne 1 du Tramway est constituée de deux branches qui dans la partie centrale ont un trajet commun. Cela dessine en quelque sorte deux I grecs inversés. La ligne A entre dans Caen plus à l’Ouest en venant de la commune d’Ifs où elle a suivi la rue Jean Vilar. Elle s’engage dans l’Avenue de la Charité, puis tourne dans l’Avenue de la Concorde, (voir carte 33). Elle atteint ensuite la place de la Liberté, puis tourne vers l’Est. Elle emprunte ensuite la rue Flandres Dunkerque puis tourne vers le Nord dans la rue de la Lisière, puis rejoint le Boulevard Poincaré un peu à l’Ouest de la rue Michel Lasne, au point de jonction des lignes A et B, (voir carte 32). Le début de la ligne B est situé au carrefour de l’avenue Charles de Foucauld et de la rue Michel Crepeau, dans le quartier de la Grâce de Dieu, (voir carte 30). Elle s’engage dans l’avenue Charles de Foucauld et va vers l’Est. Après avoir suivi l’avenue de l’Aviation, elle coupe la rue de Falaise, (voir carte 31), puis s’engage sur le boulevard Poincaré, où elle rejoint le point de jonction avec la ligne A.
Partant du point de jonction, Boulevard Poincaré, le tramway tourne vers le Nord-Ouest, dans la rue Michel Lasne, puis s’engage vers l’Est dans la rue du Capitaine Guynemer. Il tourne ensuite dans la rue Victor Lépine qui remonte vers le Nord pour rejoindre le Boulevard Leroy. Par une voie réservée, il rejoint la rue d’Auge, (voir cartes 28 et 29). Il descend ensuite par la rue Roger Bastion et rejoint la rue de la Gare qui en s’orientant vers l’Ouest, amène le Tramway jusqu’au pont Winston Churchill sur lequel il franchit l’Orne, (voir carte 22). Nous sommes alors sur l’Avenue du 6 Juin où se retrouvent les lignes A B C et D, sur environ 900 mètres. Le tronçon commun des lignes A et B se poursuit avenue du 6 Juin, jusqu’au chevet de l’église Saint-Pierre, (voir carte 21). Le tramway remonte ensuite vers le Nord en contournant le Château par la rue de Geôle, puis la rue du Gaillon. Il passe devant l’Université, s’engage dans la rue de Lausanne puis la rue d’Édimbourg, puis entre dans le Campus, contourne le stade par l’Ouest, puis ressort rue Jules Vernes. Il s’engage ensuite sur l’Avenue Copernic et gagne le point de jonction Nord, rue de la Délivrande (voir cartes 15-9-10).
Au niveau de la rue de la Délivrande, la ligne A, continue vers le Nord. Le tramway s’engage dans la rue du Professeur Joseph Rousselot, traverse la zone du C H U, puis tourne vers l’Ouest, emprunte le boulevard Henri Becquerel et l’avenue du Maréchal Juin, et atteint son terminus au Campus 2, (voir cartes 5 4 3 2). La ligne B, à partir du point de jonction Copernic la Délivrande, continue vers l’Est. Elle pénètre dans la Cité Universitaire de Lébisey, puis rejoint la rue Antoine Cavelier. Elle emprunte ensuite la partie Nord du boulevard Général Vanier puis sort de Caen au niveau de la sortie 4 du périphérique. Elle entre alors dans Hérouville-Saint-Clair où se trouve son terminus, (voir cartes 10 et 11).
La ligne 2, en service à partir de 2018, se compose d’un tronc commun et de deux Branches C et D. La ligne C part du quartier du Chemin-Vert, au Nord-Ouest de Caen (voir cartes C et D-9). Elle emprunte la rue du chemin-Vert, orientée Nord-Ouest Sud-Est, sur toute sa longueur et parvient rue de Bayeux au point de jonction, (voir cartes 13-14-20). La ligne D, commence sur la commune de Bretteville-sur-Odon, entre dans Caen par l’Ouest, sur le boulevard Georges Pompidou, s’engage dans le boulevard André Détolle et rejoint la ligne C au point de jonction rue de Bayeux, (voir cartes 12 18 19 et 20). Le tronçon commun, à partir du point de jonction, tourne vers le Sud-Est, dans la rue Damozanne, puis plus franchement vers l’Est, dans la rue du Capitaine Boualam. Il traverse ensuite le Centre Hospitalier Spécialisé du Bon Sauveur, pour rejoindre la rue des Blanchisseries. Il emprunte alors la rue du Carel, (voir carte 20). Il rejoint ensuite le boulevard Bertrand pour arriver sur la place Gambetta. Il atteint ensuite le tronçon commun et se joint à la ligne 1, sur l’avenue du 6 Juin Jusqu’au quai Eugène Meslin, (voir cartes 21 22). Au moment où nous rédigeons ce guide, la jonction entre la place Gambetta et le tronçon commun n’est pas encore définie. Trois projets sont envisagés : - Passage par le Boulevard Maréchal Leclerc - Passage par la rue de Bernières au Sud - Passage par la rue Sadi Carnot, la rue de Verdun et la rue du Havre encore plus au Sud.
Nous reviendrons plus en détail sur la situation des espaces verts lors de leur présence sur les cartes suivantes. Nous nous contentons ici, d’indiquer la liste de ceux qui sont classés dont certains sont présents sur cette carte. Le Parc Michel d’Ornano, le jardin de l’Abbaye aux Dames : classé depuis 1932. La Prairie : inscrite le 15 avril 1932 avec les trois cours d’eau qui l’entourent. La plantation de peupliers en bordure de la D212 vers Louvigny : classée le 7 mars 1944. Les anciens cimetières (Quatre-Nations, Saint-Pierre, Saint-Jean, Saint-Nicolas et cimetière protestant) classés depuis 1939 (à l’exception du dernier). Les parcs et jardins de l’hôtel de la Préfecture : classés depuis 1937 mais fermés au public. Le jardin des plantes : classé depuis 1942. Les douves du château : classées depuis 1953. La commune possède également des jardins familiaux. Signalons également rattachée à la ville de Caen, la forêt de Grimbosq.
Bonnes promenades avec les doigts !!!
sectionIntroduction
Cette carte montre les axes principaux, rentrant et traversant. Pour des raisons de lisibilité, seules les zones vertes situées dans le quart Sud-Ouest ont été conservées.
En partant des bords extérieurs de la carte, nous allons examiner successivement les grands axes de circulation.
Plaçons-nous dans le coin supérieur gauche. En se déplaçant vers la droite nous découvrons les lettres "c n". Il s’agit de l’Avenue Côte de Nacre. Plus à l’intérieur, nous avons les lettres "g w". C’est le début du boulevard Général Weygand.
Il part d’abord en direction du Sud à hauteur du boulevard Maréchal Juin, Puis passe au-dessous du périphérique. À ce niveau, il passe à travers des zones vertes. Il continue au Sud de ces zones vertes pour se raccorder ensuite au boulevard Richemond (trait continu, non indexé). En continuant, le Boulevard Richemond est prolongé par le boulevard Dunois (d u), puis par le boulevard André Détolle (a d), pour aboutir au carrefour de l’Avenue Henry Chéron et du boulevard Yves Guillou dans le prolongement. À l’Est du boulevard Richemond débouche l’avenue de Creully prolongée par la place Blot et la rue Bosnière. Au Sud de ce trait continu, nous trouvons le Jardin des Plantes dont l’entrée principale est située place Blot. Le boulevard Général Weygand et ses prolongements successifs, est un axe majeur Nord-Sud pénétrant à l’intérieur de Caen.
Elle part en direction du Sud, passe au-dessus du périphérique et rejoint la rue de la Délivrande (d é). En suivant la rue de la Délivrande, jusqu’à son extrémité Sud, nous croisons, venant du Nord-Est, la rue de Lébisey (l é). Dans la rue de Lébisey, débouche la rue d’Hérouville (h é), qui s’en va vers l’Est.
Replaçons-nous sur le coin supérieur gauche et allons vers le Sud. Nous rencontrons les lettres " m j ", et beaucoup plus bas, les lettres " h c ". Il s’agit du boulevard Maréchal Juin et de l’avenue Henry Chéron.
Il dessine une courbe, orientée Ouest Nord-Est, traverse deux espaces verts, le stade et le parc de la Fossette, au Nord, et le jardin des Poètes au Sud, puis croise le boulevard Général Weygand. Après avoir traversé l’avenue Côte de Nacre, Il se poursuit par le boulevard Becquerel (trait continu).
Orientée Ouest-Est, elle s’incline très légèrement vers le Nord pour aboutir au carrefour où débouchent le boulevard Détolle au Nord, le boulevard Yves Guillou au Sud et la rue Caponière à l’Est dans le même axe.
En longeant le contour de la carte côté intérieur en venant du Sud, nous sommes sur la rue du Général Moulin (g m). Celle-ci s’incline légèrement vers le Sud et débouche dans la rue de Bayeux. Si nous continuons la rue de Bayeux (b a) jusqu’au bout, nous croisons les boulevards Dunois (d u), au Nord et Détolle, (a d), au Sud. La rue de Bayeux se prolonge jusqu’au débouché de la rue Caponière qui part vers le Sud. À cet endroit se trouve la place des Anciennes Boucheries (non représentée), qui fait la jonction avec la rue Guillaume le Conquérant, trait continu qui prolonge la rue de Bayeux vers l’Est. La rue guillaume le Conquérant débouche sur la place Fontette et la place Saint-Sauveur. Nous arrivons alors à une intersection. Si nous prenons vers le Nord, nous suivons la rue Saint-Manvieu puis la rue des fossés Saint-Julien pour parvenir rue de Geôle. La rue de Geôle monte vers le Château et l’Université. Si nous prenons vers le Sud, l’avenue Albert Sorel nous conduit au boulevard Yves Guillou (y g). À proximité de cet axe Nord-Sud, se trouve l’Hôtel de ville représenté par un H majuscule en relief.
Plaçons-nous dans le coin supérieur gauche. En descendant, nous trouvons les lettres " b p " qui marquent le départ du périphérique Nord. Il est représenté par un double trait. Il traverse Caen d’Ouest en Est. Après avoir longé, le stade du Chemin-Vert situé au Sud, il traverse un ensemble formé au nord par la Colline aux Oiseaux et le Mémorial, et au sud par la vallée du Mémorial. Il passe au-dessus du boulevard Général Weygand. Nous trouvons ensuite au Sud, la Vallée des Jardins, et au Nord le stade des Vaux de la Folie. Plus à l’Est, Le périphérique passe au-dessus de l’avenue Côte de Nacre (c n). Il passe ensuite au-dessous du boulevard Général Harris puis sort de Caen au niveau de la commune d’Hérouville-Saint-Clair. Voici, d’Ouest en Est les rues traversées par le Périphérique. Certaines ne sont pas représentées sur cette carte. Nous les retrouverons sur des cartes plus détaillées (voir cartes 6-7-8-9-10-11). Chemin de l’Abbaye d’Ardennes, Rue d’Authie, jonction boulevard Maréchal Juin rue du Chemin-Vert, avenue de l’Amiral Mountbatten, allée du Roc en Val, boulevard du Général Weygand, avenue de Courseulles, Rue des Vaux de la Folie, avenue Côte de Nacre, avenue du Général Harris. À l’exception du boulevard du Général Weygand et de l’avenue de Courseulles, situées toutes deux autour de la Vallée des Jardins, qui passent au-dessous du périphérique, toutes les autres rues passent au-dessus.
En partant du coin supérieur droit de la carte, en descendant, nous rencontrons d’abord les lettres "g h" pour Avenue du Général Harris, les lettres "h é" pour rue d’Hérouville puis les lettres " g c " pour rue Georges Clémenceau et les lettres "b a s" pour rue Basse. En continuant à descendre, nous traversons le Canal, l’Orne puis la voie de chemin de fer. Plus bas, nous trouvons les lettres "t r" pour avenue de Trouville, "r o" pour route de Rouen et enfin les lettres "p a", pour avenue de Paris.
Elle descend vers le sud, passe au-dessous du périphérique et débouche dans la rue de Lébisey. En continuant la rue de Lébisey, Nous croisons le départ de la rue d’Hérouville orientée Ouest-Est (h é). La rue de Lébisey rejoint ensuite la rue de la Délivrande (d é).
Située au-dessous de la rue d’Hérouville et au-dessus de la rue Basse, desquelles elle est quasiment parallèle dans sa première partie, elle s’incline vers le Nord pour rejoindre la rue de la Pigacière non indiquée sur la carte. Sur l’avenue Georges Clemenceau se trouve le Centre Hospitalier Régional. Se trouve juste au-dessous, au Sud, le Parc d’Ornano avec juste à sa gauche l’Abbaye aux dames, qui abrite le conseil Régional de Basse-Normandie.
En descendant, le long du bord droit, nous traversons le Canal, puis l’Orne et la voie de chemin de fer. Nous trouvons ensuite trois rues qui se rejoignent vers l’Ouest pour former une flèche. Il s’agit, du Nord au Sud, de l’Avenue de Trouville (t r), de la route de Rouen (r o) et de l’avenue de Paris (p a). Dans le prolongement de la flèche, se trouve la rue d’Auge. La voie ferrée longe l’Avenue de Trouville au Sud et l’Orne au Nord, puis passe au-dessus de l’Orne pour continuer dans la zone des espaces verts plus à l’ouest.
Pour des raisons de lisibilité, seule la rue de Falaise, (f a), est représentée. Celle-ci a un statut particulier. Dans sa première partie, elle constitue la limite des communes de Caen et Ifs. Pour la repérer, il faut se placer sur le bord inférieur de la carte et trouver le triangle situé tout à fait à droite. Elle est représentée par le trait vertical discontinu et pointillé, qui forme le côté Ouest du triangle. En la remontant, nous croisons le boulevard Maréchal Lyautey, (m l), à l’Ouest et le boulevard Leroy, (l e), à l’Est. En continuant, nous aboutissons dans la rue d’Auge (a u)
Après avoir examiné les axes qualifiés arbitrairement d’axes extérieurs, nous allons repérer les axes intérieurs mentionnés sur la carte.
Ce boulevard, dont la construction fut envisagée en 1938, fut finalement réalisé par les Alliés en 1944 pour contourner les ruines de Caen. Il prit d’abord le nom de boulevard de la Prairie, puis celui d’Yves Guillou, Maire de Caen avant, puis après la seconde guerre mondiale. Nous lui devons le recouvrement définitif des Odon et il participa à la reconstruction de Caen Jusqu’en 1957, il abandonna ses fonctions de Maire suite à des soucis de santé. Pour le trouver, chercher les lettres "h c", sur le bord gauche de la carte. Il s’agit de la rue Henry Chéron. En la suivant, nous arrivons à un carrefour d’où part le boulevard Yves Guillou, (y g), en direction du Sud. Il longe les espaces verts (prairie), croise, venant du Nord, l’avenue Albert Sorel, puis parvient au boulevard Aristide Briand qui rejoint le cours Général de Gaulle par la rue Jean Romain. Si nous prenons le Boulevard Aristide Briand vers le Nord, il nous mène boulevard Bertrand. Notons que se trouve au départ du boulevard Yves Guillou le boulevard André Détolle. Celui-ci, dont le tracé fut définitivement décidé en 1935, fut comme le boulevard Yves Guillou, construit par les alliés en 1944. D’abord nommé boulevard de Venoix, il prend le nom de André Détolle ancien Maire de Caen, à la mort de celui-ci en 1962. Nous pourrions donc en partant du boulevard Weygand au Nord de Caen, faire un parcours nous permettant de parvenir jusqu’au centre de Caen, soit sur la rive droite de l’Orne, soit vers l’Hôtel de ville situé rive gauche.
Toujours en partant des lettres " h c ", nous arrivons à la jonction du boulevard Yves Guillou. Au lieu de le suivre, nous prenons vers le Nord le Boulevard Détolle (a d). À l’Ouest débouche le boulevard Georges Pompidou. Dans une courbe, au Sud, se trouve le stade d’Ornano. Signalons que la branche D de la ligne 2 du Tramway, empruntera ce boulevard, puis le boulevard Détolle pour rejoindre la Branche C rue de Bayeux
Sur la droite de la carte, cherchons les lettres "p a". Nous sommes au début de l’Avenue de Paris. En suivant celle-ci vers l’Ouest, nous parvenons à une intersection. En prenant la direction Sud-Ouest, nous pouvons suivre le boulevard Leroy (l e), prolongé par le boulevard Maréchal Lyautey (m l).
Pour terminer, nous vous proposons quelques trajets à parcourir pour continuer à vous familiariser avec les éléments présentés sur cette carte.
Bonnes promenades avec les doigts !!!
Dans la cartes B et C, nous montrions Caen, dans sa globalité et les éléments physiques, (axes de circulations, axes aquatiques, espaces verts etc.). Dans la carte D, nous abordons une structuration de la ville dont le caractère est défini par des critères plus statistiques voire administratifs. L’objectif est de découvrir les vingt quartiers de Caen tels qu’ils ont été définis par l’INSEE. Chemin faisant, cela nous permettra de situer un certain nombre de lieux et monuments autour desquels s’organise la vie des habitants. Comme nous l’avons montré, en examinant la carte B, Caen se présente comme un grand rectangle surmonté d’un triangle. Si nous faisons abstraction des prolongements situés dans la partie inférieure de la carte ou sur le côté gauche du triangle supérieur, nous pourrions dire que cette image se rapproche de celle du pignon d’une maison. Nous allons donc visiter les pièces de notre maison.
Nous allons procéder de la même manière que pour l’exploration de la carte A. nous commencerons par traverser les quartiers extérieurs, en suivant le sens des aiguilles d’une montre, pour peu à peu nous rapprocher du centre de la ville. Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte. En descendant en diagonale, Nous sommes dans le quartier de la Folie-Couvrechef, (20). C’est le quartier de Caen dont la surface est la plus importante. Nous pouvons l’assimiler à un triangle dont le côté inférieur, orienté Ouest-Est, est formé par le tracé du Périphérique Nord. Il est devenu depuis plusieurs années un des pôles essentiel de la vie des Caennais. Il doit son nom de Folie Couvrechef à la fusion de deux hameaux, la Folie et Couvrechef, situés le long des rues d’Épron et de la Folie, de chaque côté de la route de Mâlon, (voir carte 1). Ces hameaux, situés sur le plateau surplombant la Basse Orne, furent longtemps consacrés à l’agriculture. Il y fut également exploité des carrières de pierre. Une ZAC de la Folie Couvrechef est créée en 1971. Son aménagement débute en 1976 sous la direction de l’architecte guillaume Gillet. Ce plan est revu en 1991. Nous nous situons le long du périphérique Nord dans l’angle gauche du triangle. En allant vers l’Est, Après la colline aux Oiseaux jardin créé sur une ancienne décharge, ouvert en 1994, nous trouvons le Mémorial de la Paix inauguré en 1988, puis la clinique Saint-Martin. Dans l’angle tout à fait à droite, se trouve la zone industrielle du Mont Coco et en remontant au Nord, le Campus 2. C’est à cet endroit que se situe le terminus de la ligne A du Tramway. L’autre côté du triangle est bordé par les communes de Éperon au Nord et en se déplaçant le long de la limite de Caen vers l’Ouest, puis le Sud-Ouest, Saint-Contest et Saint-Germain-la-Blanche-Herbe, (voir carte A 2 3 5). Maintenant, passons à l’Est dans le quartier de la Pierre-Heuzé, (14). Celui-ci est bordé par les communes d’Éperon et d’Hérouville-Saint-Clair, (voir carte A 2 23). De forme triangulaire, Nous pourrions le comparer au foc d’un voilier. Le côté Ouest est formé par l’axe Nord-Sud " avenue Côte de Nacre rue de la Délivrande ". Il est coupé en deux par le périphérique. Dans l’angle supérieur du quartier, est situé le Campus 4. En descendant le long du côté droit du triangle, au-dessus du périphérique, nous trouvons le C H U Côte de Nacre, (Centre hospitalier universitaire), qui accueille son premier malade le 16 Septembre 1975. Tout à côté, se trouve le nouvel hôpital Femme-Enfant-Hématologie, ouvert au public le 23 novembre 2009. Au Sud du périphérique, au centre du quartier, au niveau du deuxième décrochement de la limite droite, se trouve le lycée Jules Dumont d’Urville et sur la gauche, le lycée Pierre Simon Laplace, le long de la rue de la Délivrande. Notons également que se situe dans ce quartier le départ du tronçon commun du tramway formé par les lignes B à l’ouest et A, à l’Est du Tramway, la ligne B desservant le Chu et les Campus Universitaires, la ligne A ayant son terminus à Hérouville-Saint-Clair. Cette séparation se fait au niveau de la station Copernic. Ce quartier, encore rural durant une grande partie du XXe siècle, voit son urbanisation commencer vraiment vers 1970. Sur ce site existait une carrière de pierre de Caen dont le propriétaire était un nommé Heuzé qui aurait donné son nom au quartier. Descendons vers le Sud et franchissons la limite entre le quartier de la Pierre-Heuzé et le quartier Saint-Gilles, (15). Il est formé d’un quadrilatère, avec une échancrure sur le côté droit et tout en haut à droite, par une zone étroite, comme une petite queue dressée. Comme le quartier de la Pierre-Heuzé, il longe la commune d’Hérouville-Saint-Clair. La limite Nord est formée par la rue d’Hérouville le long de la quelle nous trouvons, au centre, l’Institut privé Lemonnier et à l’extrémité droite, le cimetière du Nord-Est. La limite Sud du quartier coïncide avec la rue Basse. Au-dessus de celle-ci, sont situés, de gauche à droite, l’Abbaye aux Dames qui abrite le Conseil Régional de Basse-Normandie depuis 1986. D’abord Abbaye Bénédictine jusqu’en 1791, elle est reprise par l’Ordre des Augustines en 1823 après la période révolutionnaire. Vers 1900, y est implanté l’Hôtel-Dieu qui devient hospice Saint-Louis jusqu’en 1983. La reine Mathilde y fut inhumée dans l’Abbatiale à sa mort en 1083. L’église, tout d’abord vouée à la Trinité, (dédicace de 1066), prend le nom de Saint-Gilles en 1865, date de la création de la paroisse. L’Abbaye aux Dames est le pendant de l’Abbaye aux Hommes dont nous parlerons plus tard. Plus loin, à droite, après le Parc Michel d’Ornano, nous trouvons le, (Centre hospitalier Régional "c h r", anciennement Hôpital Clémenceau inauguré le 26 janvier 1908 par Georges Clémenceau lui-même, alors Président du Conseil. Nous traversons la rue Basse et nous nous trouvons dans le quartier du port, (16), dont la plus grande partie, au nord est occupée par la presqu’île. Formant un quadrilatère, il présente une échancrure centrale, sur le côté Ouest. Il est bordé, à l’Est par la commune de Mondeville, (voir carte A 17). Sur une ligne horizontale partant de la pointe de cette échancrure, nous trouvons, de gauche à droite, l’emplacement de la future Médiathèque, la salle du Cargô, salle consacrée aux musiques actuelles ouverte le 1er février 2007, l’ESAM, (Ecole Supérieure d’Arts et multi Médias de Caen), ouverte en septembre 2010. La presqu’île fut longtemps une zone industrielle très importante pour la vie économique de la ville, ces activités étant, maintenant, reportées plus à l’Est le long du Canal de Caen à la Mer. En longeant la limite Sud, nous arrivons à la gare SNCF. Continuons à descendre vers le Sud. Nous arrivons dans le quartier de Sainte-Thérèse Demi-Lune, (17). En forme de quadrilatère, son angle supérieur gauche est très écorné. Le quartier est bordé à l’Est par les communes de Mondeville et Cormelles-le-Royal, (voir carte A 17 16). Placés sur un axe horizontal et central, nous trouvons de gauche à droite, le Jardin Claude Decamps, la Polyclinique du Parc et le cinéma Lux qui fait partie des Institutions culturelles de la ville de Caen. Au-dessus de cet axe et au centre, se trouve le Lycée Victor Lépine. Nous voilà arrivés au Sud de Caen dans le quartier de la Guérinière, (19). Alors que le côté Ouest est une ligne verticale toute droite, la rue de Falaise, le côté droit est formé d’une suite d’ondulations, (d’échancrures formant un escalier). Il est en cadré, à l’Est par la commune de Cormelles-le-Royal et au Sud et à l’Ouest par la commune d’Ifs, (voir carte A 15). Il doit son nom à François de la Guérinières, (1688-1751), et à son frère Pierre, père de l’art équestre classique français. Il fut longtemps une terre à chevaux et de nombreux manèges y étaient installés. Dans les années 30, les caennais s’y rendaient pour assister à des meetings d’aviation. Ayant appartenu à la commune de Cormelles-le-Royal, il est rattaché à Caen en 1951. Son développement urbain est très lié à la reconstruction d’après-guerre dont le symbole est le château d’eau en forme de parachute, mis en activité en 1962. Nous partons maintenant vers l’Ouest, dans le quartier de la Grâce-de-Dieu, (19). Il est formé d’un polygone convexe constitué d’une courbe qui part du haut à droite pour aller en bas à gauche. Le côté droit est rectiligne et le côté inférieur est formé d’une ligne festonnée. Le quartier est bordé par la commune d’Ifs et la commune de Fleury-sur-Orne, (voir carte A 13). Le côté rectiligne est une partie de la rue de Falaise. Au nord nous trouvons le boulevard Maréchal Lyautey au centre duquel est situé le cimetière de Vaucelles. En bas à droite nous rencontrons un angle droit rentrant. Sur le côté supérieur de cet angle droit se trouve le lycée Augustin Fresnel et à gauche, le lycée Jean Rostand. Remontons un peu vers le Nord, dans le quartier de Vaucelles, (3). Il est de forme triangulaire. Sa pointe Ouest, un peu rabotée touche la commune de Fleury-sur-Orne. Au centre, légèrement décalé sur la droite, se trouve le cimetière Saint-Jean. Poursuivons maintenant notre promenade vers l’Ouest. Nous gagnons le quartier Bas-Venoix Prairie, (4). De forme très allongée, il ressemble un peu à une coque de navire. Il occupe une grande partie du sud de la carte, en bas à gauche. En longeant la limite nord, formée par le boulevard Yves Guillou, nous avons, d’Ouest en Est, la salle du Zénith, puis le Parc des Expositions. Dans le rectangle en haut à droite, se trouvent l’hippodrome et la prairie. Alors que l’hippodrome et le parc des expositions appartiennent déjà au passé de Caen, le Zénith est d’implantation plus récente. Il est créé en 1993. Nous sommes maintenant à l’Ouest de Caen dans le quartier de Venoix, (7). Celui-ci se présente comme un triangle dont la pointe Droite a été rabotée et le côté opposé légèrement ondulé et échancré. Il est bordé par la commune de Bretteville-sur-Odon, à l’Ouest, (voir carte A 7). La commune de Venoix créée en 1793, n’a été rattachée à Caen que le 6 mai 1952. Nous y trouvons le long de la limite Nord formée par le boulevard Georges Pompidou, au niveau de la boucle, le Stade Michel d’Ornano inauguré le 6 juin 1993. Sa construction fut décidée pour remplacer le Vélodrome de Venoix créé en 1925, trop vétuste et dont le nombre de places était devenu insuffisant. Un Tramway électrique installé en 1901 faisait la liaison entre Caen et Venoix. Il cessa de fonctionner en 1937 victime de la concurrence des Bus mis en service dès 1930. Il empruntait la rue Henry Cheron, nommée route de Bretagne jusqu’en 1929, Henry Chéron étant citoyen d’honneur de la commune de Venoix. Retournons maintenant vers l’est et pénétrons dans le quartier Saint-Ouen, (5). Nous sommes au coeur de la ville. Ce quartier, en forçant un peu le trait a un peu la forme d’un pied ou d’une botte, la pointe tournée vers la gauche. À peu près au centre de la courbure de la cheville, rue Caponière, nous trouvons le CHS, (Bon Sauveur). Dans l’angle supérieur droit, l’Abbaye aux Hommes qui abrite l’hôtel de ville. Dans l’église abbatiale Saint-Etienne, est conservé un fémur ayant appartenu au Duc Guillaume le Conquérant Duc de Normandie, roi d’Angleterre décédé en 1087, quatre ans après son épouse Mathilde de Flandre. L’Abbaye aux Hommes, après avoir abrité le lycée Malherbe pendant une grande partie du XIXe siècle et du XXe siècle, accueille les services municipaux depuis 1961, date de l’ouverture du nouveau Lycée Malherbe. Longeant le côté droit, vers le sud, nous trouvons le Conservatoire de musique et de danse, puis dans l’angle inférieur droit, le Lycée Malherbe. Nous repartons vers l’Ouest, vers le quartier de la Haie-Vigné, (6), en traversant la rue Caponière. Il est de forme triangulaire. Le nom de la Haie-Vigné serait issu du nom d’un terrain sur lequel des vignes étaient cultivées avant 1900. Dans l’angle supérieur gauche, se trouve le centre sportif de la Haie-Vigné et en longeant la rue de Bayeux, côté Nord du triangle nous arrivons à la maison des associations dont l’entrée est située rue Neuf Bourg l’Abbé dans l’ancien quartier Lorges. Au centre, rue Caponières, un bâtiment ancien abrite le Rectorat. Continuons vers le Nord, nous traversons la rue de Bayeux qui fait la limite avec la Haie Vigné. Nous entrons dans le quartier Hastings, (11). Il est formé d’un quadrilatère, avec au Sud la rue de Bayeux et au Nord l’Avenue de Creully. Le long de la ligne Nord, se trouve le jardin des plantes. Au centre, le long de la limite Sud du quartier, le lycée Charles de Gaulle. Le jardin des plantes créé par François Marescot et son successeur Sébastien Blot, devient municipal en 1803. Il constitue l’un des poumons verts de la ville. Le nom du quartier fait référence à la bataille d’Hastings, (1066), qui fut décisive pour la conquête de l’Angleterre par Guillaume le conquérant. Nous nous dirigeons maintenant vers l’Ouest et en traversant le boulevard Dunois qui forme la limite du quartier d’Hastings, nous arrivons dans le quartier Saint-Paul Maladrerie, (8). Celui-ci est triangulaire. Au Sud, le côté du triangle est formé par le boulevard Georges Pompidou, qui le sépare du quartier Venoix, (7). À l’Ouest, il touche la commune de Carpiquet, (voir carte A 6). Au sud, le long du boulevard Georges Pompidou, le Lycée privé Jeanne d’Arc. Au-dessous d’une ligne horizontale qui couperait le quartier en son milieu, nous trouvons d’Ouest en Est le Centre de Détention, le Parc Saint-Paul et la maison d’Arrêt. En remontant vers le Nord, nous atteignons le quartier du Chemin-Vert, (9). Il est limité au Nord par le périphérique qui le sépare du quartier de la Folie Couvrechef, et touche à l’Ouest Saint-Germain-la-Blanche-Herbe, (voir carte A 5). En haut à gauche, le long du boulevard périphérique, nous avons le stade du chemin Vert. Partons maintenant vers l’est. Nous arrivons dans le quartier de la Verte Vallée, (10). Il est formé d’un quadrilatère dont le côté inférieur est échancré. Dans l’angle inférieur gauche, se trouve le cimetière Saint-Gabriel et dans le coin supérieur droit, la Vallée des Jardins. Poursuivons notre promenade vers l’est, nous atteignons le quartier du Calvaire Saint-Pierre, (13). Il est formé d’un quadrilatère dont le boulevard périphérique, un peu incurvé à cet endroit, constitue la limite nord. À l’Est, la limite est formée par l’axe avenue Côte de nacre rue de la Délivrande qui le sépare du quartier de la Pierre-Heuzé. Au centre du quartier se trouve le lycée Victor Hugo. Descendons vers le Sud pour nous rapprocher du centre. Nous arrivons dans le quartier de l’université, (12). Nous nous trouvons, une fois encore dans un quadrilatère dont la partie inférieure est échancrée. Au centre, dans la partie basse se trouve le Campus 1. Au pied du campus, se trouve le cimetière protestant où est enterré George Bryan Brummel, (1778-1840). Célèbre pour son apport au Dandisme, il arrive en France venant d’Angleterre en 1816, s’installe à Caen en 1830 où il séjournera jusqu’à sa mort. Juste au-dessous de l’université nous arrivons au Château, (1). Comme l’université il domine la ville. Plus bas la Préfecture. À droite de celui-ci nous sommes arrivés dans le quartier Saint-Jean Théâtre, (2). Fin de notre promenade.
Cette carte représente le découpage en 33 carrés de la ville de Caen, tous de même surface à l’exception de la ligne supérieure formée de deux rectangles (1 et nul). Chaque élément de la grille est donc à la même échelle. La deuxième ligne est formée de quatre carrés numérotés de 2 à 5. Les lignes suivantes sont constituées de 6 carrés : ligne de 6 à 11, ligne de 12 à 17, ligne de 18 à 23, et ligne de 24 à 29. L’avant dernière ligne est formée par les carrés qui portent les numéros de 30 à 32, la partie inférieure ne comportant qu’un seul carré (33). L’hôtel de ville est situé dans le carré 20 et le château dans le carré 15. Nous l’indiquons simplement pour mémoire car pour des raisons de lisibilité, ils ne sont pas représentés. Il en va de même pour les espaces verts et les cours d’eau.
L’Orne entre dans Caen par le Carré 30, dans la partie inférieure de la carte. Elle traverse le carré 27, puis parvient dans le carré 22 où elle croise le bassin Saint-Pierre pour former avec le Canal la partie Ouest de la Presqu’île. Elle s’oriente alors vers l’Est et sort de Caen par le carré 23. Le Canal de Caen à la mer, part du Bassin Saint-Pierre, dans le carré 22 un peu plus au Nord. Il sort de ce carré par l’angle supérieur droit. Il longe le côté supérieur du carré 23 alors que l’Orne le traverse en son milieu.
La plus grande surface d’espaces verts est concentrée dans la partie Sud-Ouest de Caen qui s’étend sur les carrés 25, 26 et 27 et déborde dans la partie inférieure. Les autres espaces verts sont situés dans la partie supérieure, sur les carrés 6 7 et 8. Citons aussi, le parc d’Ornano dans le carré 16, la colline aux oiseaux dans le carré 7, et le jardin des plantes sur les carrés 14 et 15. Le boulevard périphérique traverse toute la carte sur la ligne des carrés 6 à 11. Note : le carré nul, tout à fait en haut à droite de la grille ne contenant que deux rues, nous n’avons pas jugé utile de lui consacrer une carte entière. Il s’agit de la partie Nord de l’avenue côte de Nacre et de la rue Moïse Ohayon.
Nous nous trouvons au Nord de Caen, au Nord du quartier de la Folie Couvrechef, (voir carte D 20), à la limite de la commune d’Épron, (voir carte A 2). Sont situés sur cette carte, le Campus 2, (c 2) et le complexe sportif des Bénédictines, (c s).
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et longeons le bord vers l’Est. Nous coupons d’abord, la rue de la Folie, (f o), la rue de la Marre de la Folie, (m f), la rue de Malon, (m a), puis la rue des Bénédictins, (b é). Nous longeons ensuite le complexe sportif des Bénédictines, (c s), avant de couper le Petit Clos Saint-Marc, (p c), et enfin la rue du Président Ribot, (p r). Nous arrivons sur le coin inférieur droit de la carte où se trouve le campus 2, dit aussi campus côte de Nacre, (c 2). Celui-ci est établi sur des terrains de 30 hectares acquis par la ville de Caen en 1968 et situés entre l’ancienne ligne de chemin de fer de Caen à la mer et la route de la Délivrande. Au cours des années, de nombreux établissements s’y sont implantés, notamment, l’institut universitaire de technologie, un restaurant et deux résidences universitaires construits en 1969-1970, l’institut régional d’éducation physique et sportive (actuel UFR STAPS), en 1970, l’institut des sciences de la matière et du rayonnement entre 1986 et 1990 (École nationale supérieure d’ingénieurs de Caen depuis 2002), et l’UFR des Sciences entre 1996 et 1998.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et cherchons les lettres "f o". Nous sommes rue de la Folie. Remontons vers le Nord-Est en suivant la limite communale. Celle-ci est d’abord formée par la rue de la Folie. En suivant cette rue nous croisons la rue de la Mare de la Folie, (m f), puis la rue de Malon, (m a). À ce niveau nous trouvons à l’Ouest, la flèche indiquant la direction de Courseulles-sur-Mer, (D79). À hauteur de la rue de Malon, la rue de la folie se prolonge par la rue d’Épron, (e p). Si nous continuons à suivre la limite communale vers le Nord-Est, sans prendre la rue d’Épron, nous croisons l’allée du Bec Héllouin, (b h). Si nous reprenons ensuite la rue d’Épron, nous croisons, au Sud-Est, la rue des Bénédictins, (b é), puis la rue de Couvrechef, (c o), à la hauteur de laquelle nous retrouvons la rue d’Épron qui devient limite communale. En remontant vers le Nord, nous croisons, le grand clos Saint-Marc, (g c), puis nous arrivons tout au Nord de Caen où se situent plusieurs stades. À l’Ouest de ces stades nous avons l’allée de Jumièges, (j u), qui rejoint au Sud les petit et grand clos Saint-Marc.
Nous sommes au Nord-Ouest de Caen à la limite de la commune de Saint-Contest dans le quartier de la Folie-Couvrechef, (voir carte D 20). La Chambre de Commerce et d’Industries, longtemps installée en centre-ville, boulevard Maréchal Leclerc, a déménagé dans ce quartier de Caen il y a quelques années. Elle est située à la limite de Caen et de Saint-Contest, c’est pourquoi, nous l’avons placée juste à l’extérieur de la limite de Caen, à cheval entre les deux communes.
Le côté Ouest est formé par la rue de la folie, (f o), dont nous trouvons le début sur le coin supérieur droit de la carte. La rue de la Folie est orientée Nord-Ouest Sud-Est et forme la limite des communes de Caen et Saint-Contest. Elle débouche sur le boulevard du Maréchal Juin, (m j), que nous pouvons suivre jusque sur le coin inférieur de la carte. À l’angle du boulevard Maréchal Juin et de la rue de La Folie, nous trouvons l’indication de la direction de Creully/Arromanches par la D22. À l’angle de ces deux axes nous trouvons le rond-point du débarquement. Autour de celui-ci, se sont construits depuis quelques années de nombreux établissements touristiques, commerciaux et industriels. Citons entre autres, la Chambre de Commerce et d’Industrie, (c c i), et le parc Athena situé entièrement sur la commune de Saint-Contest.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche et déplaçons-nous vers l’Est. Nous coupons le boulevard du Maréchal Juin qui arrive du Sud, (voir carte 7). Nous coupons ensuite la rue Alfred Kastler, (a k), l’avenue du Maréchal Montgomery, (m g), puis l’avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny, (m l). Comme le boulevard Maréchal Juin, toutes ces rues viennent du Sud, (Voir carte 7).
Restons sur le coin inférieur droit et remontons vers le Nord le long du bord droit de la carte. Nous coupons le boulevard de Lattre de Tassigny, (m l), le boulevard Maréchal Juin, (m j), la rue des Alouettes, (a l) et le chemin Fourchu, (c f). En continuant vers le Nord, nous coupons la rue de la Folie, (f o). Toutes ces rues se prolongent à l’Est, (voir carte 3).
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et suivons le bord inférieur vers l’Est. Nous trouvons les lettres "m j". Nous sommes sur le boulevard Maréchal Juin. En le suivant, nous croisons la rue de la Folie qui vient du Nord et qui débouche sur le boulevard au niveau du rond-point du débarquement. Arrivant du Sud, nous avons la rue Alfred Kastler, (a k), et la rue du Maréchal Montgomery, (m g). Faisant la liaison de l’avenue du Maréchal Montgomery avec l’Avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny, la rue du Colonel Rémy, (c l).
Plaçons-nous dans le haut de la carte. Nous sommes sur la rue de la Folie. En la descendant vers le Sud, nous croisons la rue du chemin Fourchu, (c f), puis à Deux reprises, la rue des compagnons, (c o). Faisant la liaison entre les deux Branches de la rue des Compagnons, la rue de l’Atelier, (a t). Celle-ci est donc parallèle à la rue de la Folie.
Nous sommes au Nord de Caen, dans le quartier de la Folie-Couvrechef, (voir carte D 20), à la limite de Saint-Contest, (voir carte A 3). Dans le coin supérieur droit, nous avons le Lycée Privé Notre-Dame de la Fidélité, (f i), et le Monastère des Bénédictines, (c v). À l’Ouest, entre la rue de la Folie et le boulevard Maréchal Juin, nous trouvons le parc de la Fossette et les stades du même nom. De l’autre côté du boulevard Maréchal Juin, à la hauteur du parc de la Fossette, se trouve le jardin des Poètes bordé à l’est par l’avenue de Lattre de Tassigny. Au sud du jardin des Poètes, nous trouvons le lycée Camille Claudel, (c c). De l’autre côté de l’avenue de Lattre de Tassigny, nous trouvons le jardin des Acadiens bordé par la rue du même nom. Le monastère des bénédictines est établi dans ce quartier en remplacement de celui situé avant la seconde guerre mondiale sur le terrain actuel de la clinique de la Miséricorde. Terminé de construire en 1959, il est dédicacé en 1960. IL est l’œuvre d’un architecte parisien Jean Zunz, assisté par l’architecte de la ville de Caen Marcel Clot. Pour des raisons financières, les religieuses en cèdent la majeure partie à la Maison de retraite Saint-Benoît en 1986. La Claustra est fermée par un vitrail, oeuvre de Sergio de Castro qui représente la création du monde. Cette verrière est considérée comme une oeuvre majeure de l’art du vitrail de la fin du XXe siècle. Le lycée Notre-Dame de la Fidélité a été ouvert en 1996. Son entrée est située rue du petit clos Saint-Marc, (voir carte 4). D’abord établi place Blot après la seconde guerre mondiale, il sera Avenue de Creully jusqu’à sa reconstruction. Signalons encore le collège Jacques Monod et le tennis club de Caen ainsi que la maison de quartier de la Folie-Couvrechef.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte. Nous sommes sur la commune de Saint-Contest. En nous déplaçant vers l’Est, le long de la carte, nous trouvons les lettres "f o". Nous sommes sur la rue de la Folie qui forme la limite entre saint-Contest et Caen. En descendant vers le sud, nous croisons, arrivant de l’est, la rue de la Chapelle, (c h), nous longeons le parc de la Fossette et nous parvenons sur le bord gauche de la carte que nous suivons vers le Sud après avoir quitté la rue de la Folie, (f o). Nous coupons la rue du chemin Fourchu, (c f), la rue des Alouettes, (a l), puis plus au Sud, le boulevard Maréchal Juin, (m j). En continuant à descendre vers le Sud, nous coupons l’avenue Maréchal de Lattre de Tassigny, (m l). Nous atteignons le coin inférieur gauche de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et longeons le bord vers l’est. Nous coupons l’avenue Jean Monnet, (j m), la rue René Duchez, (r d u), puis la promenade Maurice Schumann, (m s). En continuant vers l’Est nous coupons la rue des Boutiques, (b o), la rue des Deux Siciles, (d s). En continuant, toujours vers l’Est, nous coupons la rue du Devon, (d e), et l’avenue de Courseulles, (c o). Nous atteignons le coin inférieur droit de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit et remontons vers le Nord sur le bord de la carte. Nous coupons la rue des Potiers, (p o), la rue des Tisserands, (t i), puis nous retrouvons la rue des Potiers, (p o), qui se prolonge vers l’est, (voir carte 4). Nous retrouvons le boulevard Maréchal Juin, (m j), puis Nous atteignons le coin supérieur droit de la carte.
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit et déplaçons-nous vers l’Ouest, le long du bord supérieur de la carte. Nous coupons la rue des bénédictins, (b é), la rue de Malon, (m a), puis la rue Marre de la Folie, (m f). Nous arrivons sur la rue de la Folie, (f o), à la limite de Saint-Contest.
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte et cherchons les lettres "m j". Nous sommes sur le boulevard Maréchal Juin qui traverse toute la carte du Nord-Est au Sud-Ouest. En suivant le boulevard, nous traversons une première intersection constituée de la rue de Malon, (m a), qui vient du Nord et de l’avenue de Courseulles, (c o), qui descend vers le sud jusqu’au bord inférieur de la carte. Ces deux rues constituent un axe Nord-Sud. Dans la rue de Malon sont situés la maison de quartier, (m q), et le couvent des Bénédictines, (c v). En continuant sur le boulevard Maréchal Juin, nous longeons, au Nord les stades et le parc de la Fosette et au Sud, le jardin des Poètes. Juste après les stades, venant du Nord, nous croisons la rue du chemin Fourchu. Au même niveau, au Sud du boulevard, se trouve le lycée Camille Claudel, (c c). Nous parvenons à l’extrémité du boulevard Maréchal Juin sur le bord gauche de la carte.
Dans le coin inférieur gauche de la carte, nous avons les lettres "m l". Nous sommes sur le boulevard de Lattre de Tassigny. En le remontant vers le Nord-Est, nous croisons l’avenue Jean Monnet, (j m), puis la rue René Duchez, (r d u), qui, toutes deux, arrivent du Sud. Nous longeons à l’Ouest le jardin des Poètes et venant de l’Est, la promenade Maurice Schumann, (m s), puis la rue des Acadiens, (a c). Nous longeons ensuite le jardin des Acadiens puis plus loin au Nord, la rue Jacques Prévert, (j p), qui fait une boucle sur elle-même. Au 1 de la rue Jacques Prévert, se trouve le collège Jacques Monod, (j m). L’avenue de Lattre de Tassigny débouche dans l’avenue de Courseulles, (c o), et se prolonge vers l’Est dans la rue des Tisserands, (t i). L’avenue de Courseulles forme, avec la rue de Malon, (m a), l’axe Nord sud de la carte. En continuant vers l’Est sur la rue des Tisserands, nous croisons arrivant du Nord, la rue des Luthiers, (l u). La rue des Tisserands s’oriente alors vers le Sud-Est. Nous parvenons à l’intersection formée à l’Ouest par l’allée des Orfèvres, (o), et à l’Est, par la rue des Potiers, (p o). La rue des Potiers forme une boucle pour revenir sur la carte plus au Sud, (voir carte 4).
Sur le bord supérieur de la carte, cherchons les lettres "b é". Nous somme sur la rue des Bénédictins. En la suivant vers le Sud, nous traversons la place Dom Aubourg, (d a), puis la rue de Malon, et nous arrivons dans la rue de la Chapelle, (c h), qui est orientée Ouest. Nous croisons une première fois, venant du Sud, la rue Pierre de Coubertin. En poursuivant sur la rue de la chapelle qui s’incurve progressivement vers le Sud-Ouest, nous croisons une seconde fois la rue Pierre de Coubertin qui arrive de l’Est. Nous croisons ensuite la rue du Marathon, (m), qui vient également de l’Est et qui boucle sur elle-même. Nous pouvons donc la suivre soit en partant vers le Nord, soit en partant vers le Sud. En suivant la rue du Marathon vers le Nord, nous croisons la rue du Discobole, (d), voie sans issue, qui vient de l’Est. La rue du Marathon s’oriente alors vers l’Est. Nous croisons successivement, trois branches de la rue Pierre de Coubertin, puis la rue du Marathon s’oriente vers le Sud, puis vers l’Ouest, puis revient à son point de départ, à la hauteur de la rue de la Chapelle. En suivant la rue de la Chapelle jusqu’au bout, nous débouchons sur la rue de la Folie à la limite de Caen et de Saint-Contest. Au 37 de la rue de la chapelle se trouve l’entrée du Tennis club de Caen, (t c c).
Plaçons-nous sur le bord inférieur de la carte et cherchons les lettres "d e". Nous sommes sur la rue du Devon que nous remontons vers le Nord. À la hauteur de la jonction avec la rue de Bengale, (b e), nous croisons la rue du Bosphore, (b), qui arrive de l’Ouest. En continuant sur la rue du Bengale, qui s’incurve vers l’Ouest, nous croisons l’allée des Charmilles, (c h a), qui vient du Sud. La rue du Bengale se prolonge par la rue du Tibet, (t), orientée Sud. Nous empruntons ensuite une rue "sans nom" qui nous amène au début de la rue des Boutiques, (b o). En suivant la rue des Boutiques vers le Sud, nous croisons une rue "sans nom", qui relie la rue des Boutiques à la rue des acadiens à l’Ouest et la rue des Deux Siciles, (d s), à l’Est. La rue des Boutiques nous ramène sur le bord inférieur de la carte sur le code "b o".
Nous sommes dans le Nord-Est de Caen. La carte est traversée par trois axes principaux. Le boulevard Général Weygand, (g w) et l’avenue Côte de Nacre, (c n), qui la traverse du Nord au Sud, et le boulevard Maréchal Juin, (m j), qui la traverse d’Ouest en Est. Le long du boulevard Général Weygand, se trouve le bâtiment de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, (c p a m). Plus bas, le long du boulevard, nous trouvons une zone verte.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche et descendons vers le Sud, le long du bord de la carte. Nous coupons le boulevard Maréchal Juin, (m j), puis la rue des Potiers, (p o), la rue des tisserands (t i), puis nous retrouvons la rue des Potiers, (p o), qui forme une boucle vers l’intérieur de la carte. Nous atteignons le coin inférieur gauche de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche et longeons le bord de la carte vers l’Est. Nous coupons d’abord le boulevard Général Weygand, (g w), puis la rue des Vaux de la Folie, (v f), puis la rue de la Girafe, (g i), et enfin l’avenue Côte de Nacre, (c n).
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit de la carte et longeons le bord droit vers le Nord. Nous trouvons d’abord l’avenue du Professeur André Morice, (a m), puis tout au Nord, le boulevard Henri Becquerel, (b e).
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte et longeons le bord Nord vers l’Ouest. Nous coupons d’abord l’avenue Côte de Nacre, (c n), puis la rue du Président Ribot, (p r), et la rue du petit clos Saint-Marc, (p c). Nous atteignons le coin supérieur gauche de la carte.
Plaçons-nous sur le bord gauche de la carte et cherchons les lettres "m j". Nous sommes sur le boulevard Maréchal Juin, qui vient de l’Ouest, (voir carte 3 et 2). En le suivant vers l’est, nous croisons d’abord, venant du Nord, la rue du petit clos Saint-Marc, (p c), puis le boulevard Général Weygand arrivant du sud, (g w).Passé le boulevard Général Weygand, on longe la caserne des Pompiers (non indiquée sur la carte). Nous croisons ensuite la rue Jean Baptiste Colbert, (j b c), à la hauteur de laquelle se trouve le centre commercial de la Côte de Nacre, toujours au Sud. Le boulevard Maréchal Juin débouche ensuite sur l’avenue Côte de Nacre, (c n), puis se prolonge vers l’Est par le boulevard Henri Becquerel, (b e).
Plaçons-nous sur le bord supérieur de la carte et cherchons les lettres "c n". Nous sommes sur l’avenue Côte de Nacre. Le départ de celle-ci se situe, à la limite de la commune, (voir carte C). En la suivant vers le sud, nous traversons l’intersection formée à l’Ouest par le boulevard Maréchal Juin, (m j) et à l’Est par le boulevard Henri Becquerel, (b e), par lequel passe le Tramway, (ligne B), qui arrive du sud par l’avenue Côte de Nacre, et sort de Caen vers Hérouville-Saint-Clair. En continuant l’avenue Côte de Nacre vers le Sud, nous croisons deux rues "sans nom", venant de l’Est, puis l’avenue du Professeur André Morice, (a m). Nous atteignons le bord inférieur de la carte.
Plaçons-nous sur le bord inférieur de la carte et cherchons les lettres "g w". Nous sommes sur le boulevard Général Weygand. En remontant vers le Nord, nous longeons à l’Est une zone verte, puis nous croisons la rue de la Girafe, (g i), qui vient de l’Est. Puis le boulevard Maréchal Weygand débouche au Nord sur le boulevard Maréchal Juin. Nous parvenons à la hauteur du campus 2, (c 2), situé au Nord du boulevard Maréchal Juin et dans le Prolongement du boulevard Général Weygand. Le campus s’étend vers le Nord, (voir carte 1). Par cet axe, passait la ligne de chemin de fer de Caen à la mer dont la gare de départ était située rue Saint-Martin.
Sur le bord inférieur de la carte, cherchons les lettres, (g i). Nous sommes sur la rue de la girafe. En la suivant vers le Nord-Ouest, nous croisons l’Impasse de la Girafe, (g), qui arrive du Sud-Ouest. En poursuivant notre progression sur la rue de la Girafe, nous croisons, au Sud, la rue des Vaux de la Folie, (v f), puis partant vers le Nord, la rue Jean Baptiste Colbert, (j b c). Si nous continuons sur la rue de la Girafe, après avoir longé le Nord de la zone verte, nous débouchons sur le boulevard Général Weygand.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et en remontant, cherchons les lettres, (p o). Nous sommes sur la partie Sud de la rue des Potiers. Nous suivons d’abord la rue des Potiers vers l’Est, puis elle bifurque vers le Nord. Nous croisons alors la rue des Tisserands, (t i) qui vient de l’Ouest, (voir carte 3), puis la rue d’Aubusson, (a u). Après avoir dépassé la rue d’Aubusson, la rue des Potiers s’oriente vers l’Ouest et nous ramène sur le bord gauche de la carte sur les lettres, (p o).
Nous sommes au Nord de Caen à la limite d’Hérouville-Saint-Clair, dans le quartier de la Pierre-Heuzé. Dans le quart inférieur gauche de la carte, nous trouvons le Centre Hospitalier Universitaire, (c h u), et dans le quart supérieur gauche le campus 4, (c 4). Au centre de la carte se trouve le Centre Psychiatrique Esquirol, (c e). Enfin, dans la partie inférieure droite, nous avons le centre Anti-cancéreux François Baclesse, (c f b). Le campus 4 regroupe depuis 2007 un ensemble d’établissements axés sur l’économie et la gestion. La plupart de ces établissements universitaires sont situés rue Claude Bloch, dans un ancien centre de l’EDF qui abrite également l’ENSI-Caen (école nationale supérieure d’informatique).
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte et descendons vers le Sud. Nous trouvons d’abord le boulevard Henri Becquerel, (b e), puis plus au Sud, l’avenue du Professeur André Morice, (a m), qui viennent de l’Ouest, (voir carte 4).
Nous sommes sur le bord inférieur de la carte, Nous y trouvons l’avenue Général Harris, (g h).
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit de la carte et remontons le long de la limite de la commune de Caen vers le Nord. Nous trouvons d’abord l’extrémité Est de la rue de la Haye Mariaise, (h m), puis l’avenue du Parc Saint-André, (p s a), puis l’extrémité Est de l’avenue du Général Harris, (g h). Sur l’Est de la limite communale, l’indication D60 entourée par une flèche, indique la direction vers Lion-sur-Mer. Reprenons la limite communale, toujours en remontant vers l’Est, nous trouvons ensuite l’extrémité Nord de la rue du Professeur Édouard Zarifian, (e z), puis tout au Nord, l’extrémité Est du boulevard Henri Becquerel.
Plaçons nous sur le côté gauche de la carte et cherchons les lettres "a m". Nous sommes sur la rue du Professeur André Morice. En la suivant vers l’Est, nous arrivons à une intersection formée par la rue Joseph Rousselot, (j r) venant du Sud et par la rue Claude bloc qui monte vers le Nord. La rue Claude Bloc débouche sur le boulevard Henri Becquerel et se prolonge jusqu’à la limite communale par la rue Moïse Ohayon qui n’est pas présente sur l’Atlas.
Nous sommes au Nord-Ouest de Caen à la hauteur du périphérique nord qui traverse la carte d’Ouest en Est. Il délimite deux quartiers, la Folie-Couvrechef au Nord et le Chemin-Vert Au Sud, (voir carte D 20 9). Une grande partie de la carte est occupée par le cimetière du Parc d’Authie, longé par la rue d’Authie qui traverse la carte en diagonale du Nord-Ouest au Sud-Est.
Plaçons-nous sur le bord supérieur de la carte et cherchons les lettres "v b". Nous sommes sur la rue de Villon les Buissons. En suivant la limite communale entre Caen et Saint-Germain-la-Blanche-Herbe, vers le Sud-Ouest, nous croisons la rue d’Authie, (a u), puis après avoir longé le cimetière du Parc d’Authie, nous croisons le chemin de l’Abbaye d’Ardennes, (a a). En continuant à longer la limite communale, qui dessine un angle et s’oriente vers le Sud-Est, nous arrivons à la jonction entre le périphérique nord et la nationale 13, puis nous parvenons sur le bord inférieur de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et déplaçons-nous vers l’Est. Nous coupons le chemin de l’Abbaye d’Ardennes, (a a), puis la rue d’Alsace, (a l), la rue du Désert, (d é), la rue d’Auvergne, (a v), puis la rue d’Authie, (a u). Toutes ces rues se prolongent vers le Sud, (voir carte 12).
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit et remontons vers le Nord. Nous coupons la rue de Bourgogne, (b o), la rue de Touraine, (t o), puis nous arrivons à la hauteur du périphérique nord, (b p) que nous traversons. En continuant le long du bord droit de la carte, vers le Nord, nous coupons la rue de la Cotonnière, (c o) et la rue de Villon les Buissons, (v b). Toutes ces rues se prolongent vers l’Est, (voir carte 7). Nous atteignons le coin supérieur droit de la carte.
En partant du coin inférieur droit et en longeant le bord inférieur de la carte, nous trouvons les lettres "a u". Nous sommes sur la rue d’Authie que nous remontons vers le Nord. Nous croisons, venant de l’Ouest la rue d’Auvergne, (a v), puis, arrivant de l’Est, la rue de Bourgogne, (b o), puis la rue de Touraine, (t o). Nous passons ensuite au-dessus du périphérique. En longeant le Cimetière du Parc d’Authie à l’Ouest, nous croisons la rue de la Cotonnière, (c o), à l’Est, puis nous atteignons la limite communale.
Il traverse la carte d’Ouest en Est. En le suivant, nous passons d’abord au-dessous du chemin de l’Abbaye d’Ardennes, (a a), puis nous longeons à l’Ouest une série de stades rassemblés sous le nom de Stade du Chemin-Vert, puis nous passons au-dessous de la rue d’Authie pour atteindre le bord droit de la carte. Le périphérique traverse la ville et se prolonge sur les cartes 7, 8, 9 10 et 11.
Nous sommes au Nord de Caen à la limite de Saint-Contest, (voir carte A). La carte est traversée d’Ouest en Est par le périphérique qui constitue la séparation entre le quartier de la Folie-Couvrechef et le quartier du Chemin-Vert, (voir carte D 20 9). Au Nord du périphérique, nous avons la colline aux oiseaux et au Sud des zones vertes. Dans le coin inférieur droit de la carte, nous trouvons la piscine du Chemin-Vert. Le parc floral de la colline aux oiseaux, installé sur une ancienne décharge, a été ouvert en 1994, à l’occasion du 50ème anniversaire du débarquement des alliés en 1944. D’une surface de plus de 17 hectares, il offre aux visiteurs, outre des jardins à thème, un labyrinthe d’ifs et de buis et une roseraie composée de plus de 15.000 roses réparties en 570 variétés du moyen-âge à nos jours.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche. Nous sommes sur la commune de Saint-Contest. En descendant vers le Sud, sur le bord gauche de la carte, nous entrons dans Caen. Nous coupons la rue de Villon les Buissons, (v b), puis la rue de la Cotonnière, (c o). En continuant vers le sud, nous traversons le périphérique, (b p), puis nous coupons la rue de Touraine, (t o), puis la rue de Bourgogne, (b o). Nous atteignons le bord inférieur de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et déplaçons-nous vers l’Est. Nous allons couper des rues qui viennent toutes du Sud, (voir carte 13). Nous coupons la rue de Berry, (b e), la rue du bouvreuil, (b o u), puis la rue du Chemin-Vert, (c v). En continuant à longer le bord inférieur de la carte, nous coupons la rue Molière, (m o), la rue Jean Racine, (j r), puis l’avenue Robert Schuman, (r s). À la hauteur de ces deux rues se trouve la résidence Jean racine. À l’Est de la rue Molière, au-dessous de la rue de Flandre, nous trouvons l’ancien collège Albert Jacquard, (a j), fermé en 2013. Nous atteignons le bord droit de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit. En remontant vers le Nord, le long du bord droit de la carte, nous retrouvons l’avenue Robert Schuman, (r s), puis nous coupons la rue de Champagne, (c h) et Nous traversons le boulevard périphérique, (b p). En poursuivant vers le Nord, nous coupons l’avenue Mountbatten, (a m), nous longeons une zone verte, puis nous coupons l’avenue du Maréchal Montgomery, (m g), la rue de Nashville, (n a), puis la rue René Cassin, (r c), Prix Nobel de la Paix. Nous atteignons le bord supérieur droit de la carte.
Plaçons-nous dans le coin supérieur droit de la carte. En nous déplaçant vers l’Ouest, nous coupons l’avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny, (m l), puis nous retrouvons l’avenue du Maréchal Montgomery, (m g). En continuant à longer le bord supérieur de la carte vers l’Ouest, nous coupons la rue Alfred Kastler, (a k), puis l’avenue du Maréchal Juin, (m j).
Plaçons-nous sur le bord supérieur de la carte à la limite de Caen et de Saint-Contest. Nous avons les lettres "m j". Nous sommes sur l’avenue du Maréchal Juin. En la suivant vers le Sud, nous croisons, venant de l’Est, l’avenue de l’Amiral Mountbatten, (a m), puis arrivant de l’Ouest, la rue de Villons les Buissons, (v b). À l’est de l’avenue du Maréchal Juin, nous trouvons les stades de la Colline Verte. Encore plus au sud, après être passé au-dessus du périphérique, nous arrivons sur la rue du Chemin-Vert. En la suivant, après avoir longé une zone verte, nous coupons la rue de Touraine, puis nous arrivons sur une intersection formée par la rue de Bourgogne, (b o), à l’Ouest et la rue de Champagne à l’Est. Plus au sud, nous longeons, à l’Est la résidence des Pinsons, puis l’allée du Rossignol à l’Ouest, (r). Presqu’aussitôt venant de l’Est, nous croisons la rue de Flandre, (f l) et nous atteignons le bord inférieur de la carte. À l’angle de la rue de Flandre et de la rue du Chemin-vert, se trouve la résidence des Rossignols.
Sur le bord droit de la carte, cherchons les lettres "a m". Nous sommes sur l’avenue de l’Amiral Mountbatten. En la suivant vers le Nord-Ouest, nous longeons la Colline aux oiseaux côté Sud et des zones vertes côté Nord. Nous croisons, venant du Nord, la rue du Général Dempsey, (g d), puis la rue du Commodore J.H. Hallet, (c j). Plus loin, nous croisons arrivant du Nord, la rue Alfred Kastler, (a k), venant du Sud, la rue des Mouettes, (m), puis nous parvenons sur l’avenue du Maréchal Juin.
Replaçons-nous sur le bord droit et cherchons les lettres "m g". Nous sommes sur l’Avenue du Maréchal Montgomery. En la suivant vers le Nord-Ouest, nous croisons, venant du Nord, la rue de Nashville, (n a), puis l’avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny, (m l). En continuant dans la même direction nous croisons, venant du Sud, la rue du Commodore J.H. Hallet, (c j). Si nous suivons la rue du Commodore vers le Sud, nous croisons deux rues qui encadrent la rue du Commodore avec leur deux branches : à l’Ouest, la rue Bailey, (b a), et à l’Est la rue Karl Probst, (k p). La rue du Commodore J.H. Hallet rejoint ensuite l’avenue de l’Amiral Mountbatten.
Nous sommes à la limite de trois quartiers. Le quartier de la Folie-Couvrechef occupe tout le Nord de la carte. Il est bordé au Sud par le périphérique. Le quartier du Chemin-Vert, dans le coin inférieur gauche, est limité par l’avenue de l’Amiral Mountbatten. Dans la partie inférieure de la carte, se trouve le quartier de la Verte Vallée occupé presque exclusivement par des zones vertes, (voir carte D 20 9 10). Nous trouvons sur cette carte le Mémorial pour la paix, (m é), la clinique Saint-Martin, (s m), l’église Sainte-Claire et la partie Ouest de la Vallée des Jardins. Un certain nombre de rues font référence à la seconde guerre mondiale ou à des personnalités ayant joué un rôle pendant cette période ou ayant œuvré depuis pour la paix. Dans la partie inférieure de la carte, nous retrouvons le quartier des peintres également présent sur la carte 13. L’église Sainte-Claire, érigée en 1980, est la dernière-née des églises caennaises. Nous pouvons y voir, à gauche de l’autel, une tapisserie dédiée à la sainte, réalisée par trois brodeuses d’après une création d’Anne-Marie Nouzille, artiste caennaise. Le mémorial pour la Paix, conçu par l’architecte Jacques Millet et le Muséographe Yves Devraine, est construit sur l’emplacement du poste de commandement du Général Richter, commandant de la 71ème armée d’infanterie allemande pendant la guerre de 1939-1945. Il est entouré de trois jardins édifiés en mémoire des armées alliées au cours des années qui ont suivi son inauguration, dans une ancienne carrière dans ce que l’on nomme aujourd’hui la Vallée du Mémorial. Imaginé par Jean-Marie Giro en 1969, la première pierre est posée par Jacques Chirac, alors premier ministre, en 1986 et inauguré par François Mitterrand Président de la république en 1988. Sur l’entrée principale de l’édifice, le visiteur peut lire et méditer cette phrase de Paul Dorey : "La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté.", (Il s’exprime ici au nom de la Normandie). Le musée du Mémorial de Caen consacré à la Paix, n’a cessé d’évoluer depuis sa création en 1988. La Clinique Saint-Martin, officiellement hôpital privé Saint-Martin, ouverte en janvier 1993 est le résultat de la fusion entre trois cliniques : l’ancienne clinique Saint-Martin dont l’entrée était située Avenue du Canada, la Clinique Saint-Joseph qui était établie avenue du 6 Juin et la Clinique Saint-Pierre située rue Élie de Beaumont.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche et descendons vers le sud le long du bord gauche de la carte. Nous coupons d’abord la rue René Cassin, (r c), la rue de Nashville, (n a), puis l’avenue du Maréchal Montgomery, (m g). Nous longeons ensuite la vallée verte au centre de laquelle se trouve le Mémorial pour la Paix, (m é). En continuant à descendre le long du bord gauche de la carte, nous coupons l’Avenue de l’Amiral Mountbatten, (m b), nous traversons le périphérique, nous coupons la rue de Champagne, (c h), nous longeons la place de l’Europe, (e u), nous coupons l’avenue Robert Schuman, (r s), puis nous atteignons le coin inférieur gauche de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche et déplaçons-nous vers l’Est, sur le bord inférieur de la carte. Nous coupons la rue Alfred de Musset, (m u), la rue de Rosel, (r o), puis la rue Paul Gernez, (p g). En continuant le long du bord inférieur de la carte, vers l’Est, nous coupons la rue Raoul Dufy, (r d), puis la rue Eugène Boudin, (e b). En continuant, toujours dans la même direction, nous coupons la rue du Commandant le Coutour, (c c), l’allée Verte Vallée, (v v), puis le boulevard Général Weygand, (g w). Nous traversons le jardin de la Vallée verte qui s’étend vers le Sud, (voir carte 14), puis nous atteignons le coin inférieur droit de la carte.
Restons sur le coin inférieur doit de la carte et remontons vers le Nord. Nous traversons la vallée des Jardins et nous parvenons à la hauteur du périphérique, (b p). En continuant à longer le bord droit de la carte, nous traversons le périphérique, nous coupons l’avenue de Courseulles, (c o), puis nous longeons une zone verte. Nous coupons le boulevard Général Weygand, (g w), puis, après avoir longé une autre zone d’espaces verts, nous atteignons le bord supérieur de la carte.
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte et dirigeons-nous vers l’Ouest. Nous retrouvons l’avenue de Courseulles (c o), puis la rue du Devon, (d e) qui se prolongent vers le Nord, comme toutes les rues nommées dans ce paragraphe, (voir carte 3). Nous coupons ensuite la rue des Deux Siciles, (d s), la rue des Boutiques, (b o), puis la promenade Maurice Schumann, (m s). En continuant sur le bord supérieur de la carte, toujours vers l’Ouest nous croisons la rue René Duchez, (r d u), puis la rue Jean Monnet, (j m). Nous arrivons sur le coin supérieur gauche, sur la rue René Cassin, (r c), qui fait exception et vient de l’Ouest, (voir carte 7).
Plaçons-nous sur le bord gauche de la carte et cherchons les lettres "m g". Nous sommes sur l’avenue du Maréchal Montgomery. Durant tout ce parcours nous allons longer des espaces verts au centre desquels est situé le Mémorial pour la Paix, (m é). En suivant l’Avenue du Maréchal Montgomery, nous croisons, venant du Nord, le cours Abbé Franz Stock, (a f), puis la rue Normandie Niemen, (n n). L’avenue du Maréchal Montgomery se prolonge par la rue des Roquemonts, (r o q). Débouchant à ce carrefour, arrivant du Nord, nous croisons le court des Français Libres, (f l), puis l’esplanade Brillaud de Laujardière, (b l), l’un des principaux animateurs de la reconstruction de Caen, après 1945. Nous sommes à la hauteur de la Clinique Saint-Martin, (s m). En continuant, nous croisons, venant du Sud, l’allée du Roc en Val, (r v). Celle-ci descend vers le sud, passe au-dessus du périphérique et rejoint l’allée de la Verte Vallée, (v v), à la hauteur de la rue Robert Castel, (r), qui arrive de l’Ouest. Dans la rue de la ValléeVerte, venant aussi de l’Ouest, nous avons la rue du Commandant le Coutour, (c c). Dans la rue du Commandant le Coutour, débouche la rue Jean Daligault, (j d) Revenons sur la rue des Roquemonts. Elle dessine alors une courbe orientée d’abord vers le Nord, puis vers l’Ouest, pour nous ramener sur l’esplanade Brillaud de Laujardière. En remontant l’Esplanade vers le Nord, après avoir croisé une rue sans nom, nous aboutissons sur l’avenue de Courseulles (c o), sur le bord supérieur de la carte.
Plaçons-nous sur le côté droit de la carte et cherchons les lettres "g w". Nous somme sur le boulevard Général Weygand. En le suivant vers le Sud, nous traversons des zones vertes, puis nous coupons l’avenue de Courseulles (c o). Nous continuons notre progression à travers les espaces verts puis nous passons au-dessous du périphérique. Nous longeons ensuite le Jardin de la Vallée Verte, puis nous atteignons le bord inférieur de la carte.
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit. En nous déplaçant vers l’Ouest, cherchons les lettres "c o". Nous sommes sur l’avenue de Courseulles. En la suivant vers le sud, nous croisons, l’esplanade Brillaud de Laujardière, (b l), qui part vers le Sud-Ouest. En suivant l’Esplanade, nous croisons arrivant de l’Est, la rue des Roquemonts, (r o q). En continuant, nous croisons venant de l’Ouest, pratiquement à la même hauteur, la rue des Deux Siciles qui part vers le Nord, et l’avenue Jean Monnet qui arrive de l’Ouest. En poursuivant sur l’esplanade Brillaud de Laujardière, nous croisons à l’Ouest la Porte de l’Afrique qui fait la liaison avec la rue du Sénégal, (s é). Nous arrivons ensuite au bout de l’esplanade, à la jonction entre la rue des Roquemonts à l’Est et l’avenue du Maréchal Montgomery, qui part vers l’Ouest.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche et longeons le bord supérieur de la carte. Nous trouvons les lettres "j m". Nous sommes sur l’avenue Jean Monnet. En la suivant vers le Sud-Est, nous croisons la rue de Nashville, (n a). L’avenue Jean Monnet s’infléchit vers l’Est et coupe la rue Normandie Niemen, (n n). Nous traversons ensuite la place de Portsmouth, (p o), sur laquelle débouche, venant du Sud, le court des Français Libres, (f l). Nous longeons la place David Badache, (d b), puis nous croisons la rue du Sénégal, (s é), au Sud. Nous parvenons alors à la hauteur de la place de Wurzburg, (w u), sur laquelle se trouve l’église Sainte-Claire. Nous croisons la rue des Deux Siciles et nous terminons sur l’esplanade Brillaud de Laujardière.
Plaçons-nous sur le bord gauche de la carte et cherchons les lettres "r s". Nous somme sur l’avenue Robert Schuman, qui vient du Sud-Ouest (voir cartes 13 et 7). En la suivant, nous longeons la place de l’Europe, (e u). Venant du sud, nous croisons la rue Alfred de Musset, (m u), puis la rue de Rosel, (r o). Dans le prolongement de la rue de Rosel, nous trouvons l’avenue de l’Amiral Mountbatten, (a m). L’avenue Robert Schuman se prolonge par la rue Eugène Boudin. En prenant la rue Eugène Boudin, nous croisons la rue Paul Gernez puis la rue Raoul Dufy. La rue Eugène Boudin se prolonge vers le sud, (voir carte 14).
Nous sommes dans les quartiers de la Verte-Vallée, et de l’Université, (voir carte D 10 12). Dans la partie inférieure droite, se trouve le Nord du Campus 1 avec à l’intérieur une zone verte sur laquelle se trouve le stade. Au Nord du Campus, limité par l’avenue de Bruxelles, (b r), Nous trouvons la maison de quartier du Calvaire Saint-Pierre, (m q), le lycée Victor Hugo, (v h) et l’église Saint-André. Sur le bord droit de la carte, se trouve la partie Est de la Vallée des Jardins. Dans le coin supérieur gauche, nous voyons une zone verte séparée de la vallée des Jardins par le périphérique. Le mercredi matin,se tient le marché du Calvaire Saint-Pierre situé rue de la Défense Passive, (Environ Bingt-cinq commerçants).
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche, et déplaçons-nous vers le sud, en longeant le bord gauche de la carte. Après avoir traversé une zone verte, nous coupons le boulevard Général Weygand, (g w) Nous coupons l’avenue de Courseulles, (c o), puis nous traversons le périphérique, (b p). Nous traversons ensuite le jardin de la Vallée Verte et nous atteignons le coin inférieur gauche de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche et déplaçons-nous vers l’Est en longeant le bord inférieur de la carte. Nous croisons l’avenue de Courseulles, (c o), puis la rue du Magasin à Poudre, (m). Nous coupons la rue des Tilleuls, puis nous entrons sur le Campus Universitaire. Nous longeons ensuite la zone verte où est situé le stade, puis nous sortons du campus. En continuant, nous coupons la rue de la Délivrande, (d é), puis nous atteignons le coin inférieur droit de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit, remontons vers le Nord en longeant le bord droit de la carte. Nous coupons la rue Henri Prentout, (h p), puis la rue de Colleville, (c l) dans laquelle débouche la rue de Biéville, (b i), que nous coupons un peu plus haut. Nous coupons ensuite l’avenue Nicolas Copernic, (n c), puis nous retrouvons la rue de la Délivrande, (d é), qui se prolonge vers l’Est, (voir carte 10). En remontant vers le Nord, nous retrouvons à nouveau la rue de la Délivrande, (d é) qui revient de la carte 10. Nous retrouvons le périphérique, (b p), puis nous atteignons le coin supérieur droit de la carte.
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte et déplaçons-nous vers l’Ouest en longeant le bord supérieur. Nous coupons l’avenue Côte de Nacre, (c n), puis nous longeons le périphérique, (b p). En continuant vers l’Ouest, nous coupons la rue des Vaux de la Folie, (v f), puis nous traversons une zone verte, nous coupons le boulevard Général Weygand, (g w) et nous atteignons le coin supérieur gauche.
Plaçons-nous sur le bord gauche de la carte et cherchons les lettres "c o". Nous sommes sur l’avenue de Courseulles. En la suivant vers le Sud-Est, nous passons au-dessous du périphérique, nous longeons une zone verte, nous croisons la rue de Bény-sur Mer, (b n), qui vient du Sud, puis nous arrivons à la hauteur de la rue des Sablons, (s), qui part vers l’Est. Nous l’empruntons. Nous croisons, venant du Sud, la rue de l’Étrier, (é t), puis arrivant du Nord, la rue de Cambes, (c a m). En continuant sur la rue des Sablons, nous arrivons sur une intersection. Venant du Nord, nous avons la rue du Père Samson, (p s), arrivant du Sud, nous avons la rue des Tilleuls et prolongeant la rue des Sablons, l’avenue de Bruxelles, (b r). En poursuivant sur l’avenue de Bruxelles, nous croisons venant du Nord la rue du Lieutenant Jean Formey de Saint-Louvent, (l f), et arrivant du Sud, une rue sans nom. Nous longeons alors le Nord du Campus Universitaire. En continuant sur l’avenue de Bruxelles, nous croisons l’avenue du Professeur Horatio Smith, (p h) que le tramway emprunte en sortant du Campus. Nous croisons ensuite la rue de l’Abbé Bigot. Nous arrivons à la limite du Campus, à la hauteur de la rue du Moulin au Roy, (m l), qui vient du Sud. Nous débouchons alors sur la rue de la Délivrande, (d é). En remontant la rue de la Délivrande vers le Nord, nous trouvons à l’est, la rue de Colleville, (c o), qui nous amène sur le bord droit de la carte.
Plaçons-nous sur le bord inférieur de la carte et cherchons les lettres "t i". Nous sommes sur la rue des Tilleuls que nous suivons vers le Nord. Nous passons à la hauteur de la jonction entre la rue des Sablons, (s), à l’Ouest et l’avenue de Bruxelles à l’Est, puis nous entrons dans la rue du Père Samson, (p s). Nous croisons à l’Ouest, les deux entrées de la rue Cairon, (c). En continuant la rue du Père Sanson vers le Nord, nous arrivons à l’intersection entre la rue de Cambes, (c a m), venant du Sud-Ouest, et la rue de la Défense Passive, (d p), qui la prolonge à l’est. En poursuivant vers le Nord, sur la rue du Père Samson, nous croisons venant de l’Est, la rue de Fontaine Henry, (f), puis, arrivant du Nord, après être passé sous le périphérique, nous croisons la rue des Vaux de la folie, (v f). La rue du Père Samson s’oriente alors vers le Nord-Est. Nous retrouvons la deuxième entrée de la rue de Fontaine Henry, qui débouche du Sud ainsi que l’avenue du Professeur Horatio Smith, (p h). La rue du Père Samson est prolongée par l’avenue de Thiès, (t h). Remarquons que à cet endroit nous sommes presque à la hauteur du périphérique. En continuant sur l’avenue de Thiès, nous croisons la rue de Galmanche, (g a), qui arrive du Sud. L’avenue de Thiès bifurque alors vers le Sud. Nous croisons, venant de l’Ouest la rue Cardonnière, (c a), puis la rue René Norbert Sauvage, (r n). Ces deux rues se rejoignent plus à l’Ouest. En continuant sur l’avenue de Thiès, nous croisons arrivant de l’Ouest, la rue Jules Vernes, (j v), puis partant vers le Sud-Est, la rue de l’Abbé Bigot, (a b). L’avenue de Thiès opère un nouveau virage vers l’Ouest. À cette hauteur, Nous avons au Nord, l’église Saint-André, puis nous coupons l’avenue Horatio Smith, puis nous arrivons dans la rue Edmond Gombeaux, (e g). La rue Edmond Gombeaux bifurque vers le Nord. Nous avons à l’Est le lycée Victor Hugo, (v h), puis à l’Ouest la rue du Lieutenant J. Formey de Louvent, (l f). En continuant la rue Edmond Gombeaux vers le Nord, nous traversons la rue de la Défense Passive, (d p) et nous parvenons dans la rue de Cully, (c u), qui s’oriente vers l’Est. Nous débouchons sur l’avenue Horatio Smith que nous descendons vers le Sud. En descendant vers le Sud, nous croisons, à l’Ouest la rue de la Défense Passive, (d p) et plus bas à l’est, la rue Jules Vernes, (j v). Nous sommes à la hauteur de la Maison de Quartier du Calvaire Saint-Pierre, (m Q). Nous arrivons ensuite à une première intersection formée à l’Ouest, par la rue Edmond Gombeaux, (e d) et à l’Est, par l’avenue de Thiès, (t h). Nous arrivons sur une seconde intersection formée à l’Ouest par la rue des Vikings, (v i), et à l’Est par la rue Jules Rame, (j). Nous atteignons l’avenue de Bruxelles, (b r).
Plaçons nous sur le coin supérieur droit et cherchons les lettres "c n". Nous sommes sur l’avenue Côte de Nacre qui vient du Nord, (voir carte 4). En descendant vers le sud, nous passons au-dessus du périphérique, puis nous croisons, venant de l’Est, la rue de la Délivrande, (d é). Le Tramway emprunte cette partie de la rue de la Délivrande puis remonte vers le Nord par l’avenue Côte de Nacre. Nous arrivons à la hauteur de l’intersection formée par la rue Jules Verne, (j v) et par l’avenue Copernic, (c n), qui part vers l’Est. Arrivant du Campus, le tramway circule sur ces deux rues avant de revenir vers l’Ouest par la partie Nord de la rue de la Délivrande. Nous retrouvons la rue de la Délivrande, qui après avoir fait un détour sur la carte 10, prend la direction du Sud. Suivons-la, vers le Sud. Nous croisons la rue de Biéville qui vient de l’Est, (voir carte 10), puis nous parvenons à l’angle de l’avenue de Bruxelles, (b r) et la rue du Moulin au Roy, (m r). En poursuivant vers le Sud, nous retrouvons à l’Ouest la rue du Moulin au Roy, puis à l’Est la rue Henri Prentout, (h p). Nous atteignons le bord inférieur de la carte.
Nous sommes dans le Nord-Est de Caen, dans le quartier de la Pierre-Heuzé, (voir carte D 16). Nous avons le lycée Dumont d’Urville, (d u), et le lycée Laplace, (l a), dans la partie gauche de la carte, à l’Ouest de la rue de Lébisey, (l é). Dans le quart inférieur droit, délimité par la partie Ouest du boulevard Général Vanier, se trouve la maison de quartier de la Pierre-Heuzé, qui fait partie d’un ensemble qui abrite également l’église Saint-Bernard. Au centre du boulevard Général Vanier, nous trouvons la place Champlain, (c h), où s’installe un petit marché le samedi qui réunit cinq ou six commerçants. C’est sur cette carte, à la hauteur du croisement de l’avenue Copernic et de la rue de la Délivrande que les lignes A et B du tramway se séparent, la voie B continuant vers l’Est, et la voie A remontant vers le Nord. Sur l’avenue Copernic, nous trouvons le collège Fernand Lechanteur. Le boulevard Général Vanier est une structure urbaine typique des années 70/80. Il s’agit d’un anneau routier circulaire, sillonné par des voies en majorité piétonnes, au sein duquel sont implantés les services publics et les commerces. Sur cette carte, la partie Ouest de l’anneau est représentée. La partie Est se trouve sur la carte voisine, (voir carte 11).
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte et descendons vers le Sud. Nous coupons la rue de la Délivrande, (d é), l’avenue Copernic, (c n), puis nous retrouvons plus bas de nouveau la rue de la Délivrande. En descendant vers le sud, nous coupons la rue de Colleville, (c o), la rue de Biéville, (b i), puis la rue Henri Prentout, (h p). Nous atteignons le coin inférieur gauche de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche et déplaçons-nous vers l’est sur le bord inférieur de la carte. Toutes les rues que nous coupons se prolongent vers le Sud, (voir carte 16). Nous coupons la rue de Lébisey, (l é), puis la rue Emmanuel Desbiot, (e d). Plus à l’Est, nous coupons la rue des Frères Colin, (f c), puis celle des frères Michaut, (f m). En poursuivant le long du bord inférieur de la carte, toujours vers l’est, nous coupons le chemin de l’Arc, (a r), puis la rue Jean Hébert, (j h), l’allée des Thuyas, (t h), puis la rue du Docteur Calmette, (d r c). Au Nord de la rue du Docteur Calmette, se trouve la place des Hautes Coutures, (h c). Nous atteignons le coin inférieur droit de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit et remontons vers le Nord, en longeant le bord droit de la carte. Nous entrons dans l’anneau du boulevard Général Vanier, (g v), puis nous coupons la rue Montcalm, (m o). Plus au Nord, nous sortons de l’anneau du boulevard Général Vanier, puis nous traversons le périphérique, (b p). Nous atteignons le coin supérieur droit de la carte.
En suivant le bord supérieur de la carte, En partant du coin gauche, nous traversons d’abord le périphérique, puis nous coupons le boulevard Général Harris, (g h), qui se prolonge vers le Nord, (voir carte 5).
Sur le bord supérieur de la carte, cherchons les lettres "h a". Nous sommes sur le boulevard général Harris. En le suivant vers le Sud, nous passons au-dessus du périphérique. Nous longeons, à l’est, la cité Universitaire de Lébisey, puis nous croisons l’avenue Copernic, (c n), sur laquelle se trouve le collège Fernand Lechanteur, (f l). Nous arrivons ensuite sur la rue de Lébisey, (l é). En suivant la rue de Lébisey, toujours vers le Sud, nous croisons venant de l’Est, la rue Antoine Cavelier, (a c) et le boulevard de Brest, (b r). À l’Ouest de la rue de Lébisey, sont situés le lycée Dumont d’Urville, (d u) et le lycée Laplace, (l a). En continuant à suivre la rue de Lébisey vers le sud, nous croisons la rue le Blanc Hardel, (b h), puis nous parvenons à l’angle de deux rues : la rue des Frères Michaut, (f m), qui vient de l’est, et la rue Emmanuel Desbiot, (e d), qui arrive du Sud. La rue de Lébisey s’oriente alors vers le Sud-Ouest et croise, arrivant de l’Ouest, la rue Henri Prentout, (h p), qui fait la liaison avec la rue de la Délivrande, (voir carte 9). Nous parvenons sur le bord inférieur de la carte où nous retrouvons les lettres "l é".
Sur le bord inférieur de la carte, cherchons les lettres "j h". Nous sommes sur la rue Jean Hébert. en la suivant vers le Nord, nous coupons le chemin de l’Arc, (a r), puis la rue le Blanc Hardel, (b h). En continuant à remonter vers le Nord, nous croisons arrivant de l’Ouest la rue de Beuville, (b). Nous coupons ensuite le boulevard de Brest, (b r) et nous pénétrons sur la rue du Docteur Maugeais, (d m). En poursuivant sur la rue du docteur Maugeais, nous croisons, venant de l’Ouest, la rue Jacques Durandas, (j d), qui rejoint l’avenue de Bruxelles plus au Sud. Nous coupons la rue Antoine Cavelier, (a c), puis nous atteignons l’extrémité de la rue du Docteur Maugeais.
Nous sommes au Nord-Est de Caen, dans le quartier de la Pierre-Heuzé à la limite de la commune d’Hérouville-Saint-Clair, (voir carte A 23 et carte D 14). La limite entre les deux communes est matérialisée par le périphérique, (b p). La ligne B du Tramway passe sur la partie Nord du boulevard Général Vanier, passe au-dessus du périphérique sur une passerelle, avant de sortir de Caen, pour aller vers son terminus à Hérouville-Saint-Clair.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche. En descendant vers le sud, le long du bord gauche de la carte, nous coupons le périphérique, (b p), qui dessine une courbe Nord-Ouest Sud-Est. En continuant vers le sud, nous entrons dans la partie Est du boulevard Général Vanier, (g v), nous coupons la rue Montcalm, (m o), puis nous sortons du boulevard Général Vanier, (g v). Nous atteignons le coin inférieur gauche de la carte.
Nous nous plaçons sur le coin inférieur gauche, et en nous déplaçant vers l’Est, nous coupons la rue Camille Guérin, (c g), puis la rue de la Hache, (h a). En continuant, nous coupons la rue du Long Bouet, (l b), puis l’avenue Victor Vindé, (v v). Nous atteignons le coin inférieur droit de la carte.
Ils sont constitués uniquement par le périphérique, limite d’Hérouville-Saint-Clair.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche et en descendant, cherchons les lettres (g v). Nous sommes sur le boulevard général Vanier. En le suivant vers l’Est, nous croisons l’avenue Victor Vindé, qui vient du Sud-Est et la rue Montcalm, (m o), qui vient de l’Ouest. Nous pouvons suivre le tracé de la rue Montcalm, qui n’est pas rectiligne, jusqu’à son code, sur le côté Ouest de la carte. En continuant sur le boulevard Général Vanier nous croisons la rue de la Hache, (h a), qui vient du Sud, puis nous parvenons sur le bord gauche de la carte, sur le second code du boulevard Général Vanier. Reprenons la rue de la Hache et suivons la vers le Sud. Nous longeons la place des Sablonnières, (s a), à l’Ouest, puis nous croisons la rue Camille Guérin, (c g), qui vient également de l’Ouest.
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit et cherchons les lettres "v v". Nous sommes sur l’avenue Victor Vindé. En la remontant vers le Nord-Est, nous croisons la rue du Court Bouet, (c). L’avenue Victor Vindé bifurque ensuite vers le Nord-Ouest. Nous croisons la rue du Long Bouet, (l b), puis les deux entrées du clos du Poteau Rouge, (p r), puis en poursuivant sur l’avenue Victor Vindé, nous parvenons sur le boulevard Général Vanier.
Note : les rues de Gruchy, allée de Lessay, allée de Dielette, allée de Jobourg, allée de Goury qui sont citées dans ce texte, ne sont pas indexées. Elles sont donc représentées par un trait continu.
Nous sommes à l’Ouest de Caen à la limite des communes de Bretteville-sur Odon au Sud, Saint-Germain-la-Blanche-Herbe au Nord et entre les deux, Carpiquet, (voir carte A-7-6-5). La limite avec Saint-Germain-la-Blanche-Herbe est formée par une partie de la rue de l’Église, (é g), orientée Ouest-Est, et le Chemin de l’Abbaye d’Ardennes, (a a), orientée Nord-Sud. Sur cette carte, trois quartiers sont représentés. Au sud, jusqu’à la limite du Boulevard Pompidou, le quartier de Venoix, au-delà du boulevard, le quartier Saint-Paul Maladrerie dont la limite Nord est plus difficile à déterminer. Nous dirons que cette limite est définie par des points de repères comme la rue de l’Église, (é g), la rue Saint-Norbert, (s n), et la rue des Poissonniers, (p o). Tout au Nord se trouve une partie du quartier du Chemin-Vert, (voir carte D-7-8-9). La carte est traversée d’Ouest en Est par la rue du Général Moulin, (g m), qui se prolonge sur la carte 13. Nous trouvons sur la carte 12, le centre de détention, (c d), la bibliothèque de la maladrerie, (b i), construite en 1982 sur l’emplacement de l’ancienne caserne Moulin, la MJC de la Maladrerie, (m j c), et deux stades. Au Nord, le stade de la Maladrerie Beaulieu/Tandem et un peu plus au Sud un stade qui n’a pas de nom. Signalons encore, le long du Boulevard Georges Pompidou, une zone verte constructible.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte. Nous y trouvons le trait formant la limite de Caen. En le suivant vers le Nord, nous parvenons à la rue des Hauts de Beaulieu, (h b), puis à la route de Caumont, (c a). Nous sommes à la limite de Bretteville-Sur-Odon. Passé la route de Caumont, nous longeons la commune de Carpiquet. Nous coupons la rue du Général Moulin, (g m), puis la rue de l’Église, (é g). Cette dernière forme la limite avec la commune de Saint-Germain-la-Blanche-Herbe. En la suivant vers l’Est, nous parvenons au chemin de l’Abbaye d’Ardennes, (a a), qui remonte vers le Nord suivant toujours la limite de la commune de Saint-germain-la-Blanche-Herbe. En remontant vers le Nord, nous trouvons le code "c g" répété trois fois. Le premier, au sud, indique que nous sommes sur le petit clos Saint-Germain qui forme une boucle qui se rattache à la limite communale. Celui plus au Nord indique l’entrée du grand clos Saint-Germain qui lui aussi forme une boucle. Ils ont tous les deux une branche commune au centre. En poursuivant vers le Nord, le chemin de l’Abbaye d’Ardenne s’écarte de la limite communale, coupe la rue d’Alsace, (a l). Le chemin de l’Abbaye d’Ardennes et la rue d’Alsace se prolongent au Nord sur la carte 6.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et déplaçons-nous vers l’Est. Après avoir longé la zone verte constructible, nous coupons le boulevard Georges Pompidou, (g p). Plus loin, nous coupons la rue Louis Borderieux, (l b), puis la rue Robert Kaskoreff, (r k). Ces trois rues se prolongent au Sud sur la carte 18. En suivant le boulevard Georges Pompidou vers le Nord, nous croisons la rue des Hauts de Beaulieu, qui vient de l’Ouest, puis nous débouchons sur la rue du Général Moulin à l’angle de la route de Caumont. La rue Kaskoreff, après avoir croisé la rue Louis Borderieux, venant du Sud-Ouest, croise la rue Savorgnan de Brazza, (s b), qui arrive de l’Est et aboutit elle aussi rue du Général Moulin.
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit. En remontant, nous trouvons la rue du Général Moulin, (g m), qui se prolonge sur la carte 13. Plus au nord, nous coupons la rue du Pot d’étain, (p é). Dans le triangle formé par ces deux rues, se trouve la bibliothèque de la Maladrerie, (b i). en poursuivant vers le Nord, nous coupons successivement la rue des Poissonniers, (p o), la rue d’Isigny, (i s), la rue de la Hague, (h a), la rue du Val de Saire, (v s), puis la rue d’Authie, (a u). Toutes ces rues se prolongent sur la carte 13. La rue d’Authie se prolonge aussi vers le Nord sur la carte 6.
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit et dirigeons nous vers l’Ouest. Après avoir coupé la rue d’Authie, nous traversons la rue d’Auvergne, (a v). En suivant la rue d’Auvergne, nous parvenons à la rue du Désert, (d é), orientée Nord-Sud. En poursuivant vers l’Ouest, nous traversons la rue d’Alsace, puis le chemin de l’Abbaye d’Ardennes qui vient du Nord, (voir carte 6).
Elle traverse la carte sur toute sa largeur. Plaçons-nous sur le coin inférieur droit. En remontant vers le Nord, nous trouvons les lettres "g m". Nous sommes sur la rue du Général Moulin. En la suivant vers l’Ouest, nous passons le long de la bibliothèque de la Maladrerie, (b i), puis nous croisons la rue du Pot d’étain, (p é). Au Sud, se trouve le centre de détention, (c d). En continuant, nous croisons, venant du Nord, la rue de Beaulieu, (b l), puis nous arrivons à une intersection formée au sud par la rue Savorgnan de Brazza, (s b), et au Nord-Ouest par la rue de l’Église, (é g). En continuant sur la rue du Général Moulin, nous croisons, venant du Sud, la rue Robert Kasroreff, (r k), deux rues "sans nom", puis, venant de l’ Ouest, la route de Caumont, (c a), et, arrivant du Sud le boulevard Georges Pompidou, (g p). Parvenus à l’extrémité Ouest de la rue du Général Moulin, nous pouvons voir une borne de granit qui marquait l’octroi de la maladrerie. Si nous remontons vers le Nord, nous trouvons l’extrémité Ouest de la rue de l’Église, (é g). En suivant celle-ci vers l’Est, nous longeons la limite communale de Saint-Germain-la-blanche-Herbe, traversons la limite communale de Caen formée par le chemin de l’Abbaye d’Ardennes. Nous croisons, venant du Nord, la rue de clos Saint-Germain, (s g), puis nous revenons sur la rue du Général Moulin.
Il traverse la carte d’Est en Ouest. Plaçons-nous sur le bord droit de la carte et cherchons les lettres "i s". Nous sommes sur la rue d’Isigny qui vient de l’Est, (voir carte 13). En se déplaçant vers l’Ouest, nous croisons venant du Sud, la rue du Bessin, (b e) qui fait la liaison avec la rue des Poissonniers, (p o). En continuant sur la rue d’Isigny, nous traversons la rue de Beaulieu pour parvenir dans la rue Saint-Norbert, (s n). En suivant la rue Saint-Norbert, nous croisons, venant du Nord la rue du Désert, (d é). À ce niveau, au Sud, se trouve la MJC de la Maladrerie. Plus à l’ouest, nous croisons venant du Sud, la rue de Gruchy, puis la rue Saint-Germain, (s g), puis nous parvenons à la limite Ouest de Caen au niveau de la commune de Saint-Germain-la-Blanche-Herbe.
Plaçons-nous sur le côté droit et cherchons les lettres "p o". Nous sommes sur la rue des Poissonniers. En la suivant vers l’Ouest, nous croisons, venant du Nord, la rue du Bessin, (b e). Nous traversons la rue de Beaulieu et nous débouchons dans la rue du Cheminet, (c h), au nord de laquelle se trouve la MJC de la Maladrerie (m j c). Nous croisons venant du Sud, la rue des Courts Carreaux, (c c), qui fait la liaison plus au Sud avec la rue de Beaulieu. Après avoir croisé la rue de Gruchy, la rue du Cheminet nous mène rue Saint-Germain.
Plaçons-nous sur le bord droit de la carte et cherchons les lettres "h a". Nous sommes rue de la Hague qui vient de l’Est, (voir carte 13). En la suivant vers l’Ouest, nous croisons, venant du Nord la rue du Val de Saire, (v s), puis l’allée de Lessay. Après avoir croisé la rue du Cotentin, arrivant du Nord-Ouest, (c o), nous débouchons dans la rue de Beaulieu, qui descend vers le Sud en suivant la rue de Beaulieu, (b l), nous arrivons à l’intersection entre la rue des Poissonniers et la rue du Cheminet, puis plus au sud, nous croisons la rue des Courts Carreaux venant de l’Ouest, pour aboutir sur la rue du Général Moulin. Si nous remontons jusqu’à la rue du Cotentin et que nous la suivons vers le Nord, nous croisons venant de l’Est, l’allée de Dielette, puis nous longeons la place d’Auderville, (a u). En continuant vers le Nord, nous croisons l’allée de Jobourg puis l’allée de Goury pour parvenir sur la rue d’Auvergne, (a v).
Plaçons-nous sur le bord supérieur de la carte et cherchons les lettres "d é". Nous sommes sur la rue du Désert qui vient du Nord, (voir carte 6). En la suivant vers le Sud, nous croisons venant de l’Ouest la rue d’Alsace, (a l), puis venant de l’Est la rue d’Auvergne, (a v). Plus au sud, nous croisons la rue de la Blanche Herbe, (b h), puis nous parvenons à la rue Saint-Norbert. À l’Ouest de la rue du Désert se trouvent les deux stades mentionnés dans l’introduction.
Nous sommes sur les quartiers de Saint-Paul Maladrerie dans la partie Sud de la carte et Chemin-Vert dans la partie Nord, (voir carte D 8-9). La carte est structurée par la rue d’Authie, (a u), qui la traverse du Nord-Ouest au Sud-Est, traçant une grande diagonale qui partage la carte en deux. Au Nord de la rue d’Authie, quasiment parallèle, nous trouvons la rue du Chemin-Vert, (c h), par laquelle passera la Ligne D du Tramway, à partir de 2018. Ces deux axes sont reliés par une série de rues qui forment avec eux, des quadrilatères plus moins réguliers. Notons que la rue d’Authie et la rue du Chemin-Vert se rejoignent plus au Sud-Est, (voir carte 20). Nous sommes dans un quartier dont les rues sont dédiées en grande partie à la littérature et la poésie. Nous trouvons sur cette carte, la MJC du Chemin-Vert au Nord et le centre d’animation Tandem au Sud construit en 1998 en remplacement de l’ancienne MJC de la Maladrerie quasiment au même endroit, dans le coin inférieur gauche, à l’Ouest de la rue Nicolas Oresme. À l’est de celle-ci, le centre diocésain. Nous trouvons aussi trois résidences. Au nord lé résidence des Mauvis partagée en deux par la rue du même nom, plus au Sud, la résidence des Chardonnerets, toutes situées à l’Est de la rue d’Authie et plus au Sud, encore, la résidence du Pré Clair située au Nord de la rue du Général Moulin et de la rue de Bayeux. Près de la place Saint-Paul, nous avons l’église du même nom. L’église Saint-Paul a été édifiée entre 1949 et 1953 sous la direction des architectes Marcel CloT et Raymond Dupuis. Nous pouvons y voir des sculptures de Gianferrari et de Bertaux, des peintures de Trévidy. Les vitraux ont été réalisés par Gaudin. Elle fait partie de la paroisse Saint-Norbert de Beaulieu, ainsi que l’église Saint-Joseph et l’église Saint-Germain, cette dernière étant située dans la commune de Saint-Germain-la-Blanche-Herbe. Sur la rue de Bayeux, entre la rue du Clos aux Roses et la rue Robert Tournières, le mardi matin, se tient un marché qui réunit quarante commerçants environ. Le jeudi matin, un autre marché s’installe avenue du Président Coty. Il rassemble vingt-deux commerçants environ.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte et descendons vers le Sud. Nous coupons la rue d’Authie, (a u), puis la rue du Val de Saire, (v s) et la rue de la Hague, (h a). Plus au sud, nous coupons la rue d’Isigny, (i s), la rue du Chemin des Poissonniers, (p o), puis la rue du pot d’Étain, (p é), et la rue du Général Moulin, (g m). Toutes ces rues viennent de l’Ouest, (voir carte 12).
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche. Nous coupons la rue Nicolas Oresme, (n o), puis l’allée des Pépinières, (p p), qui fait une boucle. Plus à l’est, nous coupons successivement les rues Claude Chappe, (c c), Bernard Palissy, (b p), puis la rue de Bayeux, (b a). En nous déplaçant encore plus vers l’Est, nous coupons la rue Georges Goupy, (g g), la rue Robert Tournières, (r t), puis nous parvenons au pied de la diagonale de la rue d’Authie, (a u), pour aboutir dans le coin inférieur droit, sur le boulevard Dunois, (d u). Toutes ces rues partent vers le Sud, (voir carte 19).
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit et remontons vers le Nord. Nous coupons le boulevard Dunois, (d u), puis la rue du Chemin-Vert, (c v). En continuant vers le Nord, nous coupons successivement, la rue Fernand Léger, (f l), la rue de Secqueville, (s e), puis la rue de Norrey, (n y). En continuant de remonter le long du bord droit de la carte, nous coupons la rue de Cussy, (c u), puis la rue George Sand, (g s). En allant plus au Nord, nous coupons la rue Anatole Lelièvre, (a l), la rue Alfred de Musset, (m u), puis la rue Paul Verlaine, (p v), située dans le coin supérieur droit de la carte. Toutes ces rues viennent de l’Est, (voir carte 14).
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte et allons vers l’Est. Après avoir coupé la rue d’Authie, nous trouvons la rue de Berry, (b e), puis la rue du Bouvreuil. En continuant, toujours vers l’Est, nous coupons la rue du Chemin-Vert, (c v), la rue Molière, (m o), la rue Jean Racine, (j r), et l’Avenue Robert Schuman, (r s).
Conseil : suivre d’abord l’axe sans se disperser puis le reprendre en intégrant l’environnement.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche. Nous trouvons les lettres "a u". Nous sommes sur la rue d’Authie, orientée Nord-Ouest Sud-Est. En la descendant, nous croisons à l’Est la rue de Berry, (b e), puis à l’Ouest la rue de la Hague, (h a), puis la rue d’Isigny, (i s). Dans le prolongement de la rue de la Hague, à l’Est, se trouve la rue des Mauvis, (m), longée au Sud par la résidence du même nom. Dans le prolongement de la rue d’Isigny, à l’Est l’avenue du Président Coty, (c o), qui rejoint la rue du Chemin-Vert. Le long de la rue d’Isigny, au sud, se trouve la MJC du Chemin-Vert (m j c). En suivant la rue d’Authie, toujours vers le Sud-Est, nous croisons, à l’Est, la rue du Chardonneret, (c t). À ce niveau, se trouve la résidence du même nom. Nous arrivons ensuite à l’intersection entre la rue Charles Lemaître, (c l), à l’Ouest, et à l’Est, la rue des 13 Acres, (a c). La rue des 13 Acres rejoint la rue du Chemin-Vert. Plus au Sud, Toujours sur la rue d’Authie, nous croisons à l’Est la rue des Champs Saint-Michel, (s m). En continuant à descendre, nous croisons, à l’Ouest la rue du commandant Antoine Touchet, (a t), qui dessine une courbe en remontant vers le Nord. La rue du commandant Touchet rejoint la rue Charles Lemaître. En poursuivant notre descente sur la rue d’Authie, nous arrivons à l’intersection entre, à l’Ouest, la rue des Mazurettes, (m), et à l’Est la rue du Val Fleury, (v f). Quasiment à la hauteur de cette intersection, venant du Sud-Ouest, nous croisons la rue de la Roseraie, (r o). Nous parvenons ensuite à l’intersection entre la rue du Clos aux Roses au Sud-Ouest, (c r), et la rue de Stockholm, (s t), au Nord-Est, qui rejoint la rue du Chemin-Vert. À partir de la rue de Stockholm, toutes les rues orientées Nord-Est, rejoignent la rue du Chemin Vert. Continuons à descendre la rue d’Authie, nous parvenons à l’intersection entre la rue Bois Robert, (b r), au Sud-Ouest et la rue des Patriotes, (p a), au Nord-Est. En continuant à descendre vers le Sud-Est, sur la rue d’Authie, nous traversons l’intersection formée par la rue Georges Goupy, (g g), au Sud-Ouest avec la rue de la Fabrique et la rue de Guernesey, (g), au Nord-Est. Le long de la rue de Guernesey, la place Saint-Paul, (s p) avec l’église du même nom. En continuant vers le Sud Est, nous parvenons à l’intersection formée par la rue Robert Tournières, (r t) au sud-Ouest, et par la rue d’Ardennes, (a r), au Nord-Est, puis nous croisons, venant du Nord-Est, la rue de Jersey, (J r). Nous sommes parvenus dans le coin inférieur droit de la carte.
Nous avons traversé la carte du Nord-Ouest au Sud-Est en suivant la rue d’Authie. Nous allons maintenant la traverser dans l’autre sens en suivant la rue du Chemin-Vert. Plaçons-nous sur le coin inférieur droit et remontons vers le Nord. Nous coupons d’abord le boulevard Dunois, (d u), puis nous arrivons sur la rue du Chemin-Vert, (c v). En la remontant, nous croisons au Sud-Ouest la rue d’Ardennes, (a r), et au Nord-Est, la rue Fernand Léger, (f l). Plus haut, nous croisons la rue des Patriotes, (p a), qui vient du Sud-Ouest puis nous arrivons à l’intersection avec, au Sud-Ouest, la rue de Guernesey, (g), et au Nord-Est, la rue de Secqueville, (s e). Plus au Nord, nous arrivons à l’intersection avec la rue de Stockholm, (s t), au Sud-Ouest et, au Nord-Est, la rue de Cussy, (c u). En poursuivant notre chemin sur la rue du Chemin-Vert, nous croisons à l’Ouest, la rue des Hautes Bruyères, (h b), puis plus loin, venant de l’Est, la rue Alfred de Musset, (a m). En continuant, nous croisons à l’Ouest, la rue des 13 Acres, (a c), puis nous parvenons à l’intersection avec la rue du Chardonneret, à l’Ouest, et l’avenue Robert Schuman, (r s), qui vient de l’Est. En continuant, toujours vers le Nord, nous croisons à l’Ouest l’avenue du Président René Coty (c o), puis à l’Est la rue Pierre Corneille, (p c), puis presque sur le bord supérieur de la carte, venant de l’Est la rue Molière, (m o). À ce niveau, à l’Ouest de la rue du Chemin-Vert nous trouvons la place du Printemps, (p r).
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche. Nous trouvons les lettres "n o". Nous sommes sur la rue Nicolas Oresme. En la suivant vers le Nord, nous arrivons sur l’intersection entre la rue du Général Moulin, (g m), à l’Ouest et la rue de Bayeux à l’Est. Suivons la rue de Bayeux, (b a", vers l’est. Nous croisons successivement la rue des Longchamps, (d), et la rue des Églantiers, (e g), qui remontent toutes deux vers le Nord et rejoignent la rue des Mazurettes, (m a). À l’Ouest de la rue des Longchamps, faisant une boucle vers le Nord, pour rejoindre la rue du Pot d’Étain, (p é), nous avons la rue du Pré Clair, (p). En continuant sur la rue de Bayeux, nous croisons, venant du Sud, la boucle formée par l’Allée des Pépinières, (p p). Entre les deux branches de la boucle, se trouve, venant du Nord, la rue de la Roseraie, (r o). À partir de la rue de la Roseraie, toutes les rues venant du Nord font la jonction entre la rue de Bayeux et la rue d’Authie. En poursuivant sur la rue de Bayeux, passée la rue de la Roseraie, nous arrivons à l’intersection formée par la rue Claude Chappe, (c c), venant du Sud, et la rue du Clos aux Roses, (c r), qui arrive du Nord. Plus loin, nous croisons la rue Bernard Palissy, (b p), puis la rue de Bois Robert, (b r), au Nord. Nous arrivons à l’extrémité de la rue de Bayeux, (b a). Elle se prolonge au Sud, sur la carte 19.
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte et en descendant, cherchons les lettres "r s". Nous sommes sur l’avenue Robert Schuman qui vient du Nord-Est, (voir carte 8). En la suivant vers l’Ouest, nous croisons, venant du Sud, la rue Charles Péguy, (c p), puis arrivant du Nord, la rue Jean racine, (j r), puis nous croisons, toujours venant du Nord la rue Pierre Corneille, (p c). Nous arrivons ensuite à l’intersection formée, au Sud par la rue René de Châteaubriand, (c d), et au Nord, par la rue Molière, (m o). Nous parvenons ensuite sur la rue du Chemin-Vert. Si nous descendons la rue Chateaubriand en direction du Sud, nous croisons à l’Est la rue Charles Péguy, (c p), nous traversons la rue Alfred de Musset, (m u), puis croisons venant de l’Ouest la rue Alexandre Dumas, (a d), puis venant de l’Est la rue George Sand, (g s), pour aboutir rue de Cussy, (c u).
Plaçons-nous sur le bord droit de la carte et cherchons les lettres "m u". Nous sommes sur la rue Alfred de Musset. En la suivant vers le Sud-Ouest, nous croisons à l’Est, la rue Anatole Lelièvre, (a l), puis, venant du Nord, la rue Paul Verlaine, (p v). Nous traversons la rue Châteaubriand, puis nous croisons, venant du Sud, la rue Alexandre Dumas, (a d). Avant de parvenir sur la rue du Chemin-Vert, la rue Alfred de Musset croise, venant du Sud, la rue de Franqueville, (f r). Si nous suivons la rue de Franqueville vers le sud, nous traversons la rue de Cussy, nous croisons à l’Est la rue de Norrey, (n y), pour aboutir sur la rue de Secqueville, (s e).
Nous sommes à cheval sur quatre quartiers de Caen. Dans le quart supérieur gauche, le quartier du Chemin-Vert limité à l’Est, par la rue de Rosel, (r o), au Sud, par la rue de Cussy, (c u) ; dans le quart inférieur gauche, le quartier Saint-Paul Maladrerie, limité au Nord, par la rue de Cussy, à l’Est par la rue de Rosel et au Sud, par le boulevard dunois, (d u). Au Sud d’un axe formé par le boulevard Dunois, le boulevard Richemond, (r i), et l’Avenue de Creully, (c), le quartier Hastings. Enfin, dans le quart supérieur droit, au Nord de l’axe formé, par l’avenue de Creully, le boulevard Richemond et la rue de Rosel, le quartier de la Verte-Vallée, (voir carte D 9 8 11 10). Nous pouvons voir sur cette carte, en plein centre, le Cimetière Saint-Gabriel. À l’Est de la carte, dans le coin supérieur droit, une partie de la vallée des jardins. Plus au Sud, le long du bord droit de la carte, le côté Ouest du Jardin des plantes. Dans le coin inférieur gauche, le long de la rue Yves le Goff, le collège Dunois, (d u). Nous trouvons aussi, le collège Hastings, (h a), et le collège Saint-Joseph, (s j). La carte est traversée par un grand axe Nord-Sud qui fut à la fin du XIXe et au début du XXe emprunté par la ligne de chemin de fer de Caen à la mer, dont le départ était situé place Saint-Martin. Une autre ligne empruntant une partie de cet axe, faisait la liaison avec la gare principale, permettant de relier directement le bord de mer à Paris. Il s’agit de l’axe formé par le boulevard Weygand, (g w), au Nord, et le boulevard Dunois, (d u), qui aboutit au Sud-Ouest dans le coin inférieur gauche de la carte. L’autre axe transversal important, commence au Nord, sur la rue de Rosel, (r o), et se termine au Sud-Est par la rue Saint-Gabriel, (s g). Ces deux axes se croisent à la hauteur de la place Dunois, (d u).
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte et descendons vers le Sud. Nous coupons la rue Alfred de Musset, (m u), puis la rue Paul Verlaine. Nous coupons de nouveau la rue Alfred de Musset, puis nous coupons ensuite la rue Anatole Lelièvre, (a l), puis la rue George Sand, (g s). Nous sommes à l’Est de la zone dont les rues sont dédiées à la littérature, (voir carte 13). En continuant à longer le bord gauche de la carte vers le Sud, nous coupons la rue de Cussy, (c u), la rue de Norrey, (n y), puis nous parvenons à la rue de Secqueville, (s e), à l’angle de la rue Yves le Goff, (y l), qui longe à l’Ouest le collège Dunois et à l’Est la résidence l’Orée d’Hastings. En continuant à descendre nous coupons la rue Fernand Léger, (f l), la rue du Chemin-Vert, puis arrivons sur le boulevard Dunois,, (d u) dans le coin inférieur de la carte.
Plaçons-nous sur le coin gauche de la carte et déplaçons-nous vers l’Est. Nous coupons le boulevard Dunois, (d u), puis nous retrouvons la rue du Chemin-Vert, (c v), qui vient du Nord-Ouest et se prolonge vers le Sud-Est, (voir carte 13-14-20). En continuant sur le bord droit de la carte, toujours vers l’Est, nous coupons la rue des Poilus d’Orient, (p o), la rue d’Hastings, (h a), et la rue Lanfranc, (l a). En continuant à progresser vers l’Est, nous croisons l’allée du Saut du Loup, (s l), puis nous coupons la rue Saint-Nicolas, (s n), la rue de l’Académie, (a c), et parvenons sur le coin inférieur droit de la carte.
Restons sur le coin inférieur droit et remontons vers le Nord, le long du bord droit de la carte. Nous coupons la rue Barbey d’Aurevilly, (b a), la rue Isidore Pierre, (I p), puis la rue du XXe Siècle, (s i), et la rue des Rosiers, (r). En poursuivant vers le Nord, nous traversons le Jardin des plantes, qui s’étend vers l’Est, (voir carte 15), nous coupons l’avenue de Creully, (c), nous parvenons à la hauteur de la rue des Cèdres, (c è), puis nous traversons la Vallée des jardins pour atteindre le coin supérieur droit de la carte. La Vallée des Jardins, elle aussi, s’étend vers l’Est, (voir carte 15).
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit et déplaçons-nous vers l’Ouest. Après avoir traversé la Vallée des jardins, qui s’étend aussi vers le Nord, (voir carte 8), puis avoir couper le boulevard Général Weygand, (g w), nous franchissons la rue de la Vallée Verte, (v v). En poursuivant notre progression vers l’Ouest, nous coupons la rue du Commandant le Coutour, (c c), puis la rue Eugène Boudin, (e b), qui se croisent un peu plus au Sud. En suivant toujours le bord droit de la carte, nous coupons la rue Raoul Dufy, (r d), qui débouche au Sud dans la rue Paul Gernez, (p g), que nous retrouvons sur le bord supérieur de la carte. Nous sommes dans le coin des peintres. Nous coupons la rue des Rosiers, (r), puis la rue Alfred de Musset, (m u), et nous atteignons le coin supérieur gauche de la carte.
Comme nous l’avons montré dans l’introduction, cette carte est structurée par deux axes principaux que nous allons parcourir maintenant.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et cherchons les lettres "d u". Nous sommes sur le boulevard dunois. Il est orienté Nord-Est. En le suivant, nous coupons la rue du Chemin-Vert, (c v), puis croisons la rue d’Hastings, (h a) et la rue Lanfranc, (l a), qui arrivent toutes deux de l’Est. Nous croisons ensuite, venant de l’Ouest, la rue Yves le Goff, (y l), et l’avenue de la première Armée Française, (a f r). Beaucoup plus loin vers le Nord-Est, nous arrivons sur la place Dunois, (d u). Nous la traversons, toujours dans la même direction et nous aboutissons sur le boulevard Richemond, (r i). Nous longeons, à l’Ouest, le cimetière Saint-Gabriel, puis nous croisons venant du Nord-Ouest, la rue Eugène Boudin, (e b), puis la rue Auguste Renoir, (r e). En poursuivant sur le boulevard Richemond, nous arrivons au croisement avec la rue des Rosiers, (r), qui vient du Sud-Est, puis le boulevard se prolonge sur le boulevard Général Weygand. À la jonction des boulevards, venant aussi du Sud-Est, nous croisons l’avenue de Creully, (c). En continuant sur le boulevard Weygand, nous croisons arrivant de l’Ouest, l’allée de la Verte Vallée, (v v), puis arrivant de l’Est l’allée de la Pommeraie. Nous aboutissons sur le bord supérieur de la carte, à la hauteur de la Vallée des jardins.
Plaçons-nous sur le bord supérieur de la carte et cherchons les lettres "r o". Nous sommes sur la rue de Rosel qui arrive du Nord, (voir carte 8). Nous la suivons vers le Sud et croisons, arrivant de l’Ouest, la rue de Balzac, (b), puis nous arrivons à une intersection formée par la rue de Cussy, (c u), et à l’Est, par la rue du Commandant le Coutour, (c c). En continuant à descendre vers le Sud. Nous longeons le cimetière Saint-Gabriel, puis nous croisons la rue Domrémy, (d o). Dans la rue Domrémy débouchent la rue Vaucouleurs, (v), et la rue d’Orléans, (o r). Nous sommes dans le quartier de Jeanne d’Arc. Nous arrivons ensuite sur la place Dunois, (d u). Nous continuons vers le sud. Nous croisons alors, venant du Sud-Ouest la rue Thibout de la Fresnaye, (t f), et la rue des maures, (m a), puis arrivant de l’est, la rue Beuvrelu, (b e), puis partant vers l’Ouest la rue Monplaisir, (m o). Nous croisons ensuite à l’Ouest, la rue Robert le Magnifique, (r m), qui rejoint la rue Lanfranc. À l’Est, nous croisons le passage Colas, (c o), qui rejoint la rue Beuvrelu. Rue Robert le Magnifique, se trouve le collège Hastings, (h a). En poursuivant notre chemin sur la rue Saint-Gabriel, nous trouvons les lettres "s g", puis nous croisons venant de l’Ouest la rue du Saut du Loup, (s l), puis arrivant de l’Est, la rue Isidore Pierre, (i p). Nous parvenons ensuite à l’intersection entre la rue Saint-Nicolas, (s n), au Sud-Ouest et la rue Barbey d’Aurevilly, (b a), à l’Est. En suivant la rue Barbey d’Aurevilly, nous croisons la rue de l’Académie (a c), qui arrive du Sud, puis nous parvenons sur le bord droit de la carte.
Restons sur le bord droit de la carte et cherchons la lettre "r". Nous sommes sur la rue des Rosiers. Sur celle-ci, se trouve le collège Saint-Joseph, (s j). En la remontant, vers le Nord, nous croisons, venant de l’Est, la rue du XXe siècle, (s i), qui se prolonge vers l’Est, (voir carte 15). Beaucoup plus loin vers le Nord, arrivant de l’Ouest, nous croisons le Chemin aux ânes, (a n). En poursuivant notre chemin, nous croisons la rue François Marescot, (f m), qui longe le Jardin des plantes. Du même côté, nous croisons ensuite la rue des Lilas, (l), la rue Saint-Contest, puis Nous arrivons sur le boulevard Richemond. La ligne du chemin de fer de Caen à la mer, passait par la rue des Rosiers avant de sortir de Caen par le boulevard richemond puis le boulevard Weygand. À ce niveau était établie la liaison avec la voie permettant de rejoindre la gare principale, (gare SNCF actuelle), reliant ainsi le bord de mer à Paris.
Plaçons-nous sur le côté gauche de la carte et cherchons les lettres, (c u). Nous sommes sur la rue de Cussy, qui arrive du Sud-Ouest, (voir carte 13). En la suivant vers le Nord-Est, nous croisons, venant du Nord-Ouest, la rue George Sand, (g s), la rue de la 1ère Armée Française, (a f r), qui arrive du Sud-Est, et la rue Anatole Lelièvre, (a l), qui vient du Nord-Ouest. En poursuivant sur la rue de Cussy, nous croisons, toujours venant du Nord-Ouest, la rue Théodore de Banville, (t), rue à deux branches, puis la rue Picquenot Père et Fils, (p p). La rue Picquenot, Père et Fils, dessine une boucle et rejoint la rue Anatole Lelièvre, (a l). En continuant à suivre la rue de Cussy, nous coupons la rue de Rosel. À sa hauteur, nous entrons dans la rue du Commandant le Coutour, (c c). Nous croisons alors, arrivant du Nord, la rue Paul Gernez, (p g), la rue Eugène Boudin, (e b), puis nous atteignons le bord supérieur de la carte.
Nous sommes au centre de Caen dans une des zones les plus touristiques où l’histoire est très présente. Le quart inférieur droit de la carte est occupé par le Château des Ducs de Normandie. Celui-ci abrite le musée des Beaux-Arts, ouvert en 1967 et le musée de Normandie, installé dans l’ancien logis du gouverneur en 1963, ainsi que la Chapelle Saint-Georges, la salle de l’échiquier et un jardin des simples. Au nord du Château, est représentée, une grande partie du Campus universitaire 1. Au Nord-Ouest de la carte, nous trouvons le Jardin des plantes. Nous trouvons aussi deux cimetières dits dormants. L’un deux est situé juste au pied du Campus 1 et doit sa célébrité à la présence de la tombe de Georges Brumel. L’autre, situé au Sud-Ouest, le cimetière des Quatre Nations, abrite, entre autre la tombe de Guillaume Trébucien qui fut l’un des grands conservateurs de la Bibliothèque de Caen à la fin du XIXe siècle. Tout près de l’université se trouve l’église Saint-Julien qui fait partie de la paroisse de Saint-Thomas de l’Université. Signalons aussi la présence du tramway qui, depuis 2002, contourne le château par l’Ouest en empruntant la rue de Geôle pour pénétrer sur le Campus Universitaire et en ressortir plus au Nord, (voir carte 9). Signalons également, dans le coin supérieur gauche, une partie de la vallée des jardins. Cinq quartiers sont représentés sur cette carte, la plus grande surface étant occupée par le quartier de l’Université, (voir carte D 12). Le campus 1, installé sur les coteaux Nord de la ville occupe sans doute une des positions les plus élevées. L’université de Caen était installée depuis le XVe siècle rue des cordeliers. Après les bombardements de 1944, elle est reconstruite sur son emplacement actuel par l’architecte Henri Bernard, sous la direction du recteur Pierre Daure et ouvre ses porte en 1957. D’autres Campus sont venus s’ajouter par la suite au Campus 1.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte. En descendant vers le Sud, nous traversons la Vallée-Verte qui s’étend vers l’Ouest, (voir carte 14). En continuant, à descendre le long du bord gauche de la carte, nous coupons l’avenue de Creully, (c), puis nous traversons le Jardin des plantes, qui lui aussi s’étend vers l’Ouest, (voir carte 14). Si nous continuons vers le Sud, nous coupons successivement la rue du XXE siècle, (s i), la rue des Rosiers, (r), la rue Isidore Pierre, (i p), puis la rue Barbey d’Aurevilly, (b a). Les trois dernières rues citées débouchent, à l’est, sur la place du Canada, (c a). Si nous continuons sur la place du Canada, nous trouvons, partant du Sud, l’avenue du Canada, (c a n), et venant de l’Est, la rue du Docteur Rayer, (d r).
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche et déplaçons-nous vers l’Est. Nous coupons l’avenue du Canada, (c a n), qui vient du Sud, (voir carte 21). Nous coupons ensuite la rue des Fossés Saint-Julien, (f s j), puis la rue Élie de Beaumont, (e b), qui rejoint les fossés Saint-Julien plus au Nord. En continuant à longer le bord inférieur de la carte, nous coupons la rue des Cordeliers, (c o), la rue des Croisiers, (c r), puis la rue Gémare, (g é). Les deux premières rues rejoignent la troisième plus au Nord. En continuant à progresser vers l’Est, Nous arrivons au pied du Château, puis nous coupons la rue de Geôle, (g e), l’avenue de la Libération, (l i), puis la rue Montoir-Poissonnerie, (m p). Nous atteignons le coin inférieur droit de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit de la carte et remontons vers le Nord. Nous coupons la rue Haute, (h), puis la rue des chanoines, (c h). En continuant à longer le bord droit de la carte vers le Nord, nous retrouvons l’avenue de la Libération, (l i), puis nous coupons la rue de la Pigacière, (p i), puis la rue du Doyen Morière, (d m). La rue du Doyen Morière rejoint la rue de la Pigacière au Sud. En continuant vers le Nord, le long du bord droit de la carte, nous coupons la rue de Lébisey, (l é), la rue du Duc Richard, (d c), la rue Robert Généstal, (r g), et la rue Maurice Souriau, (m s). Toutes ces rues, qui viennent de l’Est, (voir carte 16), débouchent sur la rue de la Délivrande, (d é).
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit et déplaçons-nous vers l’Ouest le long du bord supérieur de la carte. Nous coupons la rue de la Délivrande, (d é), qui vient du Nord, (voir carte 9), puis nous traversons le Campus Universitaire. Plus à l’Ouest, nous coupons la rue des Tilleuls, (t i), la rue du Magasin à Poudre, (m), puis l’avenue de Courseulles, (c o). Toutes trois arrivent du Nord, (voir carte 9). Faisant la liaison entre la rue du Magasin à Poudre et la rue des Tilleuls, se trouve la rue Branly, (b r).
Cette carte s’organise autour de plusieurs centres imposés par la présence du Château et l’Université d’une part et du Jardin des plantes d’autre part. Les rues se distribuent principalement autour de trois places : la place Ernest Blot, (b l), par laquelle passent les rues qui contournent le Jardin des plantes et la place de la Mare, (m a), par où arrivent les rues qui permettent le contournement du Château et l’Esplanade de la Paix, (e p), entre Château et Campus 1. À l’est, orienté Nord-Sud, se trouve l’axe formé par la rue de la Délivrande, qui constitue avec l’avenue Côte de Nacre une pénétration dans Caen par le Nord, (voir cartes C 9-10-4).
Plaçons-nous sur le bord inférieur de la carte et cherchons les lettres "g e". Nous sommes sur la rue de Geôle. En la suivant vers le Nord-Ouest, nous contournons le Château. Avant de parvenir à la place de la Mare, (m a), nous croisons, venant de l’Ouest la rue des Fossés Saint-Julien, (f s j). Nous traversons la place de la Mare et suivons la rue de Bosnières, (b o), qui nous amène jusqu’à la place Blot, (b l), à l’entrée du Jardin des plantes. Avant d’arriver à la place blot nous croisons venant du sud la rue Sophronyme Baujour, (non indexée), puis arrivant du Nord, la rue des Carrières Saint-Julien, (c s). En traversant la place Blot, nous arrivons sur l’avenue de Creully, (c). Juste à l’entrée de l’avenue de Creully, débouche venant du Nord, l’allée des Jardins, (j a). En poursuivant, nous longeons le Jardin des plantes au Sud, puis nous croisons, arrivant du Nord, la rue Beauséjour, (b e), puis nous parvenons sur le bord gauche de la carte.
Plaçons nous sur le bord supérieur de la carte et cherchons les lettres "c o". Nous sommes sur l’avenue de Courseulles qui vient du Nord, (voir cartes 3-8-9). En la suivant vers le Sud, nous croisons, venant du Sud-Est, la rue Malfilatre, (m a), orientée Ouest, la rue Gaillarde, (non indexée). Sur la rue malfilatre, se trouve l’église Saint-Julien. Symbole de la reconstruction de Caen, elle est construite, de 1954 à 1963 en remplacement de l’ancienne église Saint-Julien, située plus au Sud, détruite en 1944. D’architecture résolument moderne, elle est l’œuvre de Henry. Les vitraux des parois latérales, formés de pavés de verre colorés laissant passer la lumière ont été Créés par le peintre Edelmann. Nous traversons ensuite la place Blot, (b l). Parallèle à l’avenue de Courseulles et débouchant aussi sur la place Blot, nous avons l’allée des Jardins, (j a). En continuant vers le Sud, nous entrons dans la rue Desmoueux, (d e). Nous longeons le jardin des plantes, puis nous croisons, arrivant de l’Ouest, la rue du XXe siècle, venant de l’Est la rue Sophronyme baujour qui rejoint la rue Bosnières au Nord. En poursuivant vers le Sud, sur la rue Desmoueux, nous croisons arrivant de l’est, la rue aux Juifs, (j u), et venant de l’Ouest, la venelle du Jardin des plantes, (non indexée). Nous longeons alors le cimetière des Quatre Nations, puis nous arrivons à la hauteur de la rue du Docteur Rayer, (d r), qui rejoint la place du Canada, (c a). Nous entrons dans l’avenue de Bagatelle, (non indexée), et nous croisons à l’Est l’impasse du même Nom. En continuant sur l’avenue de bagatelle, nous croisons la rue Leverrier, (l e), qui rejoint l’avenue du Canada, (c a n), à l’Ouest. Après avoir coupé la rue des Fossés Saint-Julien, nous arrivons sur la rue Élie de Beaumont, (e b), sur le bord inférieur de la carte.
Restons sur le bord inférieur de la carte et cherchons les lettres, (g é). Nous sommes sur la rue Gémare. En la suivant vers le Nord, nous croisons venant de l’ouest la rue des Croisiers, (c r), et la rue des Cordeliers, (c o). Nous traversons les Fossés Saint-Julien et arrivons sur la rue du Chanoine Xavier de Saint-Pol, (c x), qui débouche sur la rue aux Juifs, (j u), à la hauteur de la place de la Mare, (m a). En traversant la place de la mare, nous gagnons la rue du Gaillon, (g), qui monte vers l’Université. Nous y retrouvons le Tramway qui vient de la rue de Geôle et nous accompagne jusqu’à l’esplanade de la Paix, (e p). Avant de parvenir sur l’esplanade de la Paix, nous croisons, venant de l’Ouest la rue des Carrières Saint-Julien, (c a), dans laquelle débouche la rue Haldot, (h a), puis, toujours en nous déplaçant sur la rue du Gaillon, nous croisons venant de l’Ouest la rue du Magasin à Poudre, (m), qui longe le Campus 1, côté Ouest. À la hauteur de l’esplanade de la Paix, venant du sud, débouche la rue des terrasses, (t). À cet endroit, nous avons d’un côté, le campus 1 et de l’autre, le Château longé par la rue des fossés du Château, (f c), qui arrive sur l’Esplanade de la Paix, côté Est. En quittant l’esplanade de la Paix, nous empruntons l’Avenue d’Edimbourg, (e d). Nous croisons, venant de l’est, la rue Léon Lecornu, (l l), la rue Aurore, (a u), puis la rue Laumonnier, (l). Nous parvenons alors au croisement de l’avenue de Lausanne, (l a). En la remontant vers le Nord, nous trouvons, côté Ouest, la maison des étudiants, (m e). L’avenue d’Edimbourg et l’avenue de Lausanne longent le Campus 1 du côté Est. Dans la rue Haldot, se trouve la maison de Pierre Villey, bien connu dans le milieu des aveugles. Nous pouvons y voir aussi une maison ayant appartenu à une maîtresse d’Alexandre Dumas.
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit. En allant vers la gauche nous trouvons presque aussitôt les lettres "d é". Nous sommes sur la rue de la Délivrande que nous parcourons vers le Sud. Nous croisons la rue du Colonel Usher et la rue du Professeur John Orr, (non indexées), qui font la liaison avec la rue de Lausanne. En poursuivant vers le sud, nous croisons, venant de l’Est, la rue Maurice Souriau, la rue Robert Génestal, (r g), puis la rue du Duc Richard, (d c). En continuant à descendre la rue de la Délivrande vers le Sud, nous croisons arrivant de l’Ouest l’avenue d’Édimbourg, (e d), puis la rue Laumonnier, (l). Plus au sud, venant de l’Est, la rue de Lébisey, (l é). En continuant, nous croisons la rue Aurore, (a u), arrivant de l’Ouest, puis nous parvenons au croisement de la rue de la Délivrande avec, à l’Ouest la rue Léon Lecornu, (l l), à l’Est la rue de la Pigacière, (p i), et partant vers le sud, la rue du Vaugueux, (v). En suivant la rue du Vaugueux, nous croisons à l’Ouest, la rue des Fossés du Château, (f c). Nous longeons le Château, du côté Est, puis nous débouchons sur l’avenue de la Libération, (l i). Si nous nous égarons un peu vers l’Ouest et pénétrons dans l’espace du Château, nous pouvons voir le musée des Beaux-Arts, (b a), et encore plus à l’Ouest, le musée de Normandie, (n o). En continuant sur l’avenue de la Libération vers le Sud-Ouest, nous croisons la rue Montoir Poissonnerie, (m p), qui arrive du Sud, (voir carte 21), et nous aboutissons sur le bord inférieur de la carte.
Nous sommes dans le quartier Saint-Gilles, au Nord de la Presqu’île et à l’Est du Château. Dans le quart inférieur droit de la carte, se trouve le Parc d’Ornano, et à l’Ouest de celui-ci, l’Abbaye aux Dames. En fait, le parc Michel d’Ornano est installé dans les jardins de l’Abbaye. Leur histoire est donc étroitement Liée. Le parc est édifié vers 1774, puis laissé à l’abandon pendant la révolution. Il est repris en main par les Augustines qui s’installent dans l’abbaye en 1823. Il devient parc Saint-Louis à l’ouverture de l’Hospice en 1908. L’Abbaye abritant le Conseil Régional de Basse-Normandie à partir de 1983, le parc est redessiné par Michel de Bourne et Loïc Degroote et ouvre en 1992 sous son nom actuel. Nous trouvons aussi sur cette carte, le Lycée privé Sainte-Marie, reconstruit à cet endroit après 1945 en remplacement de l’ancien lycée, détruit lors des bombardements de juin 1944. Il était situé sur l’emplacement de la rue du Général Giraud actuelle, (voir carte 21). Dans le quart supérieur droit, nous trouvons l’Institut privé Lemonnier. Nous trouvons aussi la comédie de Caen à la hauteur de la rue des Cordes.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche et descendons vers le sud, le long du bord de la carte. Nous coupons d’abord les rues Maurice Souriau, (m s), Robert Génestal, (r g), et Duc Richard, (d c). Un peu plus au Sud, nous coupons la rue de Lébisey, (l é), la rue du Doyen Morière, (d m), la rue de la Pigacière, (p i), l’avenue de la Libération, (l i), et encore plus au Sud, la rue des Chanoines, (c h), et pour terminer la rue Haute, (h). Nous atteignons le coin inférieur gauche.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche et longeons le bord de la carte vers l’Est. Nous coupons la rue Basse, (b a), la rue Richard Lenoir, (r l), la rue Fresnel, (f r), et pour finir la rue Varignon, (v a r).
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit de la carte et remontons vers le Nord. Nous coupons en premier la rue Basse, (b a), puis la rue de Calix, (c a s). En continuant vers le Nord le long du bord de la carte, nous atteignons la rue de la Masse, (m a), puis l’avenue Georges Clemenceau, (g c). Pour terminer, nous coupons la rue du Docteur Auvray, (d a), puis la rue d’Hérouville, (h é). Nous atteignons le coin supérieur droit de la carte.
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte, et longeons le bord vers l’Ouest. Nous coupons la rue du Docteur Calmette, (d r c), la rue des Thuyas, (t h), puis la rue Jean Hébert, (j h). En continuant à suivre le bord de la carte vers l’Ouest, nous coupons le Chemin de l’Arc, (a r), la rue des Frères Michaut, (f m), la rue des Frères Colin, (f c), puis la rue Emmanuel Desbiot, (e d). Pour finir nous coupons la rue de Lébisey, (l é). Toutes ces rues se prolongent vers le Nord, (voir carte 10).
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte, et cherchons les lettres "h é". Nous sommes sur la rue d’Hérouville. En la suivant vers l’Ouest, nous croisons la rue Claude Bernard, (d b), venant du Sud, puis nous coupons la rue du Docteur Calmette, (d r c). En poursuivant notre chemin sur la rue d’Hérouville, nous croisons plusieurs rues venant du nord : la rue des Thuyas, (t h), la rue Jean Hébert, (j h), le chemin de l’Arc, (a r), et pour finir, la rue des Frères Michaut, (f m). En continuant à descendre la rue d’Hérouville, nous croisons la rue du Clos Hébert, (h e), arrivant du Sud, puis l’Allée des Orchidées, (o r), qui vient du Nord. Nous arrivons à l’extrémité de la rue d’Hérouville qui débouche à l’angle de l’avenue Croix Guérin, (c g). Ces deux rues débouchent sur la rue Lébisey, (l é), dont l’orientation est Nord-Sud.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte, et cherchons les lettres "l é". Nous sommes sur la rue de Lébisey. Descendons la rue vers le Sud. Nous croisons venant de l’Ouest la rue Maurice Souriau, (m s). Puis en continuant venant de l’Est nous croisons la rue Emmanuel Desbiot, (e d). En poursuivant notre chemin, nous croisons successivement deux rues venant de l’Est : la rue Robert Généstal, (r g), puis la rue du Duc Richard, (d c). La rue Lébisey s’oriente ensuite vers le Sud-Ouest, et à ce niveau, croise le départ de deux rues : la rue d’Hérouville, (h é), et l’avenue Croix Guérin, (c g). À cette hauteur, se trouve le cimetière dormant Saint-Pierre.
Plaçons-nous au centre du bord droit de la carte, et cherchons les lettres "g c". Nous sommes avenue Georges Clemenceau, qui vient de l’Est, (voir carte 17). En la suivant vers l’Ouest, nous arrivons sur une première intersection composée de la rue du Docteur Calmette, (d r c), venant du Nord, et de la rue de la Masse, (m a), qui arrive du Sud. Nous longeons ensuite le parc Michel d’Ornano, puis nous croisons l’allée Cécile de Normandie, (c n), qui vient du Nord. À l’ouest du parc Michel d’Ornano se trouve l’Abbaye aux Dames (a d), qui abrite le Conseil Régional de Basse-Normandie (c.r). En continuant sur l’avenue Georges Clemenceau, toujours vers l’Ouest, nous croisons venant du Nord la rue du Clos Beaumois, (c l), et l’allée du Vieux Clos Hébert, (v h e). Le long de la rue du Clos Beaumois, à l’angle de la rue du Docteur Auvray, la place du Docteur Laennec, (d l). En continuant sur l’avenue Georges Clemenceau, Nous longeons ensuite la place Saint-Gilles, (s g), située au Sud de l’avenue. Nous traversons la place Saint-Gilles nous trouvons, partant de celle-ci, la rue Campion, (c), qui se prolonge par la rue Segrais, (s e), à la hauteur de la place Maurice Fouques, (m f). Si nous reprenons la rue Campion en sens inverse, celle-ci après un crochet vers le sud, rejoint la place Reine Mathilde, (r m). En reprenant notre parcours vers l’Ouest sur l’avenue Clemenceau, nous parvenons sur une intersection formée par trois rues : l’avenue Croix Guérin, (c g), qui vient du Nord, la rue de la Pigacière, (p i), qui prolonge l’avenue Georges Clemenceau, et la rue des Cordes, (c o), qui continue vers le Sud-Ouest par l’avenue de la Libération, (l i). Rue Croix Guérin, se trouve le lycée privé Sainte-Marie (s m). En partant de cette intersection, vers le Sud, nous pouvons accéder à la place Maurice Fouques, (m f). De la place Maurice Fouques, part, vers l’Ouest la rue Sainte-Anne, (s a).
Cherchons, sur le bord supérieur de la carte, les lettres "d r c". Nous sommes sur la rue du Docteur Calmette que nous suivons vers le Sud. Nous coupons d’abord la rue d’Hérouville, (h é), orientée Est-Ouest, puis nous arrivons sur une intersection composée de la rue du Docteur Auvray, (d a), qui vient de l’Est, et de l’impasse Sans Souci, (s s), qui arrive de l’Ouest. À la hauteur de l’impasse Sans Souci, se trouve l’institut privé Lemonnier, (l e), dont l’entrée est située rue d’Hérouville. En descendant nous croisons trois impasses, venant de l’Ouest : l’impasse Bon Accueil, (b a c), l’impasse Clair Soleil, (c s), et l’impasse Mes Délices, (m d). Nous arrivons ensuite à l’extrémité de la rue du Docteur Calmette qui donne sur l’avenue Georges Clemenceau, (g c), dont l’orientation est Est-Ouest. La rue du Docteur Calmette se prolonge au Sud par la rue de la Masse, (m a), qui longe le parc Michel d’Ornano. En suivant la rue de la Masse, (m a), nous croisons à l’Ouest, la rue Vaubenard, (v a u), qui, si nous l’empruntons, nous amène dans la rue de Calix, (c a), orientée Est-Ouest.
Nous sommes au Nord-Est de Caen, juste au-dessus de l’extrémité Est de la Presqu’île, (voir carte 23). La carte est occupée au Nord par le cimetière du Nord-Est, que longe l’avenue Georges Clemenceau. Au Sud-Ouest, nous avons le Centre Hospitalier Régional, (c h r). Le long de la rue de la Hache, se trouve le cimetière du même nom. Dans le coin inférieur droit, un petit rectangle de verdure, le parc Edmond Pruède. Nous sommes à la limite de Mondeville et d’Hérouville-Saint-Clair (voir carte A 17-23).
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche et descendons vers le Sud, le long du bord de la carte. Nous coupons la rue d’Hérouville, (h é), la rue de la Hache (h a), puis l’avenue Georges Clémenceau, (g c), la rue de la Masse, (m a). En continuant à descendre vers le Sud nous trouvons, pour finir, la rue de Calix (c a), puis la rue Basse, (b a). Nous atteignons le coin inférieur gauche de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche et longeons le bord de la carte vers l’Est. Nous coupons d’abord la rue de la Masse, (m a), puis tout à fait à l’est, le long de la limite communale, la rue de la Rochelle, (l r).
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit de la carte et longeons la limite communale vers le Nord. Nous coupons dans un premier temps la rue de la Rochelle, (l r), qui se prolonge vers la commune de Mondeville. En continuant vers le Nord, nous coupons la rue Basse, (b a), qui quant à elle, se prolonge vers la commune d’Hérouville-Saint-Clair. Nous longeons ensuite le Parc Edmond Pruède avant de couper le boulevard de la Paix, (p a). Enfin, plus au nord et dans un angle formé par la limite de Caen nous trouvons les lettres, (g c), pour l’avenue Georges Clemenceau.
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte et longeons le bord Nord vers l’Ouest. Nous coupons d’abord l’avenue Victor Vinde, (v v), puis la rue du Long Bouet, (l b), la rue de la Hache, (h a), et la rue Camille Guérin, (c g). Nous atteignons le coin supérieur gauche de la carte.
Plaçons-nous sur le côté gauche de la carte et cherchons les lettres "g c". Nous sommes sur l’avenue Georges Clemenceau. En la suivant vers l’Est, nous longeons le Centre Hospitalier Régional, (c h r), situé au Sud de l’avenue. Nous arrivons ensuite à une première intersection composée de la rue de la Hache, (h a), au Nord, et de la rue des Cultures, (c u), venant du Sud. En poursuivant notre chemin, sur l’avenue Georges Clemenceau, nous longeons au Nord, le cimetière Nord-Est, et au Sud entourant la place du Docteur Gidon (d g), le Clos Joli, (non indexé). En continuant vers l’Est, nous croisons d’abord la rue du Puits Picard, (p p), puis l’avenue du Calvados, (c a l), avant de rejoindre la limite communale.
Plaçons-nous sur le côté gauche de la carte et cherchons les lettres "b a". Nous sommes sur la rue Basse. En la longeant vers l’Est, nous coupons d’abord la rue de la Masse, (m a), orientée Nord-Sud. Nous croisons ensuite la venelle Fouquet, (f), puis les deux extrémités de la rue de Saint-Malo, (s m), qui forment une boucle. Nous croisons plus à l’Est, la rue Saint-Servan, (s), puis la rue Helen Keller, (h), avant de couper la rue de la Rochelle, (l r). Nous longeons ensuite le parc Edmon Pruède, au Nord avant d’arriver à la limite communale.
Plaçons-nous au Nord de la carte et cherchons les lettres, "h a". Nous sommes rue de la Hache. En descendant vers le Sud, nous croisons une première intersection composée de la rue d’Hérouville à l’Ouest, et de la rue du Long Bouet venant du Nord-Est. Nous croisons ensuite l’avenue Victor Vinde à l’Est et la rue du Docteur Auvray, (d a), à l’Ouest. Nous longeons ensuite le stade Maurice Fouques, (nommé aussi stade de la Hache), puis le cimetière Nord-Est. La rue de la Hache débouche sur l’avenue Georges Clemenceau, (g c), et se prolonge par la rue des Cultures, (c u), orientée également Nord-Sud. En empruntant cette rue nous longeons le Clos Joli situé à l’Est, puis nous croisons le Clos Charmant, (c c). La rue des Cultures débouche ensuite sur une intersection formée par la rue Guerrière, (g u), et la rue Traversière, (t r), qui a d’abord une orientation Nord-Sud, pour se diriger ensuite vers l’Ouest.
Nous nous trouvons à l’Ouest de Caen, à la limite de Bretteville-sur-Odon, (voir carte A 7). Nous sommes à cheval sur les quartiers de Venoix et de Saint-Paul Maladrerie, (voir cartes D 7-8). La frontière entre les deux quartiers est matérialisée par le boulevard Georges Pompidou, (g p), qui trace une diagonale Nord-Ouest Sud-Est. Comme dans beaucoup de quartiers de Caen, les rues sont regroupées par thème. Ainsi, au Sud, la chanson de Roland voisine avec la légende du roi Arthur. La plupart des rues créées sur d’anciennes voies du plateau de Venoix, au Sud du boulevard Pompidou, ont été nommées à partir de novembre 1962.
Plaçons-nous dans le coin inférieur droit et longeons le bas de la carte vers l’Ouest. Nous croisons la rue Wace, (W a), puis nous coupons l’avenue Charlemagne, (c h a), la rue du Saint-Graal, (s g), puis la rue de Cornouailles, (c o). Ces rues viennent du Sud, (voir carte 24).
Revenons dans le coin inférieur droit et remontons vers le Nord. Nous coupons l’allée de Livermead, (l i), la rue de l’Olifant, (o l), la rue des Chevaliers, (c h), sur laquelle se trouve la maison de Quartier de Venoix, (m q v), puis plus au Nord, la rue Durandal, (d u). En partant de la rue des Chevaliers, nous trouvons la rue de Ronceveaux, (r o), qui rejoint l’avenue Charlemagne. La rue des chevaliers et la rue Durandal aboutissent également avenue Charlemagne. Plus au Nord, nous croisons la rue du Maréchal Galliéni, (m G). Elle remonte vers le Nord-Ouest, coupe l’avenue Charlemagne et aboutit sur le boulevard Georges Pompidou. Continuons vers le Nord, le long du bord droit de la carte. Nous coupons la rue Monseigneur Adam, (m a), puis nous parvenons dans le coin supérieur droit, à la rue Nicolas Oresme, (n o).
Après la rue Nicolas Oresme, que nous trouvons dans le coin supérieur droit, en longeant le bord supérieur de la carte vers la gauche, nous coupons la rue Kaskoreff, (r k), puis la rue Louis Borderieux, (l b). Enfin, nous parvenons au boulevard Georges Pompidou, (g p).
Le boulevard Georges Pompidou traverse la carte en diagonale, suivant une orientation Nord-Ouest Sud-Est. Il vient du Nord et se prolonge à l’Est, (voir cartes 12 et 19). Il sera parcouru par la ligne C du Tramway en 2018. Sur le haut de la carte, au centre, nous trouvons les lettres "g p", qui marquent le départ du boulevard Georges Pompidou. Suivons le vers le Sud-Est. Nous croisons la rue Louis Borderieux, (l b), qui vient du Nord-Est. Toujours venant du Nord-Est, nous croisons, au Sud, la rue Maurice Guibé, (p g), et au Nord, la rue Henri le Veillé, (h v). La rue Henri le Veillé rejoint la rue robert Kaskoreff, (r k). En continuant sur le boulevard Georges Pompidou, nous coupons la rue Maréchal Galliéni, (m g), puis nous parvenons sur une intersection sur laquelle débouche, venant du Sud, l’avenue Charlemagne, (c h a), puis la rue Nicolas Oresme, (n o), qui arrive du Nord. Dans l’angle formé par le boulevard Georges Pompidou et la rue Nicolas Oresme se trouve la place Jean Collin, (j c). Nous retrouvons les lettres "g p" sur le bord droit de la carte.
Cet axe traverse la carte du Nord au Sud. Plaçons-nous dans le coin supérieur droit au début de la rue Nicolas Oresme, (n o). Celle-ci vient du Nord, (voir carte 12). En descendant, la rue Nicolas Oresme, nous prenons une orientation Sud. Nous coupons la rue Kaskoreff, (r k), puis le boulevard Georges Pompidou, (g p), puis nous nous engageons dans l’avenue Charlemagne, (c h a). En suivant l’avenue Charlemagne, nous coupons la rue Maréchal Galliéni, (m g), puis nous parvenons à l’intersection de la rue Viviane, (v i), à l’Est, et de la rue Plate Pierre, (p l), à l’Ouest. En continuant à descendre vers le Sud, nous croisons la rue Chrestien de Troyes à l’Est (non indexée), et juste après, venant de l’Ouest, la rue de Brocéliande, (b r). Par la rue Chrestien de Troyes, nous pouvons rejoindre la rue Viviane. En continuant à suivre l’avenue Charlemagne en direction du Sud, nous croisons la rue Durandal, (d u), puis la rue Ronceveaux, (r o). En empruntant la rue Durandal, nous pouvons atteindre la rue Lancelot, (l a), qui fait une boucle et revient sur la rue Durandal plus à l’Est. En continuant, sur l’avenue Charlemagne, toujours vers le Sud, nous croisons à l’Ouest la rue des Trouvères, (non indexée), puis à l’Est la rue des Chevaliers, (c h). Notons que, à partir de la rue des Chevaliers, il est possible de rejoindre la rue de Ronceveaux citée plus haut. Dans le quadrilatère formé par l’avenue Charlemagne, la rue de Ronceveaux et la rue des Chevaliers, nous trouvons la maison de quartier de Venoix, (m q v). Nous parvenons au bas de la carte où nous trouvons les lettres «c h a» qui marquent l’extrémité de la partie de l’avenue Charlemagne que nous venons de parcourir. Cette dernière se prolonge vers le Sud, (voir carte 24).
Plaçons-nous sur le bord inférieur de la carte et cherchons les lettres "c o". Nous sommes sur la rue de Cornouailles qui remonte vers le Nord. Nous croisons, à l’Est, la rue du Saint-Graal, (g r), puis la rue des Trouvères. Cette dernière permet de rejoindre l’avenue Charlemagne. En continuant la rue de Cornouailles, nous parvenons à la rue de Brocéliande, (b r). Prenons la sur la gauche, direction Ouest. Nous croisons la rue Plate Pierre, qui vient du Nord. Si nous suivons la rue Plate Pierre, vers le Nord, nous croisons à l’Ouest, la rue des Paladins, (p a), puis la rue Joyeuse, (j o). Reprenons la rue de Brocéliande, et poursuivons notre progression. Nous croisons la rue Haute-Claire, (h c), puis la rue de Brocéliande commence à s’infléchir pour prendre peu à peu une orientation Nord. Plus loin, à l’Est, nous croisons l’allée des Palefrois, (P), puis à l’Ouest, la rue des Ménestrels, (m é). Nous parvenons ensuite au débouché de la rue Joyeuse, (j o), qui vient de l’Est. Celle-ci permet de rejoindre la rue Plate Pierre. Si nous continuons sur la rue Joyeuse, presque arrivés à la rue Plate Pierre, nous croisons, venant du Nord, l’allée Joseph Bédier, (j b). En continuant la rue de Brocéliande, nous croisons à l’Est la rue des Destriers, (d e), une rue sans nom, puis la rue du Professeur Maurice Guibé, (p g), qui permet de rejoindre le boulevard Georges Pompidou. Après avoir croisé deux rues sans nom, nous nous trouvons tout en haut de la carte.
Cette carte montre une partie du quartier Maladrerie Saint-Paul, du quartier Venoix et du quartier de la Haie-Vigné, (voir carte D 8-7-6). Notons que l’on parle également du quartier Beaulieu-Maladrerie. Y sont situés, le Lycée privé Jeanne d’Arc, (j d), la Maison d’Arrêt, (m a), le Stade Michel d’Ornano, (m o), et le Stade de Venoix, (s v). Plusieurs grands axes la traversent. Deux ont une orientation Ouest-Est, et sont formés l’un par la rue Monseigneur Adam, (m a), et l’autre par le boulevard Georges Pompidou. Plusieurs autres ont une orientation Nord-Sud : l’axe Dunois Detolle, l’axe promenade Napoléon Premier.
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte et descendons vers le Sud. Nous croisons la rue d’Authie, (a u), puis la rue de Bayeux, (b a). Plus bas, nous trouvons plusieurs rues qui viennent de l’Est et se terminent à cet endroit, (voir carte 20). Les trois premières, rue Robert Houdin, (r h), rue du Raquet, (r a), et rue Auguste Nicolas, (a n), son reliées par un axe Nord-Sud, la rue du Docteur Tillaux, (T), dont le début se trouve sur la rue de Bayeux, (b a). En continuant à descendre le long du bord droit de la carte, nous coupons la rue le Notre, (n o), et la rue de la Haie-Vigné, (h v), et nous parvenons dans la partie Ouest du Nice Caennais, (n c), dont la partie Est se trouve sur la carte 20. Au milieu de la rue de la Haie-Vigné, part la rue Hardouin Mansard, (H), qui remonte vers le Nord. Elle croise à l’Est la rue Guillaume de la Tremblaye, la rue le Notre et aboutit rue Auguste Nicolas. Coupant l’angle inférieur droit nous trouvons un tout petit segment de la rue Caponière, (c a), voir cartes 25 19 et 20).
En partant du coin inférieur droit de la carte, nous trouvons la rue Caponière, (c a), puis le boulevard Napoléon Premier (n p), qui remonte vers le Nord, puis les rues Eugène Maes, (e m), de la Haie-Vigné, (h v), qui se croisent, juste au-dessus. La première est orientée vers le Nord-Ouest et s’en va rejoindre le boulevard André Detolle, (a d). La seconde est orientée Nord-Est, coupe la promenade Napoléon premier et se prolonge sur la carte voisine, (voir carte 20). En continuant à longer le bas de la carte, nous coupons le boulevard André Detolle, (a d), pour arriver au Chemin des Brébeufs, (b r). Le Chemin des Brébeufs est orienté Nord-Ouest. En le remontant, nous croisons, au Sud, la rue Maryse Bastié, (m b), puis la rue du Clos des Oiseaux, (O I). Le Chemin des Brébeufs se prolonge dans la rue Bernard Vanier, (b v). À la jonction de ces deux rues, débouche la rue Hélène Boucher, (h b). La rue Hélène Boucher, tout d’abord orientée Sud, tourne vers l’Est pour rejoindre la rue du Clos des Oiseaux. La rue Bernard Vanier, orientée Nord, tourne vers le Sud-Ouest pour rejoindre la rue du Maréchal Galliéni, (m g). En continuant à longer le bas de la carte, nous coupons la rue Maréchal Galliéni, (m g ; voir cartes 25, 19, 18). À l’angle de celui-ci se trouve la rue Charles Prunier, (c p), qui remonte vers le Nord-Est. Nous arrivons dans le coin inférieur gauche ou nous trouvons l’allée Livermead, (l i), qui débouche sur la rue Maréchal Galliéni, (voir cartes 18 et 19).
En partant du coin inférieur gauche et en remontant vers le Nord, nous coupons la rue de l’Olifant, (o l), puis la rue des Chevaliers, (c h), qui rejoint la rue du Maréchal Galliéni, (m g). Ces trois rues se prolongent à l’Ouest, (voir carte 18). Passée la rue du Maréchal Galliéni, nous coupons le boulevard Georges Pompidou, (g p), puis arrivons dans le coin supérieur gauche de la carte, sur la rue Monseigneur Adam, (M a).
Continuons à partir du coin supérieur gauche. Nous coupons la rue Claude Chappe, (c c), la rue Bernard Palissy, (b p), la rue de Bayeux, (b a), puis la rue Robert Tournières, (r t), qui viennent du Nord, (voir carte 13). La rue Claude Chappe, coupe la rue Monseigneur Adam, croise, à l’Ouest, la rue Georges Cazin, (G), et aboutit boulevard Georges Pompidou. La rue Bernard Palissy aboutit rue Monseigneur Adam et la rue Robert Tournières se termine rue de Bayeux. En continuant vers la droite sur le bord supérieur de la carte, nous coupons un petit segment de la rue d’Authie, (a u, voir cartes 13 19 et 20).
Nous décrirons deux axes orientés Est-Ouest et trois axes orientés Nord-Sud.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte. En descendant nous trouvons la rue Monseigneur Adam, (m a). En la suivant vers l’Est, nous croisons, au Sud, la promenade Abbé Lemire, (L), et la rue Jacquemard, (J). En continuant vers l’Est, nous coupons la rue Claude Chappe, (c c). Puis nous croisons la rue Bernard Palissy au Nord et l’allée des Néfliers, (N), au Sud. A l’Est de la rue Claude Chappe et au Sud de la rue Monseigneur Adam, se trouve le lycée privé Jeanne d’Arc, (j d). À l’Est de l’allée des Néfliers est située la maison d’arrêt, (m a). La rue Monseigneur Adam se termine à la hauteur de la rue du Général Duparge, (D). Nous arrivons ensuite au rond-point des Fusillés puis nous aboutissons à la rue des Coutures, (c o). En descendant légèrement vers le sud, à partir de la rue des Coutures, nous entrons, à l’Est, dans l’allée des Abricotiers, (A), qui nous amène au boulevard André Detolle, (a d).
Revenons sur le bord gauche de la carte. Au-dessous de la rue Monseigneur Adam, nous coupons le boulevard Georges Pompidou, (g p). Nous sommes dans sa partie Est, (voir carte 18 pour la partie Ouest). Après avoir parcouru quelques mètres, nous trouvons venant du Nord, la promenade Abbé Lemire, la rue Robert Jacquemard, puis la rue Claude Chappe. Le boulevard Georges Pompidou prend une orientation Sud, puis se dirige vers l’Est. Il croise alors la rue des Coutures, (c o). Il aboutit enfin sur le boulevard André Detolle, (a d). À la verticale de la rue Claude Chappe est situé le stade Michel d’Ornano, (m o). En continuant, nous avons le choix entre le boulevard André Detolle et la rue Eugène Maes, (e m). La ligne C du Tramway empruntera le boulevard Detolle à partir de 2018.
À ces deux axes nous pouvons ajouter le segment de la rue de Bayeux qui découpe un triangle dans la partie supérieure droite de la carte. En descendant le long du bord droit, après le segment de la rue d’Authie, (a u), nous arrivons sur la rue de Bayeux, (b a). En la remontant, nous croisons venant du Sud, la rue du Docteur Tillaux, (T), puis la Promenade Napoléon Premier, (n p). Nous arrivons ensuite à la jonction du boulevard André Detolle, (a d), au Sud, et du boulevard Dunois, (d u), au Nord. En continuant, nous croisons la rue des Coutures, (c o), puis nous arrivons au carrefour des rues Robert de Tournières, (r t), au Nord et Général Duparge, (D), au Sud.
En longeant le bord inférieur de la carte, lorsque nous trouvons les lettres «a d», nous sommes sur le Boulevard Detolle. Celui-ci vient du Sud, (voir carte 25). Le boulevard André Detolle, d’abord nommé boulevard de Venoix est tracé sur le papier dès 1935. Il est finalement réalisé en 1944 par les Américains. Il change de nom, en 1963 après le décès d’André Detolle en 1962. À l’Ouest, est situé le stade du Chemin-Vert, (s v). En remontant le boulevard André Detolle, nous croisons, le boulevard Georges Pompidou à l’Ouest, et la rue Eugène Maes à l’Est, (e m). Plus au Nord, nous croisons, à l’Ouest, l’Allée des Poiriers, (P), l’Allée des Abricotiers, (A), puis l’Allée des merisiers, (M). Ces trois rues permettent de rejoindre la rue des Coutures. Plus au Nord, le boulevard André Detolle coupe la rue de Bayeux, (b a), puis se prolonge par le boulevard Dunois, (d u). Le boulevard Dunois coupe la rue d’Authie pour s’en aller vers le Nord, (voir carte 14).
Il est nommé aussi boulevard Napoléon premier. Cette promenade emprunte les fossés de l’ancienne voie de chemin de fer reliant l’actuelle gare SNCF de Caen et l’ancienne gare Saint-Martin d’où partait la ligne de Caen à la mer qui a fonctionné de 1877 à 1970. Sur le bord inférieur de la carte, nous trouvons les lettres (n p). Nous sommes sur la promenade Napoléon Premier, axe entièrement piéton. Elle est Quasiment parallèle au boulevard Detolle. En remontant, nous coupons la rue de la Haie-Vigné, puis bien plus haut, nous croisons la rue Auguste Nicolas pour aboutir à la rue de Bayeux.
Nous nous trouvons dans le centre politique de la ville, l’Abbaye aux Hommes, (a h), située dans le coin supérieur droit, abritant depuis 1966 l’Hôtel de Ville avec la plupart des services municipaux. Centre historique aussi, puisque l’Abbaye aux Hommes fut érigée par le Duc Guillaume le Conquérant dans le même temps que l’Abbaye aux Dames au Xie siècle. Attachée à l’abbaye, l’abbatiale Saint-Etienne. Sur cette carte sont situés également le Conservatoire de musique et de danse, (c o), les bâtiments de la Direction Régionale des Affaires Culturelles, (d r a c), le Rectorat, (r e), le lycée Charles de Gaulle, (lcdg), et le Centre hospitalier psychiatrique du Bon Sauveur, (c h s). À ces bâtiments, nous pouvons encore ajouter la Maison des associations, (m a), et la Délégation Militaire Départementale, (d m d), sans oublier le centre sportif de la Haie-Vigné, (c s v h), et le stade Hélitas ainsi que l’église Saint-Ouen. Ici aussi est situé le quartier de Caen nommé Nice Caennais en référence à son architecture. Nous retrouvons ce quartier sur la carte 19. Nous nous trouvons en partie sur le quartier de Saint-Ouen et sur le quartier de la Haie-Vigné, (voir carte D 5-6). Non marqué sur la carte, le Jardin Luna-Rossa, jardin d’art brut ouvert au public en 1998, situé au 6 de la rue Damozanne. L’église Saint-Ouen, construite vers 1070 et complétée au XVe siècle, est un mélange de roman et de gothique. Le cimetière qui lui est attenant est fermé depuis 1884. Il faut mentionner également l’église Saint-Nicolas aujourd’hui désaffectée et accueillant des manifestations culturelles variées, (expositions, concerts etc.).
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche. En descendant, nous croisons la rue d’Authie, (a u), orientée vers l’Est puis vers le Sud. Plus bas nous trouvons la rue de Bayeux, (B a), dont nous parlerons plus en détails dans un autre paragraphe. Nous arrivons en suite au Centre Sportif de la Haie-Vigné, (c h s v), puis nous croisons la rue Robert Houdin, (r h). En suivant la rue Robert Houdin, qui fait un petit crochet pour s’orienter vers le Sud, nous croisons à l’Ouest la rue du Raquet, (r a), et la rue Auguste Nicolas, (a n). En continuant à descendre le long du bord gauche, nous croisons la rue Guillaume de la Tremblaye, (g t), et la rue le Notre, (n o). Ces deux rues, ainsi que la rue Auguste Nicolas, rejoignent la rue de la Haie-Vigné, (h v). En continuant à descendre, après avoir croisé la rue de la Haie-Vigné, nous arrivons sur un ensemble de rues qui font partie du Nice Caennais, (n c), puis nous parvenons à la rue Caponière, (c a), dans le coin inférieur gauche de la carte.
Replaçons-nous dans le coin supérieur gauche. En longeant le bord supérieur de la carte, nous arrivons d’abord sur la fin de la rue du Chemin-Vert, (c v), qui aboutit rue de Bayeux, (b a). L’institut privé Saint-Pierre, (s p), se trouve à l’angle de ces deux rues. La rue de Bayeux et la rue Bicoquet, (b i), permettent de parcourir la quasi-totalité du côté Nord de la carte. En continuant vers l’Est sur la rue de Bayeux, nous croisons d’abord la rue de Bretagne, (b r), et la rue Neuve Bourg l’Abbé, (n b), qui viennent du Sud. Au Nord, entre la rue de Bretagne et la rue Bicoquet, est situé le lycée Charles de Gaulle, (l c d g). En partant de la rue Bicoquet, nous trouvons au Nord la rue Léonard de Vinci qui aboutit à la rue d’Hastings. En continuant, nous croisons d’abord la venelle Crespellière, puis nous coupons la venelle Saint-Nicolas pour arriver au début de la rue Saint-Nicolas qui va vers le Nord. A l’Est de la rue Saint-Nicolas, se trouve l’église Saint-Nicolas. Autour de l’église, se trouve un cimetière dormant du même nom. Plus loin, la rue Bicoquet croise la rue Saint-Blaise pour déboucher dans la rue Saint-Martin, (s m). Prenons au début de la rue Bicoquet puis allons vers l’Est, arrivés à la rue Léonard de Vinci. Suivons-la. Elle nous mène sur la rue d’Hastings, (h a). La rue d’Hastings croise, au Nord, la rue Alphonse et Léonard Gille et se termine sur la rue Saint-Nicolas qui, si nous la suivons vers le Sud, nous amène à la jonction des rues Bicoquet et Saint-Martin. Revenons au début de la rue Bicoquet et au lieu de la suivre, suivons la rue de Bayeux qui s’infléchit légèrement vers le Sud-Ouest. Après avoir croisé la venelle Crespellière, puis la venelle Saint-Nicolas, nous arrivons sur la place des Anciennes Boucheries, (a b). Sur cette place arrivent, du Sud-Ouest la rue Caponière, (c a), du Sud-Est, la rue Guillaume le Conquérant, (g c), et du Nord-Est, la rue Saint-Martin.
Dans l’angle supérieur droit, nous trouvons un segment de la rue de l’Académie, (a c), qui aboutit dans la rue Saint-Martin, (voir carte 21). En descendant le long du bord droit de la carte, nous arrivons à la rue Saint-Martin, (s m), puis à la rue Guillaume le Conquérant. Elles sont reliées entre-elles par la rue Jean Marot. Dans l’angle formé par la rue Guillaume le Conquérant au Nord, par la place Monseigneur des Hameaux, (h a), et l’impasse du Duc Rolon, (d r), À l’Ouest, nous avons l’Abbaye aux Hommes, (a h), et l’Hôtel de ville, (H). Sur l’impasse du Duc Rolon, se trouve le Palais Ducal au premier étage duquel est installée l’Artothèque. En continuant sur le bord droit, nous arrivons à la rue du Carel, (c a r). Au Sud de celle-ci se trouvent le Conservatoire de musique et de danse, (c o), et la place des Granges, (g r). À l’Ouest de la place des Granges, nous avons un axe Sud-Nord formé par la rue des Blanchisseries, (B), qui se prolonge, au Nord, par la rue de l’Abbatiale, (a), pour aboutir dans la rue Caponière. À l’Est de la rue des Blanchisseries, au Sud du Conservatoire de musique, se trouve le stade Hélitas.
Plaçons-nous dans le coin inférieur gauche. Nous avons la rue Caponière, (c a), puis la rue de Maltot, (m a), qui rejoint la rue Caponière, après un changement de direction vers l’Ouest. En longeant le bord inférieur de la carte, nous arrivons au chemin du Bouleux, (b o). Le chemin du Bouleux, après avoir croisé la rue du Manoir, (m), qui vient du nord, aboutit sur la rue de Maltot au niveau de la venelle aux Loups, (l). En continuant sur le bord inférieur de la carte, vers l’Est, nous arrivons à la rue du Pont Créon, (p c), qui, après avoir rejoint la venelle aux loups, débouche sur la rue Saint-Ouen, (s o). Nous pouvons suivre la rue Saint-Ouen, pour revenir sur le bord inférieur de la carte.
Nous décrirons deux axes transversaux. L’un est formé principalement par la rue Caponière, (c a). Il est orienté Sud-Ouest Nord-Est. L’autre, débute sur le bord inférieur de la carte par la rue Saint-Ouen, (s o).
La rue Caponière est sans doute la rue la plus longue de Caen. Avant la révolution, elle partait de la place de l’Ancienne Boucherie et finissait rue de Bretagne. Elle se prolonge maintenant jusqu’au carrefour de Venoix en empruntant la rue des Capucins et la rue pavée auxquelles elle a donné son nom définitivement en 1889. Elle a échappé aux bombardements de 1944 et conserve donc un caractère architectural et historique très riche. Plaçons nous sur le coin inférieur gauche de la carte. Nous sommes sur la rue Caponière, signalée par les lettres "c a". Elle est orientée Nord-Est. En la remontant, nous croisons d’abord, à l’Est, la rue de Maltot, (m a), puis immédiatement après, à l’Ouest, la rue Charles Léandre, (c l). Notons que la rue Charles Léandre rejoint la rue de la Haie-Vigné, à la hauteur de la rue le Notre. En continuant la rue Caponière, toujours vers le Nord-Est, nous arrivons à l’intersection de la rue Saint-Ouen au Sud-Est et de la rue Damozanne, (d a), au Nord-Ouest. Entre ces deux rues, se trouve le Rectorat, (r e). Plus haut, nous arrivons à la place Villers, (v i), puis nous croisons, à l’Ouest la rue du capitaine Boualam, (c b), et la rue Neuve Bourg l’abbé, (n b). À cette hauteur, à l’Est de la rue Caponière, sont situés, au Sud, la Direction Régionale des Affaires Culturelles, (d r a c), et au Nord, le Centre Hospitalier psychiatrique du Bon Sauveur, (c h s), qui s’étend jusqu’à la rue des Blanchisseries. Notons que la DRAC s’est installée dans des locaux qui autrefois appartenaient au Bon Sauveur qui s’est séparé de quelques terrains ces dernières décennies. De même, à la hauteur de la place Villers, était installé le lycée Jeanne d’Arc, avant d’être reconstruit rue Claude Chappe, (voir carte 19 code "j d"). Entre la rue du Capitaine Boualam et la rue Damozanne, nous trouvons la Direction Militaire Départementale, (d m d), et juste au-dessus la Maison des associations, (m a). À ce niveau, nous sommes dans le quartier Lorge. La ligne de tramway réunissant les lignes C et D, empruntera les rues Damozanne et Capitaine Boualam. Continuons à remonter la rue Caponière. À l’Ouest, nous croisons la rue de Bretagne, (b r), et à l’Est, la rue de l’Abbatiale, (A). La rue Caponière se termine sur la place des Anciennes Boucheries, (a b), nommée parfois place des Petites Boucheries. Comme nous l’avons montré plus haut, sur cette place, débouchent à l’Ouest la rue de Bayeux, au Nord la venelle Saint-Nicolas et à l’Est, la rue Saint-Martin et la rue Guillaume le Conquérant.
Plaçons-nous sur le bord inférieur de la carte. Au centre, nous trouvons la rue Saint-Ouen indiquée par les lettres, (s o). En la remontant vers le Nord, après avoir croisé, à l’Est, plusieurs voies sans nom puis l’église Saint-Ouen, nous arrivons au niveau de la rue du Pont Créon à l’Ouest, puis nous coupons la rue Caponière pour entrer dans la rue Damozanne, (d a). La rue Damozanne prend une orientation légèrement Nord-Ouest, croise la rue de la Haie-Vigné à l’Ouest, puis, à l’Est, la rue du Clos Caillet, (C), pour aboutir rue de Bayeux quasiment en face de la rue du Chemin-Vert, (c v). C’est à ce niveau que les lignes C et D du tramway se rejoignent pour former le tronc commun de la ligne 2.
Cette carte montre une grande partie du centre-ville. Sa limite Sud-Est, est occupée par une partie de la prairie qui se prolonge plus au Sud, (voir carte 27). À l’Ouest, elle inclue l’esplanade Jean-Marie Louvel, ainsi que la place Louis Guillouard, (g u), et jouxte donc l’Hôtel de Ville, (voir carte 20). À l’est, se trouvent des rues qui mènent jusqu’au port, (voir carte 22). Plusieurs axes, que nous décrirons plus loin la traversent. L’un est constitué, principalement par la rue Saint-Pierre et l’autre par le boulevard Maréchal Leclerc. Nous y trouvons l’église Saint-Pierre, sur la place du même nom, l’église Saint-Sauveur, nommée Notre-Dame-de-Froide-Rue jusqu’en 1802, près de la place Bouchard, le Vieux Saint-Sauveur sur la place Saint-Sauveur et Saint-Étienne-le-Vieux sur la place qui porte son nom. Dans le coin inférieur gauche, se trouvent aussi, le Centre des congrès, la patinoire et le stade nautique. L’état et le département sont aussi présents avec la Préfecture et le Conseil Général. S’y trouvent aussi, la justice avec l’ancien et le nouveau Palais de Justice. Cette partie de Caen est donc un mélange d’ancien, surtout dans sa partie Nord et de plus moderne dans sa partie Sud. Signalons enfin que, ici, se situe la plateforme des transports publics la plus importante de la ville, avec la station tram et bus du boulevard des Alliés et la station du boulevard Maréchal Leclerc où passent la plupart des lignes de bus desservant l’Agglomération Caen-la-Mer. Déjà, au XIXe siècle, partaient de la place Saint-Pierre les tramways desservant différents quartiers de Caen. C’est aussi sur cette place que ce trouvait le départ de la ligne de chemin de fer à voie étroite permettant de rejoindre les stations balnéaires de Luc et Courseulles. le vendredi matin, s’installe l’un des lus grands et des plus anciens marchés de Caen. Le marché Saint-Sauveur, s’étend sur la place Saint-Sauveur, la rue Pémagnie, les Fossés Saint-Julien et déborde très légèrement sur la place Saint-Martin. IL Rassemble mplus de Deux-cent-Vingt commerçants.
Plaçons-nous dans le coin inférieur gauche de la carte. Nous trouvons les lettres "a s", qui marquent le départ de la partie Nord de l’avenue Albert Sorel, orientée Sud-Nord qui longe le côté gauche de la carte. En la remontant, nous croisons à l’Est, la rue Fred Scamaroni, (f s), puis plus haut, la promenade du Fort, (F o), pour aboutir à la place Louis Guillouard, (g u). À la hauteur de la Promenade du Fort, venant de l’Ouest, nous trouvons la rue du Carel, (c). À l’Ouest de la place Louis Guillouard, est située l’Esplanade Jean-Marie Louvel, (e l), qui porte le nom d’un ancien maire de Caen de 1959 à 1970. À la verticale de la place Louis Guillouard, en suivant le trait continu, nous arrivons à la place Fontette, (f o), sur laquelle se trouve l’ancien Palais de justice. En partant vers l’Ouest, nous prenons la rue Guillaume le Conquérant, (g c). Nous arrivons à l’extrémité gauche de la carte. Si nous remontons vers le Nord-Est, par la rue Saint-Manvieu, nous aboutissons sur la place Saint-Martin, (s m), sur laquelle est érigée une statue équestre de Bertrand du Guesclin. Sur la place Saint-Martin, débouchent quatre rues : au Sud-Ouest, la rue Saint-Martin, (s m), au Nord-Ouest, l’avenue du Canada, (c a n), au Nord-Est, les Fossés Saint-Julien, (f s j), et au Sud-Est la rue Pémagnie, (p é), qui descend jusqu’à la place Saint-Sauveur, (s s).
Replaçons-nous dans le coin inférieur gauche de la carte. En nous déplaçant vers la droite, nous rencontrons les lettres "y g". Nous sommes sur le boulevard Yves Guillou, autre maire de Caen avant 1939 puis après 1945. En empruntant le boulevard, vers l’Est, nous longeons la prairie. Nous croisons la rue de l’Hippodrome, (h i), qui descend du Nord, puis nous parvenons sur le boulevard Aristide Briand, (a b), autre fois nommé boulevard circulaire. Dans le triangle formé par l’avenue Albert Sorel, à l’Ouest, la rue Fred Scamaroni au Nord et le boulevard Yve Guillou au Sud, sont situés le centre des congrès, (c c), la patinoire, (p a), et le stade nautique, (s n). Nous sommes maintenant sur le boulevard Aristide Briand que nous suivons dans sa partie Est. Nous croisons la rue Daniel Huet, qui remonte vers le Nord, puis, au bout du boulevard, nous arrivons au débouché du Cours Général de Gaulle, (g g), qui nous amène sur le coin inférieur droit de la carte. Au 2 de la rue Daniel Huet, se trouve le musée Langlois dédié à l’origine au peintre de l’épopée Napoléonienne Jean-Charles Langlois dit le colonel Langlois (1789-1870), dont la moitié des toiles fut détruite en 1944.
Sur ce côté droit de la carte, aucun axe directeur ne peut être dégagé. Il s’agit pour l’essentiel de rues orientées Est-Ouest dont beaucoup sont présentes sur la carte voisine, (voir carte 22). Plaçons-nous sur le coin inférieur droit de la carte. Nous trouvons les lettres "g g". Nous sommes sur le cours Général de Gaulle, (anciennement Cours de la Reine). En remontant le long du bord droit de la carte, nous arrivons à la rue Arthur le Duc, (a r), puis à la rue du 11 Novembre, et la rue de Verdun qui toutes trois, si nous les suivons, nous emmènent jusqu’à la place du Maréchal Foch, (m f). En continuant à longer le bord droit de la carte, nous arrivons à la rue Jean Romain, (j r). Si nous l’empruntons, elle nous ramène au cours Général de Gaulle, tout près du boulevard Aristide Briand. Chemin faisant, nous croisons, venant du Nord la rue du Général Giraud, (g), et nous coupons la rue des Jacobins, (j a), qui, si nous la suivions vers le Sud, nous ferait revenir à la place Foch. Poursuivons le long du bord droit de la carte. Nous arrivons à la rue Saint-Jean, (s j). Si nous la suivons, Nous croisons la rue de l’Oratoire, (O), nous coupons la rue de Bernières, (b e), puis nous croisons la rue Bellivet à l’Ouest, puis nous arrivons au bout de la rue Saint-Jean, à l’angle du boulevard des Alliés, (a l), puis du boulevard Maréchal Leclerc, (m l), et à l’angle de la place Saint-Pierre, (s p). Parallèle à la rue Saint-Jean, nous avons le passage du Chanoine Cousin que nous repérons sur le bord droit de la carte par les lettres " c h ". Lui aussi, coupe la rue de Bernières puis la rue Neuve Saint-Jean pour aboutir en plein milieu du boulevard des Alliés, (a l). Perpendiculaire à la rue Saint-Jean et au passage du Chanoine Cousin, la rue de Bernières, qui va du bord Est de la carte jusqu’au boulevard Maréchal Leclerc dont nous reparlerons plus loin. Plus au Nord, toujours sur le bord droit, se trouve l’avenue du 6 Juin, (j u), Sans doute, la rue la plus large de Caen. Elle fut percée par l’architecte Brillaud de Laujardière, l’un des principaux artisans de la reconstruction de Caen. Sur cette carte, il n’en apparaît qu’une toute petite partie. Elle se termine sur le boulevard des Alliés. Plus au Nord encore, nous trouvons le boulevard des Alliés, déjà cité et dans le coin supérieur droit la rue Montoir Poissonnerie, (m p).
À partir du coin supérieur gauche, nous allons parcourir les rues situées dans le Nord de la carte. Nous trouvons l’avenue du Canada, (c a n), et les Fossés Saint Julien qui se rejoignent place Saint-Martin, (s m). De cette place partent, à l’Ouest la rue Saint Martin et plus au Sud, la rue Saint-Manvieu, (m a). À l’Est de la place, prenant une direction Sud nous trouvons la rue Pémagnie, (p é), qui, si nous la suivions nous mènerait rue Saint-Sauveur, (s s). En continuant de longer le bord supérieur de la carte, nous rencontrons la rue Élie de Beaumont, (e b), et la rue des Cordeliers, (c o). Elles se rejoignent et se prolongent par la rue Saint-Sauveur. Plus loin à l’Est la rue des Croisiers, (c r), puis la rue Gémare, (g é). Enfin, nous trouvons la rue de Geôle, (g e), qui monte vers le château et l’université, (voir carte 15). Signalons encore, entre la rue de Geôle et la rue Montoir Poissonnerie, la place Letellier, (l e). Le tramway emprunte la rue de Geôle en venant de l’avenue du 6 Juin et en passant par le boulevard des Alliés, au chevet de l’église Saint-Pierre.
Nous allons maintenant traverser la carte selon les axes évoqués plus haut. Les deux premiers constituent en grande partie le centre commercial de la ville, avec la rue Saint-Jean, l’Avenue du 6 Juin et les rues adjacentes.
Plaçons-nous dans le coin supérieur de la carte. Nous trouvons les lettres, (m p), pour rue Montoir Poissonnerie. Descendons cette rue qui nous emmène en direction du Sud-Ouest. Nous arrivons sur la place Saint-Pierre, (s p ), sur laquelle est édifiée l’église du même nom. Jusqu’au XIXe siècle, l’église Saint-Pierre était baignée par les eaux du grand Odon qui se jette plus loin dans l’Orne pour former le bassin Saint-Pierre, (voir carte 22). L’église Saint-Pierre, bien qu’ayant subi de nombreuses restaurations, a gardé son style d’origine essentiellement gothique renaissance, des Xive et XVe siècles. La dernière restauration importante, (reconstruction du clocher détruit lors des bombardements de 1944), s’est achevée en 1957. Ce clocher culmine à une hauteur de 75 mètres, soit 3 mètres de plus que l’ancien clocher. De la place, partent, au Nord, la rue de Geôle et au sud, la rue Saint-Jean. L’une des plus grandes églises de Caen, elle a été longtemps, à tort qualifiée de Cathédrale par les Caennais. Traversons la place Saint-Pierre et poursuivons notre chemin. Sur la gauche, direction Sud, nous croisons le passage d’Escoville, puis la rue Hamon, (h). À leur hauteur, venant du Nord, débouche la rue des Teinturiers. Passage d’Escoville, se trouve l’Hôtel d’Escoville qui abrite l’Office de Tourisme. En continuant la rue Saint-Pierre, nous longeons la place Pierre Bouchard, (b o), puis nous croisons la rue de Strasbourg, (s), venant du Sud et la rue Froide qui vient du Nord, (f). À l’angle de la place Pierre Bouchard et de la rue Froide, se trouve l’église Notre-Dame-de-Froide-Rue, église de style gothique renaissance. Nous arrivons ensuite à une intersection d’où partent au Nord, la rue Demolombe, (d), et au Sud, la rue Paul Doumer, (p d). Après avoir croisé la rue Vauquelin, (v), qui vient du Nord, nous aboutissons à la place Malherbe, représentée par un point dans un cercle. Ici, plusieurs rues s’offrent à nous. En direction du Sud, nous avons la rue Saint-Laurent, (l), qui, si nous la suivons, nous amène place de la République, (r é). Au Sud-Ouest, la rue Arcisse de Caumont, (a), qui nous emmène vers la place Étienne-le-Vieux, sur laquelle se trouve l’ancienne église Saint-Étienne-le-Vieux, puis direction Ouest, la rue Écuyère, (é), qui aboutit à la place Fontette déjà citée. Certaines des rues décrites permettent de rejoindre directement le boulevard Maréchal Leclerc. Citons par exemple, le passage d’Escoville ou la rue Hamon. Il est également possible de le rejoindre en empruntant la rue de Strasbourg puis la rue du Moulin qui rejoint la rue Hamon à hauteur du boulevard. Autre possibilité : prendre la rue Paul Doumer, longer la place de la République puis prendre la rue du Pont Saint-Jacques. Signalons, au 52 et au 54 de la rue Saint-Pierre deux maisons de bois à pans coupés datant du XVe siècle et classées M.H en 1947. Le 52 a abrité, à partir de 1946, le musée de la poste fermé en 2009.
En partant du coin supérieur droit, et en descendant le long du bord droit de la carte, nous trouvons les lettres "a l". Nous sommes sur le boulevard des Alliés. Suivons celui-ci vers l’ouest. Nous Croisons l’avenue du 6 Juin, le passage Chanoine Cousin puis arrivons à l’intersection de la rue Saint-Jean, de la place Saint-Pierre et du boulevard Maréchal Leclerc, (m l). Il s’agit d’une partie du boulevard des Alliés renommée en 1948, qui va de la rue Saint-Jean à la place Gambetta. Il est constitué par une partie du cours de l’Odon, de l’ancienne rue des Petits Murs et de l’ancienne rue des Sables. Le boulevard Maréchal Leclerc a une forme particulière. Après s’être dirigé Sud-Ouest, il descend en ligne droite vers le Sud, puis reprend la direction Sud-Ouest pour aboutir place Gambetta, (g). Dans sa partie haute, il croise le passage d’Escoville puis la rue Hamon ainsi que la rue du Moulin. À ce niveau, est érigée une fontaine. Elle marque l’entrée du parcours piétonnier qui s’étend jusqu’à la rue Saint-Pierre. Le boulevard prend une direction Sud. Il croise, la rue Bellivet, (b), à l’Est, puis la rue de Bernières, (b e). Entre les deux, à l’Ouest débouche sur le boulevard la rue Pierre Aimé Lair. Il reprend une orientation Sud-Ouest. Il croise ensuite les rues du Pont Saint-Jacques et Georges Lebret. À ce niveau, au Sud, est situé le théâtre, (t). En 1947, en remplacement de l’ancien théâtre, qui était situé à l’emplacement actuel du temple de l’église réformée, rue Charles Mélingue, (non indiquée sur la carte), sous l’impulsion d’Édouard Collin, directeur de l’Office de la Jeunesse, est construit sur l’avenue Albert Sorel un vrai lieu théâtral connu des Caennais sous le nom de Tonneau. Il s’agit d’un grand baraquement militaire en tôle ondulée de type Rowney. L’architecte Lempereur y installe une salle de spectacle de 620 places dont le décor est confié à l’artiste peintre Yvonne Guégan. En 1955, est décidée la construction d’un théâtre à l’emplacement actuel. La construction terminée en 1963 est confiée à l’architecte Alain Bourbonnais pour les aménagements intérieurs, l’architecture extérieure étant réalisée par l’architecte François Carpentier avec le concours du Scénographe Camille Demangeat. La salle conserve l’esprit des "théâtre à l’Italienne" dont elle reprend la forme en fer à cheval. De 1947 à 1968, le théâtre à Caen est dirigé par Jo Tréhard, qui fit venir à Caen des metteurs en scène célèbres, notamment Antoine Vitez, de 1963 à 1967. À l’emplacement du Tonneau se dresse aujourd’hui le centre de Congrès, (c c). Avant d’aboutir à la place Gambetta, (g), le boulevard Maréchal Leclerc croise sur sa gauche la rue Sadi Carnot. Traversons la place Gambetta. Nous gagnons le boulevard Bertrand, (b b), qui nous amène jusqu’à la place Saint-Étienne-le-Vieux. Au Sud du boulevard Bertrand, est située la cité Gardin, (g a r). Ce trajet, un peu tortueux, correspond en grande partie, au cours du grand Odon qui fut canalisé au XIXe siècle. Nous devons le voûtement du grand Odon, à François Gabriel Bertrand maire de Caen de 1848 à 1870. Il fit de Caen une ville moderne, ce qui lui valut le surnom de Hausmann Caennais. Nous lui devons également le dégagement de l’église Saint-Pierre et la restauration de l’église Saint-Étienne.
Comme nous l’avons déjà montré par ailleurs, les places constituent des points de jonction importants entre plusieurs axes de circulation. Il est donc toujours intéressant de les avoir en tête
Outre les axes déjà cité, le boulevard Maréchal Leclerc à l’Est et le boulevard Bertrand à l’Ouest, nous avons direction Nord la rue Saint-Laurent, (l). Dans l’espace défini par le boulevard Bertrand et la rue Saint-Laurent, sont situés la Préfecture de région de Basse-Normandie, (p r), et le Conseil Général, (c g). De l’autre côté de la rue Saint-Laurent, côté Est, nous trouvons la place de la République, (r e). Partant du Sud-Ouest de la place Gambetta, nous trouvons la rue Fred Scamaroni, (s f), et direction Sud le boulevard Aristide Briand, (a b).
Elle est située dans le quart inférieur droit de la carte. Au Nord, débouche la rue des Jacobins, (j a). D’abord place du 11 Novembre, elle prend le nom du Maréchal, à la mort de celui-ci en 1929. En 1927 est érigée sur la place, une colonne surmontée d’une Victoire. Elle est l’œuvre des artistes Bigot et Saladin Prat. Sa restauration est réalisée en 1960 Il s’agit d’un hommage rendu aux enfants morts au cours de la guerre 1914-1918. Ce monument est souvent appelé Madame de Cuverville par les Caennais, car il regarde la prairie et tourne le dos à la ville. Une statue porte le même nom à Fécamp, pour les mêmes raisons. Elle tourne le dos à la ville et regarde la plage. Au Nord-Est et Sud-Est, arrivent la rue de Verdun, (v e), et la rue du 11 Novembre, (n o). Encore plus au Sud, nous trouvons la rue Arthur le Duc, (a r), et tout à fait dans le coin inférieur de la carte le cours Général de Gaulle, (g g), anciennement cours la Reine, qui longe la place Foch sur son côté Ouest. Enfin venant du Nord-Ouest, la rue Gabriel Dupont (non indexée).
Elles se situent dans le quart supérieur gauche de la carte. Pour les atteindre, chercher sur le bord gauche de la carte les lettres "c o". Nous nous trouvons sur la rue des Croisiers. En descendant celle-ci, nous parvenons à la rue Saint-Sauveur qui débouche sur la place du même nom. Quasiment parallèle à la rue Saint-Sauveur, venant comme elle du Nord, se trouve la rue Pasteur. Un peu plus à l’Ouest de la place Saint-Sauveur, (s s), la rue Pémagnie, (p é), et à l’Ouest, reliée par un petit trait, la place Fontette, (f o), dans laquelle débouche la rue Guillaume Le Conquérant, (g c). La place Saint-Sauveur est sans doute une des places les plus anciennes de Caen. Elle se nommait autrefois "place du pilori". Elle est nommée Saint-Sauveur en 1776. C’est là que se faisaient les exécutions. Les condamnés y parvenaient par la rue Monte-à-regret, aujourd’hui rue aux Fromages. En 2013, elle a été complètement remaniée et est devenue piétonne dans sa plus grande partie. Sur cette place, se trouve une statue de Louis XIV en empereur romain. Tout d’abord érigée devant les grilles du lycée Malherbe lorsque celui-ci était dans l’Abbaye aux Hommes, elle est installée place Saint-Sauveur en 1960. Nous pouvons y voir aussi une sculpture contemporaine de l’artiste Joep Van Lieshout, la Caravane, constituée de cinq statues en aluminium installées en juin 2013. Au fond dela place, se trouve le vieux Saint-Sauveur qui n’est plus utilisé pour le culte. Il abrite une partie de marché du vendredi, d’où son nom de Halle au Beurre et est utilisé pour diverses manifestation culturelles ou commerciales.
À partir de la rue Guillaume le Conquérant, (g c), sur le bord gauche de la carte, remontons vers le Nord. Nous arrivons au début de la rue Saint-Martin, (s m). En remontant celle-ci vers le Nord-Est, nous croisons la rue de l’Académie qui vient du Nord-Ouest, (a c). Nous parvenons sur la place Saint-Martin, (s m). Débouchant un peu à l’Est et venant du Sud, nous avons la rue Saint Manvieu, (m a). Plus à l’Est encore, débouche la rue Pémagnie qui permet de rejoindre la place Saint-Sauveur. Au nord, nous trouvons le départ de l’avenue du Canada, (c a n), et des Fossés Saint-Julien, (f s j).
Anciennement place Royale, elle a abrité pendant longtemps le conseil municipal aujourd’hui installé dans l’Abbaye aux Hommes. Pour la trouver, chercher sur le bord gauche de la carte, les lettres "e l". À partir de là, allez vers l’Est. Après avoir trouvé les lettres "g u", puis les lettres "e l", nous arrivons sur le départ de la rue de Bras, (b r). Plus loin, sur celle-ci, venant du Sud-Est, nous rencontrons la rue Saint-Laurent, (L). En la descendant, nous croisons la rue Jean-Eudes, (j), qui forme le fond de la place de la République. En continuant la rue Saint-Laurent nous croisons la rue Auber, (non indexée), qui en forme le côté Sud. En allant vers l’Est, par la rue Auber, nous arrivons à la rue du Pont-Saint-Jacques, (non indexée), qui forme le côté Est de la place. Remontons la rue du Pont Saint-Jacques. Nous croisons la rue Pierre Aimé Lair, (non indexée), qui vient de l’Est et nous débouchons dans la rue de Strasbourg qui croise la rue de Bras et nous mène à la rue Saint-Pierre à hauteur de la place Pierre Bouchard.
Avec le Canal au Nord, l’Orne qui traverse toute la carte et le bassin Saint-Pierre qui fait la liaison entre eux deux, nous sommes sous le signe de l’eau. Cette zone avec la zone voisine, (voir carte 21), a toujours eu une vocation commerciale au cours des siècles. Marquée par l’aventure industrielle avec le creusement du Canal de Caen à la mer terminé en 1857, Elle prend, à l’aube du XXIE siècle une orientation culturelle symbolisée par l’École supérieure d’arts et médias, par le Cargö, salle des musique actuelles, et par l’implantation de la nouvelle Bibliothèque multimédia à vocation régionale. Les activités industrielles très présentes au XIXE siècle ont été peu à peu repoussées à l’Est sur les bords du Canal. Nous y voyons la gare SNCF, héritage également du XIXe siècle et une grande partie de l’avenue du 6 Juin, symbole de la reconstruction de Caen entreprise après 1945. Nous y trouvons également l’église Saint-Jean, de style gothique renaissance, édifiée aux XIVE et XVe siècle et classée en 1840. Elle se caractérise par son air penché dû au fait qu’elle est construite sur pilotis sur un sous-sol marécageux. On la qualifie parfois de tour de pise. La tour de porche, haute de 47 mètres, s’incline de 2,28 mètres vers le Nord-Ouest. L’église Saint-Jean fait partie de la paroisse de la Sainte-Trinité. Notons aussi, le développement, sur la rive droite de l’Orne, entre le pont Alexandre Stirn et le pont Winston Churchill, du quartier des rives de l’Orne, inauguré au cours de l’année 2013. Du pont Alexandre Stirn, (anciennement pont Vendeuvre), part, vers le Sud-Est l’avenue Rosa Park, qui rejoint le parking de la gare SNCF.C’est sur cette avenue que déménagera l’hôtel de l’Agglomération Caen la Mer. le dimanche matin a lieu le plus grand marché de la ville, le marché Saint-Pierre. Il s’étend de la mplace Courtonne au quai Vendeuvre jusqu’à la rue des Carmes. Il rassemblerait quatre-cent-soixante commerçants environ. bien que ce chiffre semble un peu exagéré, cela montre cependant l’importance du marché du dimanche.
C’est la zone urbaine la plus dense de la carte. En partant du coin supérieur gauche de la carte, nous trouvons les lettres "a l". Nous sommes sur le boulevard des Alliés qui se prolonge par le quai Vendeuvre, (q v). En descendant, le long du Bord gauche de la carte, nous arrivons à l’avenue du 6 Juin, (j u), qui descend en diagonale vers le Sud-Est pour aboutir au pont Winston Churchill. Elle est empruntée par le Tramway qui, après avoir franchi le pont, poursuit sa route par la rue de la Gare, (g a). En continuant à descendre le long du bord gauche de la carte, nous croisons le passage Chanoine Cousin, (c h), puis la rue Saint-Jean, (s j). La rue Saint-Jean aboutit au pont de Vaucelles, et se prolonge, de l’autre côté du pont, par la rue de Vaucelles, (v a). Le pont de Vaucelles fut construit sur un gué de l’Orne, il se nomme successivement pont Saint-Michel, pont Frileux, pont de la Porte Millet et enfin pont de Vaucelles. Estimé comme trop étroit, il est reconstruit en granit en 1825, sur les plans de l’ingénieur Patu. Juste au-dessous de la rue Saint-Jean, se trouve le départ de la rue Jean Romain qui s’en va vers l’Ouest, (voir carte 20). Nous trouvons ensuite, la rue de Verdun, (v e) qui, après avoir croisé la rue Saint-Louis, (S), rejoint la rue Saint-Jean et se prolonge par la rue du Havre, (H), pour aboutir à l’avenue du 6 Juin. Dans la continuité de la rue du Havre, en allant vers l’est, nous empruntons la rue des Carmes, (c a), pour aboutir sur le quai Vendeuvre, (q v), près du bassin Saint-Pierre. Plus bas, toujours sur le bord gauche de la carte, nous trouvons la rue du 11 Novembre, (n o), qui coupe la rue Saint-Louis pour aboutir rue Saint-Jean, près du pont de Vaucelles. Encore plus bas, sur le bord gauche de la carte, la rue Arthur le Duc, (a r), qui coupe la rue Saint-Louis pour déboucher sur le cours Général de Gaulle, (g g), ancien cours de la reine.
Replaçons-nous dans le coin supérieur gauche et longeons le bord supérieur de la carte vers la droite. Notons que toutes les rues nommées si après, viennent du Nord, (voir carte 16). Nous croisons d’abord la rue Basse, (b a). Juste en-dessous, la place Courtonne, (c o). Plus à droite, nous avons les rues Richard Lenoir, (r l) et Fresnel, (f r), qui donnent toutes deux dans la rue Michel Cabieu, (c a). La rue Richard Lenoir coupe la rue Michel Cabieu et aboutit sur l’avenue de Tourville. La rue Michel Cabieu se termine sur le quai de la Londe, (l). Enfin, nous trouvons la rue Varignon, (v a r), qui aboutit avenue de Tourville.
Sur ce côté, nous trouvons les axes pénétrant dans Caen par l’Est, (voir carte 23). Ils longent, soit le canal de Caen à la mer au Nord, soit les rives de l’Orne au Sud. Plaçons-nous dans le coin supérieur droit. En descendant, nous arrivons à l’avenue de Tourville, (t o). Elle longe le canal jusqu’au pont de la Fonderie. Plus bas, nous avons le cours Caffarelli, (c c) qui longe la rive gauche de l’Orne jusqu’au pont de l’Ecluse. Le pont de l’Ecluse fait le lien entre l’Orne et le bassin Saint-Pierre. Le long du cours Caffarelli, nous pouvons voir, l’école supérieure d’arts et médias, (e s a m) et le Cargö, (c a). En descendant encore le long du bord droit, nous croisons le cours Montalivet, (c m). Celui-ci longe la rive droite de L'Orne. Il se prolonge par le quai Amiral Hamelin, (q a). En continuant à descendre, nous coupons les voies de chemin de fer pour arriver sur le coin inférieur droit de la carte.
En partant du coin inférieur gauche de la carte, nous trouvons le quai Eugène Meslin, (e m), puis la rue Pierre Girard, (P g), qui rejoint la rue de la Gare, (g a). Nous coupons ensuite la rue de la Gare puis les voies ferrées qui se prolongent sur la carte 28. Dans cette partie Sud sont situées les terrains de la gare SNCF et la gare des Bus Verts, (g r b v), compagnie de transport de voyageurs qui dessert le département du Calvados en remplacement des Courriers Normands bien connus des anciens Caennais.
Nous allons maintenant parcourir les axes formés par la rue Saint-Jean et la rue du 6 Juin. Ces deux axes fonctionnent en parallèle.
Sur le bord gauche de la carte, nous trouvons la rue Saint-Jean grâce aux lettres " s j ". Anciennement rue Exmoisine. Elle a une orientation Sud-Est et aboutit au pont de Vaucelles. Descendons vers le Sud. Nous croisons la rue des Équipes d’urgences puis la rue des Martyrs à l’Est, (non indexées). À l’Ouest, le départ de la rue Jean Romain, (voir carte 21). À ce niveau se trouve l’église Saint-Jean, sur la place Saint-Jean. La place Saint-Jean n’est pas marquée sur la carte. Nous longeons ensuite la place Maurice Minette, qui n’est pas marquée, elle non plus. En continuant vers le Sud, nous arrivons au débouché de la rue du Havre à l’Est, (h), et de la rue de Verdun, (v e), à l’Ouest. En continuant sur la rue Saint-Jean, nous croisons à l’Est, la rue Frementel, (f), puis la rue Laplace (l). Au Nord de la rue Laplace, est située la Place Félix Eboué, (f b). Nous parvenons ensuite sur la place du 36ième Régiment d’Infanterie. Puis nous croisons la rue du 11 Novembre à l’Ouest et arrivons à l’intersection du quai de Juillet, (q j), à l’Est et de la promenade de Madame de Sévigné, (s e) à l’Ouest pour enfin parvenir au pont de Vaucelles. En traversant le pont de Vaucelles, nous parvenons sur la rue du même nom.
Arrivés au pont de Vaucelles, suivons l’Orne vers le Nord-Est jusqu’au pont Winston Churchill. Nous sommes à l’embranchement de la rue de la Gare au Sud, et de l’avenue du 6 Juin au Nord. Sur cet axe Sud-Nord, circule le Tramway. Reprenons cet axe à partir du bas de la carte où nous trouvons les lettres, (g a) pour rue de la gare. En remontant nous trouvons à l’Ouest la rue Pierre Girard, (p g), puis nous arrivons sur le pont Winston Churchill que nous traversons pour nous retrouver avenue du 6 Juin. À ce niveau, nous coupons le quai de Juillet, (q J). En remontant, l’avenue du 6 Juin vers le Nord, nous croisons à l’Ouest, la rue Laplace puis parvenons au croisement de la rue des Carmes, (C), à l’Est, et de la rue du Havre à l’Ouest, (h). Nous arrivons ensuite au niveau de la rue des Martyrs à l’Ouest, puis au croisement de la rue des Équipes d’urgences et de la rue Guilbert, (g). À hauteur de la rue des Martyrs et des Équipes d’urgences, nous longeons à l’Ouest la place de la Résistance, (r é). Sur cette place est érigée une statue de Jeanne d’Arc, ainsi qu’un monument dédié au souvenir des déportés de la guerre 1939-1945. Sous la place, un parking souterrain. Plus haut, nous coupons la rue de l’Engannerie, (E) et enfin la rue de Bernières, (b e). Ces quatre rues, rue de Bernières, rue de l’Engannerie, rue des Carmes et rue Guilbert amènent au port. Au passage, elles coupent la rue de la Miséricorde, (m i), parallèle à l’avenue du 6 Juin et au quai Vendeuvre, (q v). Elles aboutissent au quai Vendeuvre. Pour trouver la rue de la miséricorde, prenons le bord gauche de la carte à partir du haut. Arrivés sur la rue de Bernières, (b e), suivons-la. Nous coupons l’avenue du 6 Juin et arrivons au débouché de la rue de la Miséricorde. En descendant celle-ci, nous parvenons à la rue Henri Brunet, (h b). Ici, est situé le collège du même nom (h b). Le segment Est de la rue de la Miséricorde, nous mène vers le quai Vendeuvre, alors que si nous suivons le segment Ouest, nous atteignons le quai de Juillet.
Elle est formée par le canal de Caen à la mer au Nord, L’Orne au Sud, le Bassin Saint-Pierre à L’Ouest. Entre le canal et l’Orne un petit canal de régulation a été mis en service à partir de 2003. L’accès n’est possible, à partir de Caen, que par deux ponts : le pont de la Fonderie au Nord et le pont de l’Écluse au Sud. Nous partirons donc du pont de l’Écluse. Pour le trouver, plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et suivons le cours de l’Orne vers l’aval. Nous franchissons d’abord le pont de Vaucelles, le pont Winston Churchill et arrivons sur le pont Alexandre Stirn. À la perpendiculaire du pont Alexandre Stirn, se trouve le pont de l’Écluse qui nous mène à la jonction entre le cours Caffarelli, (c c) à l’Est et le quai François Mitterrand, (q m), à l’Ouest. Nous sommes à l’intérieur de la Presqu’île. Partant vers le Nord-Est, nous arrivons sur la rue Victor Hugo, (v), qui longe le canal de régulation. Elle croise à l’Ouest, la rue Suède et Norvège, (s n). À l’extrémité Nord de la rue Victor Hugo, nous arrivons à l’avenue Pierre Berthelot, orientée Est-Ouest. En suivant celle-ci, nous croisons, Au Sud, la rue Dumont d’Urville, (d u) puis arrivons au pont de la Fonderie et rejoignons le quai François Mitterrand, qui longe le bassin Saint-Pierre. Notons que les rues " suède et Norvège " et " Dumont d’Urville " forment une croix. Le long du Quai François Mitterrand, se situe la Bibliothèque Multimédia à Vocation Régionale, dont l’ouverture est prévue pour 2016. l’Est du petit canal de régulation, nous trouvons l’ESAM et le Cargö.
Sur le bord droit de la carte, cherchons les lettres "c m". Nous sommes sur le cours Montalivet. Il longe la rive droite de l’Orne jusqu’au pont Alexandre Stirn. Du pont Alexandre Stirn, jusqu’au pont Winston Churchill, nous trouvons le nouveau quartier des rives de l’Orne inauguré en 2013. Nous empruntons alors le quai Amiral Hamelin anciennement quai des Abattoirs, qui passe entre le quartier des Rives de l’Orne et se prolonge au-delà du pont Winston Churchill, jusqu’au pont de Vaucelles. Sur ce quai, étaient installés depuis 1833 des abattoirs. Ils furent remplacés plus tard par le tri postal et la poissonnerie eux aussi, aujourd’hui disparus. Passé le pont de Vaucelles, nous parvenons sur le quai Eugène Meslin qui se prolonge jusqu’à la hauteur du pont de Bir Hakeim (voir carte 28).
Plaçons-nous sur le bord inférieur de la carte et cherchons l’Orne. Remontons-la sur sa rive gauche. Nous sommes sur une partie de promenade de Madame de Sévigné, (ancien tracé de la voie des casernes). Nous croisons la rue Saint-Jean à la hauteur du pont de Vaucelles. Le quai de Juillet croise l’avenue du 6 Juin à la hauteur du pont Winston Churchill pour aboutir sur le quai Vendeuvre à la hauteur du pont Alexandre Stirn. Pour continuer à suivre la rive gauche, il faut emprunter le pont de l’Écluse. Nous nous retrouvons alors dans la Presqu’île.
Nous sommes à l’Est de Caen, dans le quartier du Port, (voir carte D 16), à la limite de la commune de Mondeville, (voir carte A 17). La carte est traversée en son milieu par l’Orne et dans sa partie supérieure par le Canal de Caen à la mer qui déterminent les limites Sud et Nord de la Presqu’île déjà évoquée, (voir carte 22). Cette zone de Caen est peu urbanisée. Elle fut vouée pendant des années à l’activité industrielle. Y était implanté le port charbonnier entre autres. Ces activités industrielles, se sont déplacées sur le Canal de Caen à la mer en aval.
La partie supérieure de la carte est traversée d’Est en Ouest par l’avenue de Tourville, (t o). En la parcourant, nous rencontrons venant du Nord, la rue de la Masse déjà présente sur la carte 17.
En partant du coin supérieur droit et en descendant, nous croisons l’avenue de Tourville, (t o), puis traversons le Canal pour arriver à la chaussée des Silos, (s i). Sur certaines cartes, la partie Ouest de la chaussée des Silos prend le nom de chaussée d’Alger. Plus bas, nous rencontrons la rue Gaston Lamy g l), puis le cours Caffarelli, (c c). Nous traversons l’Orne puis coupons le cours Montalivet. En continuant à descendre, nous passons les voies de chemin de fer et parvenons à la rue du Marais, (m a r). Au niveau de la rue du Marais se trouve le centre d’accueil de nuit Cap Horn, (c h).
Le côté sud de la carte est traversé par les voies de chemins de fer. Juste au-dessus de celles-ci, longeant l’Orne, Nous avons le cours Montalivet, (c m).
Reprenons le bord droit de la carte et cherchons le cours Caffarelli, (c c). En le suivant vers l’Ouest, nous longeons l’Orne sur sa rive gauche et nous pénétrons dans la presqu’île. Nous croisons la rue Gaston Lamy, (g l), puis arrivons au début de la rue de Cardiff, (c a). Celle-ci remonte vers le Nord et aboutit tout près du Canal à la jonction du quai de Normandie, (q n), à l’Ouest et la chaussée des Silos, à l’est. Le quai de Normandie longe le Canal et rejoint la rue Pierre Berthelot, (voir carte 22). Chemin faisant, il croise, au Sud l’avenue de l’Orne, (a o). La chaussée des silos s’en va vers l’Est, elle s’écarte du canal pour laisser place au quai Gaston Lamy, (q g l), qu’il ne faut pas confondre avec la rue du même nom.
Nous nous trouvons au Sud-Ouest de Caen à cheval sur les quartiers de Venoix et de Bas-Venoix-Prairie, (voir carte D 7-4). Nous sommes à la limite de la commune de Bretteville-Sur-Odon, (voir carte A 7). Les éléments remarquables à repérer sur cette carte : au Sud, longé par la voie de chemin de fer, une grande zone verte. Au nord, séparées par l’avenue Charlemagne, (c h a), observer la place de la Fontaine Venoise à l’Est, (F v), et la place de la Fontaine aux Dames à l’Ouest, (f d). Sur l’avenue Charlemagne, le mercredi matin, se tient un marché qui réunit environ Vingt-cinq commerçants.
Ces deux côtés sont formés par la limite de Caen avec Bretteville-Sur-Odon. Une flèche montre, dans la commune de Bretteville-sur-Odon, le départ de la A-84 qui va vers Rennes.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte et déplaçons-nous vers l’Est. Nous allons couper principalement les rues venant du Nord, déjà présentes dans la carte 18. Tout d’abord la rue de Cornouailles, (c o), qui croise la rue du Saint-Graal, (s g), et aboutit sur la rue du Creux au Renard, (c r). En continuant à longer le bord supérieur de la carte, plus à l’Est, la rue du Saint-Graal, qui comme nous venons de le voir, rejoint la rue de Cornouailles. Plus à l’Est encore, l’avenue Charlemagne qui descend plus au Sud, (C h a). Enfin, l’extrémité de la rue Wace, (w a).
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte et descendons vers le Sud. Nous coupons des rues venant de l’Est, déjà présentes sur la carte 25. D’abord, l’extrémité de la rue Lucien Nelle, (l n), qui se prolonge par la rue du Creux au Renard, (c r). Plus au Sud, le chemin de Cheux, (c h), qui aboutit sur la rue du Vallon de Bretteville, (v b). En continuant à descendre le long du bord droit de la carte, nous coupons la rue Henry Chéron, (h c). Celle-ci traverse la carte d’Est en Ouest sur toute sa longueur. Plus bas encore, longeant les espaces verts, nous avons la rue du parc de Bellevue. Au sud de la zone verte, se trouve la voie de chemin de fer, longée par le chemin rural des Costils Lambalard, (c l).
Nous décrirons un axe vertical formé par l’Avenue Charlemagne, un axe horizontal formé par l’avenue Henry Cheron, et un axe que nous qualifierons de courbe formé principalement par la rue du Creux au Renard.
En longeant le bord supérieur de la carte, nous trouvons les lettres "c h a". Nous sommes sur l’avenue Charlemagne qui descend vers le Sud. Nous croisons à l’Ouest la rue Courte Delle, (c d), puis nous passons entre les places la Fontaine aux Dames à l’Ouest, (f d), et la place de la Fontaine Venoise à l’Est, (f v). En continuant, toujours en direction du Sud, nous arrivons à l’intersection de la rue du Creux au Renard à l’Ouest et de la rue Lucien Nelle à l’Est, puis nous coupons le chemin de Cheux, (c h ), pour aboutir à la rue Henry Chéron, (h c ). La rue Courte Delle, qui nous l’avons vu, part de l’avenue Charlemagne, après avoir été orientée vers l’Ouest, prend la direction du Sud, et devient alors parallèle à l’avenue Charlemagne. Elle coupe la rue du Creux au Renard et aboutit sur le chemin de Cheux.
En longeant le bord droit de la carte, nous trouvons les lettres "h c". Nous sommes sur le tracé de l’avenue Henry Chéron. En allant vers l’Ouest, nous croisons successivement l’avenue Charlemagne, la rue du Parc de Bellevue, la rue du Creux au Renard. Nous coupons ensuite la voie de chemin de fer pour aboutir à la limite Sud-Ouest de Caen. Entre la rue du Parc de Bellevue et la rue du Creux au Renard, l’avenue Henry Chéron longe une zone verte.
La voie de chemin de fer est située au Sud de la zone verte. D’abord orientée Est-Ouest, elle longe le chemin rural des Costils Lambalard, puis s’oriente vers le Nord-Ouest, coupe l’avenue Henry Chéron et sort de Caen au niveau de la commune de Bretteville-sur-Odon, (voir carte A 7).
Sur le bord droit de la carte, cherchons les lettres "l n". Nous sommes à l’extrémité de la rue Lucien Nelle qui vient de l’Est, (voir carte 25). Vers l’ouest, elle se prolonge par la rue du Creux au Renard, (c r). Cette dernière est d’abord orientée Ouest. Elle coupe la rue Courte Delle, puis croise, venant du Sud, la rue du Vallon de Bretteville, (v b). Elle croise ensuite la rue de Cornouailles qui vient du Nord, (c o). Elle prend alors la direction du Sud. Elle revient vers l’Est en adoptant une direction Sud-Est, croise l’autre extrémité de la rue du Vallon de Bretteville pour aboutir sur l’avenue Henry Chéron.
Nous sommes au Sud-Ouest de Caen, dans le quartier Bas-Venoix-Prairie, (voir carte D-4). La partie inférieure gauche de la carte montre la limite entre Caen et Bretteville-sur-Odon. Toute la partie Sud de la carte est occupée par une zone verte traversée en son milieu, d’Ouest en Est par la voie de chemin de fer. Au-dessus de cette zone verte, nous pouvons voir de grands axes plus ou moins parallèles qui créent un sentiment de longueur, comme un étirement du paysage d’Ouest en Est. Nous trouvons, sur cette carte, la MJC de Venoix, (m j c), L’église Saint-Gerbold et le cimetière de Venoix. La construction de l’église Saint-Gerbold fut entreprise en 1869 et bénie deux ans plus tard. Elle est de style ogivale. Bien que sa flèche principale est résisté aux bombardements des Alliés et des Allemands en 1944, elle ne fut rendue au culte que 13 ans après la fin de la guerre, en 1957. Nous pouvons y voir des vitraux créés pas l’artiste Sylvie le Tourneux, achevés d’être posés en 1986. L’église fait partie de la paroisse de Saint-François des Odons.
Il est formé en partie par la limite avec le côté de la carte 24 et la limite entre Caen et la commune de Bretteville-Sur-Odon, (voir carte A-7). Les rues ou voies indiquées sont donc le prolongement de celles déjà présentes sur la carte 24. Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte. En longeant celui-ci vers le Sud, nous coupons d’abord la rue Lucien Nelle, (l n), puis le chemin de Cheux, (c h). Plus bas, nous coupons l’avenue Henry Chéron, (c h), puis nous parvenons sur la rue du Parc de Bellevue. Après avoir longé la zone verte, nous traversons la voie de chemin de fer et arrivons sur le chemin des Costils Lambalard qui longe la voie de chemin de fer d’Ouest en Est, jusqu’à la rue de Québec Section Côté Sud Nous sommes toujours à la limite de la commune de Bretteville qui forme une échancrure puis traversons la zone verte qui s’étend encore plus au Sud, au-delà de la carte 25. En longeant le bord inférieur de la carte, et en suivant la limite de la zone verte, nous coupons d’abord la rue de Québec, (q u), puis la rue du Viaduc de l’Odon, (v o). La rue du viaduc de l’Odon, orientée Nord-Est se prolonge sur la carte 26.
Nous sommes à la limite entre la carte 25 et la carte 26. Plaçons-nous sur le coin inférieur droit et remontons vers le Nord. Nous coupons d’abord la rue Joseph Philippon, (j p), la rue du Viaduc de l’Odon, (v o), puis, en longeant la zone verte, nous traversons la voie de chemin de fer pour arriver sur le boulevard Yves Guillou, (Y v). En allant toujours vers le Nord, nous coupons le chemin du Beau Site, (b s), la promenade Napoléon Premier, (n p), l’allée du Plateau Fleuri, (p f), puis nous parvenons dans le coin supérieur droit sur la rue de Bretteville, (b r). Notons que la zone verte s’étend vers l’Est, nous la trouvons donc sur les cartes 24, 25, 26 et 27.
Le côté Nord est relié par ses rues à la carte 19. Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche et déplaçons-nous vers l’Est. Nous trouvons d’abord la maison des Jeunes et de la Culture de Venoix, (m j c), puis nous coupons la rue du Maréchal Galliéni et la rue Maryse Bastié, (m b), qui rejoint la rue Galliéni un peu plus au Sud. En continuant à longer le bord supérieur de la carte, nous coupons le chemin des Brébeufs, (b r é), puis nous arrivons sur le boulevard André Detolle, ( a d). Faisant la liaison entre ces deux rues, nous avons la rue du Stade de Venoix, (S), qui longe le stade du même nom situé sur la carte 19. En continuant sur le bord supérieur de la carte, Nous coupons ensuite le chemin de la Haie-Vigné, (h v), puis la promenade Napoléon Premier, (n p), et la rue Eugène Maes, (e m). Nous traversons ensuite la rue Caponière dans la quelle débouche la rue de Bretteville venant de l’Est, (b r).
L’axe le plus visible, qui traverse les zones vertes, est celui formé par la voie de chemin de fer que nous trouvons déjà sur la carte 24 et qui se prolonge sur les cartes 26, 27, 28, 22 et 23 pour sortir de Caen au niveau de la commune de Mondeville à l’Est de Caen. L’autre axe important est celui constitué par l’avenue Henry Chéron et la rue Caponière. Il commence sur la carte 24 et se prolonge sur les cartes 19, 20 et 21 pour aboutir place des Anciennes Boucheries, (voir tracé complet, carte C). Autre axe important même s’il ne se développe que sur la partie supérieure droite, l’axe boulevard André Detolle Yves Guillou, qui se prolonge vers le Nord par le boulevard André Detolle sur la carte 19, et vers le Sud puis l’Est, par le boulevard Yves Guillou, sur les cartes 26, 27 et 21, (voir leur tracé complet carte C). Nous parcourrons également les axes Ouest-Est Lucien Nelle et chemin de Cheux. Nous parcourrons aussi, l’axe Nord-Sud qui va de la rue du Maréchal Galliéni, déjà présente sur la carte 19, à la rue de Québec.
Plaçons-nous sur le bord supérieur gauche et descendons vers le Sud. Nous trouvons les lettres "h c". Nous sommes sur l’avenue Henry Chéron. Elle est orientée Nord-Est. En la suivant, nous croisons successivement, venant du Sud, la rue de Bellevue, (b e), l’allée du Clos de la Bergerie, (c b), puis la rue Milon, (M i). Plus loin, nous croisons, venant du Nord, la rue Madame de Sévigné, (m s). En poursuivant notre chemin, nous croisons l’allée Avelines, (a v), puis la rue Saint-Gerbold, (s g), qui arrivent du Sud. Dans l’angle formé par la rue Saint-Gerbold et l’Avenue Henry Chéron, se trouve l’église Saint-Gerbold. En continuant sur l’avenue Henry Chéron, nous arrivons à une intersection formée par la rue du Maréchal Gallieni au Nord, (m g), et la rue Constant Forget au Sud, (c g). Plus au Nord, nous parvenons à une nouvelle intersection formée par le chemin des Brébeufs au Nord, et l’allée Mary Pickford, (m), au Sud. Entre ces deux intersections, au Nord de l’avenue Henry Chéron, faisant la liaison entre la rue du Maréchal Gallieni et le Chemin des Brébeufs, est située la rue de Montréal, (M O). Au nord de la rue de Montréal, nous trouvons la rue Antoine Galland, (A g). Continuons sur l’avenue Henry Chéron. Nous arrivons au carrefour dit de Venoix. Il est formé de Quatre axes : l’avenue Henry Chéron qui se prolonge au Nord-Est, par la rue Caponière, le boulevard André Detolle qui arrive du Nord, et qui se prolonge par le boulevard Yves Guillou, orienté d’abord vers le Sud. Poursuivons par la rue Caponière. Nous croisons, successivement, la rue Geo Lefèvre venant du Sud, (g), la rue Eugène Maes venant du Nord, (em), puis le chemin du Beau Site, (b s), qui arrive du Sud. Au 22 de la rue Geo Lefèvre, se trouve l’atelier-Musée Yvonne Guégan. Nous coupons ensuite la promenade Napoléon Premier, nous croisons le chemin de la Haie-Vigné pour aboutir sur le coin supérieur droit de la carte, à la hauteur de la rue de Bretteville.
Plaçons nous sur le côté droit de la carte et cherchons, à peu près à mi-hauteur, les lettres "y g". Nous somme sur le boulevard Yves Guillou. Il est d’abord orienté Est-Ouest, puis dessine une courbe qui va vers le Nord. En le suivant, nous croisons la rue de Québec qui vient du Sud en traversant les zones vertes. Puis après avoir abordé la courbe, nous croisons à l’Est le chemin du Beau Site, (b s). Nous arrivons au carrefour de Venoix déjà évoqué et continuons vers le Nord sur le boulevard André Detolle, (a d). Arrivés sur le bord supérieur de la carte, nous croisons à l’Ouest la rue du Stade.
Plaçons-nous sur le bord inférieur droit de la carte et déplaçons-nous vers l’Ouest. Après avoir coupé la rue du viaduc de l’Odon, (v o), nous trouvons les lettres "q u". Nous sommes sur la rue de Québec. En la suivant vers le Nord, nous croisons la rue du Vieux Moulin à l’Ouest, (v m), et la rue Joseph Philippon à l’Est. Nous croisons ensuite à l’Ouest, le chemin des Costils Lambalard, (c l), et nous traversons la voie de chemin de fer. Plus au Nord, nous trouvons l’allée Baudelaire, (b a), au Sud-Est, et la rue Constant Forget, (c g), au Nord-Ouest. Nous continuons par la rue Constant Forget pour remonter vers le Nord. Nous croisons à l’Est l’allée des Acacias, (a c), et à l’Ouest la rue de Bellevue déjà évoquée. Plus au Nord, nous croisons à l’Ouest l’allée du Prieuré. Dans l’angle qu’elle forme avec la rue Contant Forget, est situé le cimetière de Venoix. En continuant la rue Constant forget, nous trouvons à l’Est plusieurs rues sans nom, puis nous passons à côté de l’église Saint-Gerbold pour arriver sur l’avenue Henry Chéron. En traversant celle-ci, nous sommes dans la rue du Maréchal Galliéni que nous suivons. Nous croisons, à l’Est, la rue de Montréal, la rue Antoine Galland, puis la rue Maryse Bastié. À l’Ouest, dans le prolongement de la rue Antoine Galland, se trouve la rue Lucien Nelle, (l n).
Nous Trouvons sur le bord gauche de la carte, à peu près à mi-hauteur, les lettres "l n". Nous sommes sur la rue Lucien Nelle qui vient de l’Ouest, (voir carte 24). En la suivant vers l’Est, nous croisons au sud, la rue Madame de Ségur, (m s). En suivant cette dernière vers le Sud, nous croisons le chemin de Cheux, (c h ), qui vient de l’ Ouest, (voir carte 24). Enfin, sur le bord gauche de la carte, venant de l’Ouest, (voir carte 24), nous avons l’avenue du Parc de Bellevue, (p b), qui rejoint la rue de Bellevue. Plus au Sud, après avoir traversé la voie de chemin de fer, nous trouvons le chemin du clos des Costils lambalard, (c l).
Nous sommes au sud de Caen à cheval sur le quartier Bas-Venoix Prairie au Sud et sur le quartier Saint-Ouen au Nord, (Voir carte D 4-5). La limite entre les deux quartiers est matérialisée par le boulevard Yves Guillou. Une grande partie de la carte est occupée par les zones vertes. Nous sommes ici côté Ouest de la prairie. Nous y trouvons, le Zénith, (z é), à l’Ouest, le Parc des Expositions, (p e), au centre qui s’étend vers l’Est, et dans le coin supérieur droit de la carte, une partie du lycée Malherbe, (l m), qui de fait de son architecture particulière toute en longueur et en courbe, s’étend sur les cartes : 26, 27 et 21. La carte est traversée par deux axes horizontaux, le boulevard Yves Guillou dans le tiers supérieur, et la voie de chemin de fer dans le tiers inférieur divisant ainsi la carte en trois parties. Notons également qu’il existe deux rues Joseph Philippon, l’une déjà présente sur la carte 26 est située dans le coin inférieur gauche, remonte vers le Nord puis longe la voie de chemin de fer ; l’autre, orientée Nord-Sud, longe le Zénith qui est indiqué dans l’annuaire des Télécom au numéro 9.
Il est Constitué uniquement de zones vertes qui s’étendent vers le Sud de Caen.
Les rues de ce côté font suite à la carte 25. Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche. En remontant vers le Nord, nous coupons la rue Joseph Philippon, (j p), la rue du Viaduc de l’Odon, (v o), puis nous traversons la voie de chemin de fer. En longeant les zones vertes, nous parvenons sur le boulevard Yves Guillou, (y g). Nous coupons ensuite le chemin du Beau Site, (b s), et la promenade Napoléon Premier, (n p), qui rejoignent le boulevard Yves Guillou en descendant en direction Sud-Est. Beaucoup plus au Nord, nous trouvons, quasiment dans le coin supérieur gauche, la rue du Plateau Fleuri, (p f), et juste au-dessus la rue de Bretteville, (b r), qui, comme les rues précédentes, viennent de l’Ouest, (voir carte 25).
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte. Nous sommes sur la rue de Bretteville. en la longeant vers l’Est, nous coupons la rue de Maltot, (m a), et nous poursuivons par la rue du Mesnil, (m), qui croise le chemin du Bouleux, (b o), venant du Nord, (voir carte 20), puis en continuant vers l’Est, nous aboutissons sur la rue du Pont Créon, (p c), qui vient du Nord comme la précédente et descend vers le Sud. En continuant à longer le bord supérieur de la carte vers l’Est, nous arrivons sur la rue Saint-Ouen, (s o). La rue Saint-Ouen croise la rue du Pont Créon dans sa descente vers le Sud. Toutes les rues suivantes ne sont pas nommées.
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte et descendons vers le Sud. Nous coupons le boulevard Yves Guillou, (y g). À ce niveau, se trouve la partie Ouest du Lycée Malherbe, (l m). En continuant à longer le bord droit de la carte, nous coupons le boulevard des Baladas, (b a), qui se prolonge vers l’Est, (voir carte 27), puis nous coupons la voie de chemin de fer.
Le boulevard Yves Guillou traverse toute la carte d’Ouest en Est. Vers l’Est de la carte, il remonte progressivement au Nord-Est. Cherchons sur le bord gauche les lettres "y g". Nous sommes sur le boulevard Yves Guillou que nous suivons vers l’Est. Nous croisons le chemin du Beau Site, (b s), la promenade Napoléon Premier, (n p), et la rue de Maltot, (m a), qui viennent du Nord. À ce niveau, arrivant du Sud, débouche la rue du Viaduc de l’Odon, (v o). En continuant sur le boulevard Yves Guillou, nous croisons la rue Philippon qui vient du Sud, (j p). Si nous la suivons, nous trouvons, à l’Ouest, le Zénith, (z é), et à l’Est, le Parc des Expositions, (p e). Ce dernier s’étend jusqu’au boulevard des Baladas à l’Est. En continuant sur le boulevard Yves Guillou, nous croisons, au Nord, la rue du Blanc qui rejoint la rue du Pont Créon, (p c), puis le boulevard des Baladas, (b a), qui vient du Sud-Est. Au Sud du boulevard Yves Guillou, avant de parvenir au boulevard des Baladas, se trouve l’Esplanade Michel Vermughen, (m v). En poursuivant vers l’Est, sur le boulevard Yves Guillou, nous croisons la rue Saint-Ouen, (s o), qui arrive du Nord. Encore plus à l’Est, après la courbe du boulevard Yves Guillou, s’infléchissant vers le Nord-Est, nous croisons, au Sud, le boulevard du Petit Vallerent, (p v), qui rejoint le boulevard des Baladas.
Plaçons-nous sur le bord inférieur gauche de la carte. Nous trouvons la rue Joseph Philippon. Elle remonte vers le Nord-Est, puis longe la voie de chemin de fer et se prolonge à l’Est par le chemin de Venoix, (c v). Au Nord des lettres "j p", nous trouvons la rue du viaduc de l’Odon, (v o). Elle est orientée Sud-Nord. Après avoir passé la voie de chemin de fer, elle rejoint le boulevard Yves Guillou.
Nous sommes au Sud de Caen, à cheval sur quatre quartiers. Au Nord-Ouest, une partie infime du quartier Saint-Ouen, à l’Ouest et au Sud-Ouest, le quartier Bas-Venoix-Prairie et à l’Est, séparé par le boulevard Maréchal Lyautey, le quartier de Vaucelles au Nord et le quartier de la Grâce-de-Dieu au Sud, (voir carte D 5-4-3-19). Toute la partie Ouest est occupée par la prairie, limitée à l’Est par l’Orne qui vient du Sud, (voir carte A et 30). Elle s’oriente Nord-Est et se retrouve sur les cartes 22 et 23. Nous trouvons sur cette carte, la prairie signalée par la lettre P majuscule en noir et en relief. Au centre de la prairie se trouve l’hippodrome. Dans le coin inférieur droit, nous trouvons le cimetière de Vaucelles. Venant de l’Ouest, (voir carte 26), traversant l’Orne, puis remontant vers le Nord-Est, quasi parallèle au fleuve, se trouve la voie de chemin de fer qui se prolonge également à l’Est, (voir cartes 22 et 23). En mai 1964 a été ouvert le viaduc de la Cavée qui enjambe l’Orne et la voie de chemin de fer et la route de Louvigny. Il relie la prairie à la rive droite de l’Orne en s’appuyant sur un plateau escarpé. L’hippodrome est beaucoup plus ancien. Sa création date de 1833. Quant à la prairie elle-même, dont la surface s’est réduite, limitée peu à peu par l’urbanisation de sa partie Nord, elle est mentionnée dès le Xie siècle.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et remontons vers le Nord. Nous longeons la prairie, qui s’étend à l’Ouest jusqu’au boulevard de Petit Vallerent, (voir carte 26). Nous croisons la voie de chemin de fer, puis nous coupons le boulevard des Baladas, (b a), qui arrive de l’Ouest, (voir carte 26). En continuant vers le Nord, nous arrivons sur le boulevard Yves Guillou, (Y g), qui découpe un angle dans le coin supérieur gauche. Il vient de l’Ouest et se prolonge vers le Nord-Est, (voir carte 26-21). Avant de parvenir au boulevard Yves Guillou, en se déplaçant vers l’Est, nous sommes sur la prairie signalée par la lettre P majuscule en noir et en relief. Encore plus à l’Est, encadré d’un trait plus épais, se trouve l’hippodrome qui s’étend au Nord jusqu’au boulevard Yves Guillou, (voir carte 21).
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche et dirigeons nous vers l’Est. Nous coupons l’avenue Albert Sorel, (a s), puis après avoir traversé l’hippodrome, nous coupons le cours Général Koenig, (k g), puis nous traversons l’Orne pour aboutir sur le coin supérieur droit. Le cours Koenig se prolonge sur la carte 28. L’Orne continue sa course vers le Nord-Est puis vers l’Est, (voir cartes 28-22-23).
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte et descendons vers le Sud. Nous coupons la rue de l’Arquette, (A r), la rue Montaigu, (m o), et traversons la voie de chemin de fer. En continuant à descendre le long du bord droit, nous coupons la rue Porte Millet, (m i), puis la rue de Branville, (b r). Beaucoup plus au Sud, nous coupons le boulevard Maréchal Lyautey, (m l). Nous arrivons sur le coin inférieur droit où se trouve le cimetière de Vaucelles qui s’étend à l’Est et au Sud, (voir cartes 28 et 30).
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit. En allant vers l’Ouest, nous sommes dans le cimetière de Vaucelles, puis nous coupons la rue du même nom, (c v a), qui forme la limite Ouest du cimetière. En continuant vers l’Ouest, nous coupons la rue Pierre Curie, (p c), puis la rue Armand Marie, (a m). La rue Pierre curie remonte vers le Nord puis s’oriente vers l’Ouest pour revenir sur la rue Armand Marie. En continuant vers l’Ouest sur le bord inférieur de la carte, nous coupons la rue Louis Robillard, (l r), la rue Pierre Anne, (p a), et nous parvenons à l’avenue d’Harcourt. Excepté la rue Pierre Curie, toutes ces rues aboutissent au Nord sur le boulevard Maréchal Lyautey, (m l). En continuant vers l’Ouest presque arrivés sur le coin inférieur gauche, nous coupons la rue de Louvigny, (l o). Toutes ces rues se prolongent vers le Sud, (voir carte 30).
Deux axes traversent la carte en dessinant chacun une courbe et se croisent en son centre. Il s’agit de la voie de chemin de fer, qui venant de l’Ouest, après avoir enjambé l’Orne, s’oriente peu à peu vers le Nord-Est. L’autre courbe est tracée par l’Orne qui vient du Sud, (voir carte 30), et s’oriente comme la voie de chemin de fer vers le Nord-Est. Elles deviennent peu à peu parallèles, (voir cartes 28-22-23). En enjambant l’Orne, la voie de chemin de Fer et la route de Louvigny, nous trouvons une double courbe formant un S très allongé. Orienté d’abord Ouest-Est, il descend vers le Sud puis s’oriente vers l’Est. L’élément principal est le Viaduc de la Cavée. Nous nommerons cet axe Baladas-Lyautey.
En nous déplaçant sur le bord inférieur de la carte, nous trouvons l’Orne qui remonte vers le Nord. Si nous longeons la rive droite, nous passons sous la voie de chemin de fer, puis sous le viaduc de la Cavée. En continuant le long de cette rive, nous passons sous la passerelle de l’Orne, puis nous longeons la Venelle de l’Orne, (o). Cette dernière est reliée à la rue de l’Arquette par ces deux extrémités. Allons jusqu’à l’extrémité Nord du tracé de l’Orne, puis redescendons par la rive gauche, vers l’amont. Nous sommes sur le cours Koenig, (g k), qui se prolonge vers le Nord-Est, (voir carte 28). En suivant celui-ci vers le Sud, nous arrivons à la passerelle de l’Orne, puis à la route de Louvigny qui descend vers le Sud, en s’écartant peu à peu du fleuve. Le long de la route de Louvigny, se trouve la plantation de peupliers classée en 1944. Nous la retrouverons sur la carte 30. Nous passons sous le Viaduc de la Cavée, sous la voie de chemin de fer pour revenir à notre point de départ sur le bord inférieur de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et remontons vers le Nord. Nous trouvons les lettres "b a". Nous sommes sur le boulevard des Baladas qui vient de l’Ouest, (voir carte 26). En le suivant vers l’Est, nous parvenons sur le chemin du Viaduc de la Cavée, (c a). Nous passons au-dessus de la route de Louvigny puis au-dessus de l’Orne. Le Viaduc s’oriente alors vers le Sud-Est. Nous passons au-dessus de la voie de chemin de fer, qui, rappelons-le, vient elle même de franchir l’Orne sur un pont. Le chemin du Viaduc de la Cavée se prolonge par la promenade Charles Lamusse, (c l), qui, après avoir croisé le chemin des Coteaux à l’Est, (c o), débouche sur le boulevard Lyautey à l’intersection de l’avenue d’Harcourt, (h a), au Sud et de la rue Branville au Nord, (b r). En suivant le boulevard Maréchal Lyautey, (m l), nous croisons, venant du Sud, la rue Pierre Anne, (p a), et la rue Louis Robillard, (l r). Nous arrivons ensuite à l’intersection de la rue Auguste Lechesne, (a l), au Nord et la rue Armand Marie au Sud, (a m). Plus à l’Est, nous croisons la rue du cimetière de Vaucelles, (c v a), puis l’impasse Pascal, (p), qui rejoint la rue Auguste Lechesne plus au Nord. Nous longeons ensuite le cimetière de Vaucelles pour atteindre le bord droit de la carte.
Plaçons-nous sur le bord inférieur de la carte et cherchons les lettres "h a". Nous sommes sur l’avenue d’Harcourt, qui se prolonge vers le Sud, (voir carte 30). En la suivant vers le Nord, nous arrivons sur le boulevard Maréchal Lyautey qui se prolonge vers l’Ouest par la promenade Charles Lamusse, (c l). En suivant celle-ci nous parvenons au débouché du chemin des Coteaux, (c o), qui part vers le Nord. En le suivant, nous croisons, à l’Ouest le chemin de Fleury-sur-Orne que nous empruntons. Il passe sous la voie de chemin de fer et aboutit dans la rue de l’Arquette, (a r). En remontant la rue de l’Arquette, nous croisons à deux reprises la venelle de l’Orne à l’ouest, (o), puis plus loin la rue Montaigu, (m o), à l’Est, pour atteindre le coin supérieur droit de la carte.
Replaçons-nous sur l’avenue d’Harcourt et au lieu d’aller vers l’Ouest, remontons vers le Nord. Nous sommes sur la rue de Branville, (b r). Nous croisons à l’Est la rue Georges Lefrançois, (g), qui fait la liaison avec la rue Armand Marie, puis la rue Ernest Blot, (e b), qui rejoint la rue Auguste Lechesne. En poursuivant vers le Nord, sur la rue de Branville, nous croisons à l’Ouest le chemin des Coteaux, puis la rue de Branville s’oriente Nord-Est. Beaucoup plus loin, nous croisons à l’Est la rue des Carrières de Vaucelles, (c v). Si nous suivons la rue des Carrières de Vaucelles, elle nous permet d’atteindre l’impasse Valentin Haüy orientée Sud-Ouest et un peu plus à l’Est, la rue Barbeux, (b x), qui part vers le Nord-Est, (voir carte 29). En continuant à suivre la rue de Branville, nous croisons l’impasse Montaigu, (m o), puis arrivons sur le coin supérieur droit de la carte.
Nous sommes sur la rive droite de l’Orne que nous apercevons dans le coin supérieur gauche, traversée par le pont Bir Hakeim. Cette carte à cheval sur trois quartiers : le quartier de la Grâce-de-Dieu, le quartier de Vaucelles, le quartier du Port et le quartier Sainte-Thérèse Demi-lune, (voir carte D 3-19-16-17). Le quartier de Vaucelles est situé dans la partie supérieure gauche de la carte. Il est limité par le boulevard Maréchal Lyautey et le boulevard Leroy, au Sud, par la rue de Grentheville et la rue d’Auge à l’Est et au Nord, et par la rue de la Gare qui débouche dans la rue d’Auge venant du Nord, (voir carte 22). Nous trouvons le quartier Sainte-Thérèse Demi-Lune dans la partie droite de la carte, limité par la rue de Grentheville et la rue de Falaise. Dans la partie inférieure gauche de la carte, se trouve le quartier de la Grâce-de-Dieu limité par la rue de Falaise à l’Est et le boulevard Maréchal Lyautey au Nord. Enfin, au Nord, au niveau de la place de la Gare commence le quartier du Port. Au sud de la voie de chemin de fer, à l’angle des rues de Branville, (b r ; voir bord gauche de la carte), de la rue de l’église de Vaucelles, (e), et la venelle Saint-Anne, (s a), nous trouvons l’église Saint-Michel de Vaucelles. Celle-ci est perchée sur une butte. De style roman, elle fut édifiée au Xiie siècle en remplacement d’un sanctuaire dédié à Saint-Michel. Elle fut remaniée au XVIE siècle. Seules la tour et la nef latérale sont d’origine. Le chœur, au chevet plat, est de style gothique et fut édifié au XVe siècle. Dans le coin inférieur gauche, nous trouvons la partie Est du cimetière de Vaucelles. Dans le coin inférieur droit, la Polyclinique du Parc, (p p), juste à côté, à l’Ouest, la partie Nord du jardin Claude Decaen. Arrivant de l’Ouest et allant vers le Nord-Est, la voie de chemin de fer traverse la carte dans sa partie haute, (voir cartes 27 22 23). La carte 28 est structurée par deux axes : l’un, Est-Ouest formé par le boulevard Leroy, (l e), et le boulevard Maréchal Lyautey, (m l), l’autre, Nord-Sud, formé par la rue de Vaucelles, (v a), et la rue de Falaise, (f a). Autour de la place Docteur Henri Buot, se tient le samedi matin, le marché du boulevard Leroy, qui réunit cent-vingt commerçants. Sur la même place, un petit marché réunissant cinq ou six commerçants a lieu le mercredi.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche de la carte et remontons vers le Nord. Nous sommes d’abord dans le cimetière de Vaucelles qui s’étend vers l’Ouest, (voir carte 27). En remontant vers le Nord, sur le bord gauche, nous coupons le boulevard Maréchal Lyautey, (m l), puis la rue Barbeux, (b b). Nous arrivons ensuite au niveau de la rue de Branville, (b r), puis nous coupons la rue du Milieu, (m i), la rue Montaigu, (m o), la rue de l’Arquette, (a r), pour parvenir dans le coin supérieur gauche où se trouve l’Orne. Sur la rive gauche de l’Orne nous trouvons l’extrémité du cours Général Koenig, (g k), qui aboutit au niveau du pont Bir Hakeim.
Revenons sur le coin inférieur gauche et déplaçons-nous sur le bord inférieur de la carte vers l’Est. Nous coupons la rue Marchaud, (m a), puis la rue Eustache Restout, (e r). En continuant, nous coupons la rue Georges Gaillard, (g g), la route d’Ifs, (i f), puis nous arrivons à la rue de Falaise, (f a). Traversons la rue de Falaise et continuons toujours sur le bord inférieur de la carte. Nous coupons la rue des Muguets, (m u), puis la rue du Capitaine Georges Guynemer, (c g), pour aboutir à la rue du Quatrième Régiment d’Artillerie, (r a), puis sur le coin inférieur droit de la carte, où nous trouvons la Polyclinique du Parc, (p p).
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit et remontons vers le Nord sur le bord droit de la carte. Nous retrouvons la rue Capitaine Georges Guynemer, (c g), que nous traversons, puis nous coupons la rue Éliane, (e l). En remontant plus loin vers le Nord, nous coupons le boulevard Leroy, (l e), la rue Alexandre, (a l), la rue de Grentheville,, (g r), la rue Léon Marcotte, (l m), pour aboutir à la rue d’Auge, (a u). Toutes ces rues se prolongent vers l’Est, (voir carte 29).
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche. Nous sommes sur le cours Général Koenig, (g k). En Nous déplaçant sur le bord supérieur de la carte, vers l’Est, nous traversons l’Orne, sur le pont Bir Hakeim, puis nous coupons le quai Eugène Meslin, (q e). Nous coupons ensuite la rue de Vaucelles, (v a), la rue Pierre Girard, puis la rue de la Gare, (g a), qui mène à la place du même nom.
Comme nous l’avons indiqué plus haut, la carte est traversée par un axe Nord-Sud et un axe Ouest-Est.
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche et suivons le bord gauche de la carte vers le Nord. Nous trouvons les lettres "m l". Nous sommes sur le boulevard Maréchal Lyautey, au début de l’axe Ouest-Est. En le suivant vers l’Est, nous longeons d’abord le cimetière de Vaucelles puis nous arrivons sur une intersection formée, au Sud, par la rue Eustache Restout, (e r), au Nord par la rue Porte Millet, (p m). En continuant vers l’Est, nous croisons, venant du Sud la rue de l’Union, (u), qui descend vers le Sud, puis fait un crochet vers l’Ouest pour rejoindre la rue Eustache Restout. Dans l’angle du boulevard Maréchal Lyautey et de la rue Porte Millet, côté Est de cette dernière, se trouve la maison de retraite "Ma maison", tenue par les Petites Sœurs des Pauvres (non indiquée sur la carte). Continuons sur le boulevard Maréchal Lyautey à progresser vers l’Est. Nous croisons l’axe Nord-Sud au niveau de la rue de Falaise, (f a). Ce carrefour est bien connu des Caennais. Il s'agit du Cygne de Croix dont l'orthographe est curieuse. Pourquoi "c y" au lieu de "s i". IL y avait à cet emplacement une croix nommée croix pleureuse. La légende raconte qu'elle fut érigée par Guillaume le conquérant à l'emplacement où il fit souffrir Mathilde. Plusieurs fois détruite, notamment à la révolution, en 1793, Un calvaire y est de nouveau établi en 1816 pour commémorer une mission qui a eu lieu à Caen. Celui-ci est de nouveau abattu par une tempête en 1838. Sa reconstruction donne lieu à des polémiques, certains voulant effacer tout signe religieux. Ceci explique peut-être cette orthographe particulière qui fait référence à l'astronomie, référenc considérée comme plus universelle par les partis en présence. Il est finalement inauguré en 1839. Le 20 juillet 1944, le commandant FFI Léonard gille y hissa les trois couleurs. En poursuivant vers l’Est, nous sommes sur le boulevard Leroy, (l e), et parvenons sur une nouvelle intersection, formée au Sud, par la rue Jean Mermoz, (j m), et au Nord par la rue Edmond Villey Desmeserets, (e v). Sur cette rue se trouve le collège du même nom (v d). Plus à l’Est nous croisons la rue des Colchiques, (non indexée), puis la rue des Fleurs, (f). Dans la rue des Fleurs, donne la rue des Violettes, (v). En continuant sur le boulevard Leroy, venant du Nord, débouche la rue de Canchy, (c a). Puis nous croisons un petit trait qui nous amène au Sud sur la place Henri Buot, (d b). En continuant vers l’Est sur le boulevard Leroy, nous arrivons sur une intersection formée par l’Avenue Albert Premier, (a l b), au Sud, et l’avenue Maréchal Joffre, (m j), au Nord. Nous croisons ensuite, venant du Sud, la rue Gustave Flaubert, (g f), puis venant du Nord, la rue Emmanuel Bénard, (e b), puis arrivant du Sud, la rue du Bel Air, (b a). Nous sommes parvenus sur le bord droit de la carte. Sur l’avenue Albert Premier se trouve la maison de retraite du même nom, (non indiquée sur la carte).
Nous allons maintenant parcourir le grand axe Nord-Sud. Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte et en nous déplaçant vers l’Est, cherchons les lettres "v a". Nous sommes sur la rue de Vaucelles qui arrive du Nord, (voir carte 22). En la suivant vers le Sud, nous croisons à l’Est la rue Pierre Girard, (p g), puis à l’Ouest la rue Saint-Michel, (s m). En continuant la rue de Vaucelles, nous trouvons, venant de l’Est, la rue des Tonneliers, (t), arrivant de l’Ouest la rue de l’Arquette, (a r). Nous sommes alors au niveau de la voie de chemin de fer. Nous passons au-dessous de la voie de chemin de fer. Nous croisons à l’Est la rue d’Auge, (a u), à l’Ouest la rue de l’église de Vaucelles (é). Nous débouchons alors dans la rue de Falaise. Continuons à suivre la rue de Falaise vers le Sud. Nous croisons à l’Ouest la venelle Sainte-Anne, puis parvenons à une intersection formée à l’Ouest par la rue Barbeux, (b b), et à l’Est par la venelle aux champs, (c). En continuant de descendre, beaucoup plus au Sud, nous retrouvons l’intersection avec le grand axe Ouest-Est, boulevard Maréchal Lyautey, boulevard Leroy. Passée cette intersection, nous croisons à l’Ouest la rue des Écureuils, (e c), puis la rue des Frères Boutrois. Nous croisons ensuite à l’Est la rue des Chèvrefeuilles, (c h), pour aboutir au Sud de la carte où nous trouvons les lettres, (f a) pour rue de Falaise. La rue de Falaise se prolonge vers le Sud, (voir cartes 31 et 33).
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte et descendons vers le sud. Nous trouvons les lettres "a u". Nous sommes sur la rue d’Auge que nous suivons vers l’Ouest. Nous croisons, venant du Nord, la rue Roger Bastion, (r), puis arrivant du Sud la rue de Grentheville, (g r). À ce niveau, débouche dans la rue de Grentheville, la rue du Père Robert, (p r). En continuant sur la rue d’Auge, un peu plus à l’Ouest, nous trouvons arrivant du Nord, la rue Jules Oyer, qui rejoint pus au Nord la rue Roger Bastion formant la pointe d’un triangle. En continuant sur la rue d’Auge, nous croisons un petit trait continu qui nous mène au Nord sur la place de la Gare, (g a), puis nous croisons toujours au Nord la rue de la Gare, (g a), puis venant du Sud, la rue de Canchy, (c a), pour aboutir sur la rue de Vaucelles, quasiment au niveau de la voie de chemin de fer. Le tramway passe par la rue de la Gare, par la place de la Gare, puis s’engage dans la rue Roger Bastion. Il coupe ensuite la rue d’Auge pour rejoindre le boulevard Leroy, puis la rue Victor Lépine, (voir carte 29).
Plaçons-nous sur le côté droit de la carte et en partant du haut, cherchons les lettres "l m". Nous sommes à l’extrémité de la rue Léon Marcotte, qui se trouve en grande partie sur la carte 29. En suivant celle-ci vers l’Ouest, nous traversons aussitôt la rue de Grentheville pour aboutir dans la rue du Belvédère, (b). En la suivant, nous croisons venant du Nord l’allée du Rocher, (r o), qui rejoint la rue de Grentheville. En continuant sur la rue du Belvédère, nous croisons au Nord, la rue du Gros Orme, (g), qui fait la liaison avec la rue de Grentheville, puis plus à l’Ouest l’impasse du Belvédère pour déboucher sur la rue de Canchy, que nous descendons vers le Sud pour trouver à l’Ouest la rue du Sentier, (s). En suivant la rue du Sentier, nous aboutissons dans la venelle aux Champs, (c), qui dessine une courbe Sud, puis Ouest. Nous traversons enfin la rue de Falaise et parvenons dans la rue Barbeux, (b b).
En partant du coin inférieur de la carte et en nous déplaçant vers l’Ouest, Cherchons les lettres "c g". Nous sommes sur l’avenue du Capitaine Georges Guynemer qui arrive du Sud, (voir carte 31). En la suivant vers le Nord-Est, nous croisons partant vers le Nord, la rue des Bons Enfants, (b o). En remontant la rue des Bons Enfants vers le Nord, nous croisons, à l’Ouest, la rue des Chèvrefeuilles, (c h), puis la rue des Anémones, (a n), et la rue des Primevères, (p). La rue des Bons Enfants oblique vers l’Est et rejoint la rue Albert Premier, (a l b).
Nous sommes au Sud-Est de Caen, dans le quartier Sainte-Thérèse Demi-lune, (voir carte D 17), à la limite entre Caen et Mondeville, (voir carte A 17). Nous trouvons sur cette carte, le lycée professionnel Victor Lépine, (v l), le cinéma Lux, (l u), et l’église Sainte-Thérèse, à proximité du cinéma installé à sa création dans la salle paroissiale. Plusieurs axes traversent la carte : d’Ouest en Est, l’axe formé par la rue Capitaine Georges Guynemer, (c g), et l’avenue Charlotte Corday, (c c), l’axe formé par le boulevard Leroy, (l e), et l’avenue de Paris, (p a), et l’axe formé par la rue d’Auge, (a u), rue de Trouville, (t r). Un quatrième, un peu plus sinueux, est formé par la rue de Grentheville au Nord-Ouest et se termine par la rue Ernest Manchon, (e m), à l’Est. Nous avons aussi plusieurs axes Nord-sud, l’axe formé par la rue de Formigny, (f o), et l’avenue Sainte-Thérèse, (s t), l’axe formé par la rue de la Seine, (s e), et l’axe formé par la rue de Grentheville et la rue Victor Lépine, (v l), par exemple, qui se prolongent vers le Sud, (voir carte 32). Signalons, au centre de la carte, un peu vers le haut la place de la Demi-Lune, (d l), à laquelle se raccordent plusieurs axes formant une étoile à six branches. Le nom d’un certain nombre de rues est dédié aux fleuves et rivières.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche et descendons vers le sud. Nous coupons la rue d’Auge, (a u), la rue Léon Marcotte, (l m), la rue Grentheville, (g r), et le boulevard Leroy, (l e). En continuant à descendre vers le Sud, nous coupons la rue Alexandre, (a l), la rue Éliane, (e l), puis la rue du Capitaine Georges Guynemer, (c g). Ces trois rues sont reliées entre elles par la rue Eugénie, (e u). Nous parvenons sur le coin inférieur gauche, au niveau du cours des Compagnons de la Libération, (c l).
Plaçons-nous dans le coin inférieur gauche de la carte et déplaçons-nous vers l’Est. Après avoir coupé le cours des compagnons de la Libération, nous coupons la rue Michel Lasne, (m l), qui fait la liaison avec la rue du Capitaine Georges Guynemer au Nord. Le tramway circule sur la rue Michel Lasne. Continuant le long du bord inférieur de la carte, vers l’Est nous coupons la rue Victor Lépine, (v l), l’avenue Sainte-Thérèse (s t), la rue de Seine, (s e), puis le boulevard de Rethel, (r e). En continuant plus à l’Est, nous coupons la rue des Mésanges, (m é), pour aboutir sur le coin inférieur droit.
Partons du coin inférieur droit et remontons vers le Nord. Nous longeons la limite de Caen avec la commune de Mondeville. Nous croisons à l’Ouest l’avenue Charlotte Corday, (c c), puis au Nord la rue Ernest Manchon, (e m). En remontant, nous croisons successivement trois rues qui se réunissent vers l’Ouest pour former une flèche : l’avenue de Paris, (p a), l’avenue de Rouen, (r o), et la route de Trouville, (t r).
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit et dirigeons nous vers l’Ouest. Après avoir coupé la rue du Marais, (m a r), qui vient du Nord, (voir carte 23), Nous croisons la venelle des Prés, (p r), qui débouche au sud, sur la rue du Marais.
Plaçons-nous dans le coin inférieur gauche de la carte et remontons vers le Nord pour chercher les lettres, (c g). Nous sommes sur l’avenue Capitaine Georges Guynemer qui vient de l’Ouest (voir carte 31 et 28). En la suivant vers l’Est, nous croisons, venant du Nord, la rue Eugénie, (e u), la rue Robert Letellier, (r l), puis nous coupons la rue Victor Lépine, (v l). En continuant l’avenue Georges Guynemer, nous arrivons ensuite à un carrefour. Venant du Nord, nous avons la rue Pierre Gringoire, (p g), puis la rue de Formigny, (f o). Venant du sud, débouche sur ce carrefour, l’avenue Sainte-Thérèse et partant vers l’Est, en prolongement de l’avenue du Capitaine Guynemer, la rue Charlotte Corday, (c c), que nous empruntons. Nous croisons, venant du Nord et faisant la liaison avec la rue Ernest Manchon, (e m), la rue de la Seulles, (s), puis arrivant du Sud et faisant la liaison avec l’avenue Sainte-Thérèse, la rue Lucien Sébire, (l s). En continuant à progresser sur l’avenue Charlotte Corday, vers l’Est, nous coupons la rue de la Seine, (s e), la rue de la Marne, puis le boulevard Rethel. Avant de parvenir sur le bord droit de la carte, nous coupons la rue des Mésanges, (m é), puis nous trouvons les lettres "c c", qui indiquent que nous étions bien sur l’avenue Charlotte Corday.
En restant sur le bord droit de la carte, remontons vers le Nord et cherchons les lettres "e m". Nous sommes sur la rue Ernest Manchon. En suivant la rue Ernest Manchon vers l’Ouest, nous croisons la rue des Mésanges puis nous coupons le boulevard Rethel, (r e). En poursuivant, nous croisons, arrivant du Sud, la rue des Fauvettes, (f), et la rue de la Marne, (m a). La rue des fauvettes, qui part de la rue Ernest manchon, rejoint la rue de la Marne plus au Sud. D’autre part, la rue Edmond Boca, (e), fait la liaison entre la rue des Mésange, le boulevard de Rethel et la rue des Fauvettes en traçant une parallèle au sud de la rue Ernest Manchon. En continuant à progresser vers l’Ouest, sur la rue Ernest Manchon, nous coupons la rue de la Seine (s e), puis venant du Sud, la rue de la Seulles, (s). En continuant, toujours vers l’Ouest, nous coupons la rue de Formigny, (f o), la rue Pierre Gringoire, (p g), puis nous obliquons légèrement vers le Sud, pour aboutir à la rue Victor Lépine, (v l).
Plaçons-nous sur le bord gauche de la carte et cherchons les lettres "l e". Nous sommes sur le boulevard Leroy qui vient de l’Ouest, (voir carte 28). Ce boulevard, fut aménagé au XVIIIe Siècle pour la venue de Louis XVI à Caen, d’où son nom. Suivons-le vers l’Est. Nous arrivons à l’intersection entre la rue Victor Lépine qui vient du Sud, et la rue de Grentheville, (g r), qui vient du Nord. Plus à l’Est, nous croisons, venant du Sud, la rue Pierre Gringoire et nous parvenons à la place de la Demi-Lune, (d l). Plusieurs axes rayonnent de la place. Arrivant au niveau du boulevard Leroy, et venant du Sud, nous croisons la rue de Formigny, (f o). En traversant la place, côté sud, nous arrivons sur l’avenue de Paris, (p a), qui est orientée vers Est Sud-Est. En la suivant, nous croisons arrivant du Sud, la rue de la Seine, (s e). Plus au sud, la rue de la Dives, (d), relie la rue de la Seine avec la rue de Formigny, (f o). En continuant sur l’avenue de Paris, nous arrivons sur une intersection formée, au Sud par la rue de la Marne, (m a), et au Nord par le boulevard Barthou, (b a), puis nous parvenons à l’extrémité de l’avenue de Paris marquée par les lettres "p a".
Plaçons-nous dans le coin supérieur gauche. En descendant vers le sud, le long du bord gauche de la carte, nous trouvons les lettres "a u". Nous sommes sur la rue d’Auge, qui vient de l’Ouest, (voir carte 28). Nous la suivons vers l’Est. Nous retrouvons le tram qui, venant de la rue Roger Bastion, coupe la rue d’Auge pour rejoindre la rue Victor Lépine au carrefour du boulevard Leroy, (voir carte 28 rue Bastion et rue d’Auge). Le tracé du tramway n’est pas représenté. Au 191 de la rue d’Auge, tout près de la place de la Demi-Lune, (d l), se trouve le collège privé du Sacré Chœur, (s c). Nous croisons venant du Nord-Est, la rue du Marais, (m a r), puis la rue Sainte-Paix, (p), qui relie la rue d’Auge à la rue du Marais. En continuant sur la rue d’Auge, nous parvenons place de la Demi-Lune, (d l), que nous traversons. Nous empruntons ensuite la rue de Trouville, (t r), orientée légèrement Nord-Est, qui forme la branche supérieure de la pointe de la flèche dont les branches inférieures sont constituées par l’avenue de Rouen, (r o), et l’Avenue de Paris, (p a). Plus à l’est, sur la route de Trouville, nous croisons, venant du Sud la rue Edmond Rostand et nous parvenons dans le coin supérieur droit.
Plaçons-nous sur le bord gauche de la carte, et cherchons les lettres "g r", nous sommes sur la rue de Grentheville que nous parcourons en descendant vers le Sud. Nous coupons le boulevard Leroy, (l e), puis nous pénétrons dans la rue Victor Lépine, (v l). Ici, nous retrouvons le tramway. En continuant à descendre vers le Sud par la rue Victor Lépine, nous croisons, arrivant du Sud-Ouest, la rue Eugénie, (e u), puis de l’Est, la rue Ernest Manchon, (e m). En poursuivant, sur la rue Victor Lépine qui s’infléchit légèrement vers l’Est, nous croisons, venant du Sud-Ouest la rue Robert Letellier, (r l), quasiment parallèle à la rue Eugénie. Nous croisons ensuite, venant de l’Est, la rue de la Vire, (v), puis la rue de la Touques, (t). Nous longeons le lycée Professionnel Victor Lépine, (v l), puis nous coupons l’avenue du Capitaine Georges Guynemer, (c g). Le tramway quitte la rue Victor Lépine pour s’engager dans l’avenue du Capitaine Guynemer. En continuant, rue Victor Lépine, nous croisons à l’Ouest, la rue du Chanoine Vautier, (c), puis la rue Maurice Arrot, (m), pour aboutir sur le bord inférieur de la carte, sur les lettres "v l". Le long de la rue du Chanoine Vautier, à l’Ouest nous trouvons une rue à deux entrées, la rue Louis Renouf, (l).
Plaçons-nous sur le bord inférieur de la carte et cherchons les lettres "s t". Nous sommes sur l’avenue Sainte-Thérèse qui arrive du Sud, (voir carte 32). En la remontant vers le Nord-Ouest, nous croisons, arrivant du Nord la rue Lucien Sébire, (l s), puis nous longeons à l’Ouest l’église Sainte-Thérèse puis le cinéma Lux, (l u), pour arriver à un croisement formé de cinq rues. La rue Sainte-Thérèse, d’où nous venons. Débouchant de l’Ouest, l’avenue du Capitaine Georges Guynemer, à l’Est l’avenue Charlotte Corday, et au Nord, les rues Pierre Gringoire et la rue de Formigny. Empruntons la rue de Formigny, et remontons vers le Nord. Nous traversons la rue Ernest Manchon, (e m), puis nous croisons, venant de l’Est la rue de la Dives, (d), pour aboutir sur la place de la Demi-Lune, (d l), au niveau du boulevard Leroy.
Replaçons nous sur le bord inférieur de la carte et cherchons les lettres "s e". Nous sommes surla rue de la Seine qui vient du sud, (voir carte 32). En la remontant vers le Nord, nous traversons l’avenue Charlotte Corday, (c c), puis la rue Ernest Manchon, (e m). En continuant vers le Nord, nous croisons, venant de l’Ouest la rue de la Dives, (d), pour aboutir sur l’avenue de Paris, (p a).
Nous nous situons à l’endroit où l’Orne pénètre dans Caen, venant du Sud. Une grande partie de la carte est constituée de la limite communale de Caen avec les communes de Fleury-sur-Orne et Louvigny, (voir carte A 12-13). La plus grande surface de la carte, est consacrée au quartier de la Grâce-de-Dieu. Dans le coin supérieur gauche, nous trouvons une petite partie du quartier Bas-Venoix Prairie, qui est limité à l’Est par l’Orne. Entre l’Orne et l’avenue d’Harcourt, se trouve l’extrémité Sud du quartier de Vaucelles, (voir cartes 19-4-3). Nous trouvons, dans la partie inférieure de la carte, le collège Marcel Pagnol, (m p). Dans le coin supérieur droit se trouve la partie Sud du cimetière de Vaucelles. Dans la partie inférieure droite, nous avons, l’église Notre-Dame-de-la-Grâce-de-Dieu et l’Espace André Malraux. L’église fait partie du programme de reconstruction du quartier de la Grâce-de-Dieu, entrepris dans les années 60. Elle est édifiée en 1964. La nef circulaire, percée de vitraux multicolores s’appuie sur une base carrée, ce qui a fait dire à certains qu’il s’agissait d’un Pont-L’Évêque surmonté d’un Camembert. Sur la mlace du Commerce, se tient le mardi matin, le marché de la Grâce de Dieu, (environ Trente-cinq commerçants).
Il est formé principalement par la limite communale de Caen avec les communes de Louvigny et Fleury-sur-Orne. Plaçons-nous dans le coin supérieur gauche. En le suivant, nous coupons la route de Louvigny (l o), puis nous longeons une zone verte. Le long de la route de Louvigny, se trouve le prolongement de la plantation de peupliers déjà signalée sur la carte 27. Nous arrivons sur le trait représentant la limite de Caen. Nous sommes à la limite de la commune de Louvigny. En suivant ce trait, nous arrivons à l’Orne que nous traversons pour nous retrouver sur la rive droite. Nous sommes maintenant à la limite de la commune de Fleury-sur-Orne. En la suivant, nous parvenons à l’avenue d’Harcourt, (h a), qui traverse toute la carte du Nord au Sud longeant la commune de Fleury-sur-Orne sur son côté Est.
Le côté Sud est lui aussi formé par la limite communale. Cherchons les lettres, "h a", et déplaçons-nous vers l’Est. Nous arrivons à l’avenue Général Laperrine, (g l), qui fait partie de la limite communale et nous arrivons sur le coin inférieur droit.
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit et remontons vers le Nord. Nous croisons la rue de la Pomme d’Or, (p o), puis l’avenue Père Charles de Foucault, (c f), qui se prolonge à l’Est, (voir carte 31). Nous coupons plus haut les rues Armand Marie, (a m), puis Eustache Restout, (e r). En continuant à remonter le long du bord droit, vers le Nord, nous coupons la rue des Capucines, (c a), la rue des mimosas, (m i), la rue Louis Lechatellier, (l l), puis la rue Marchaud, (m a).
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit de la carte et déplaçons-nous vers l’Ouest. Nous traversons le cimetière de Vaucelles, puis nous coupons la rue du même nom, (c v a). En continuant à longer le bord supérieur de la carte vers l’Ouest, nous coupons successivement les rues Pierre curie, (p c), Armand Marie, (a m), Pierre Anne, (p a), Louis Robillard, (l r), et l’avenue d’Harcourt (h a). Toutes ces rues viennent du Nord, (voir carte 27).
Plaçons-nous sur le bord supérieur de la carte et cherchons les lettres "h a". Nous sommes sur l’avenue d’Harcourt. En la descendant vers le Sud, nous allons trouver une série de rues venant de l’Est. À l’Ouest, nous sommes sur la commune de Fleury-sur-Orne. Nous croisons la rue Persillet, (p e), puis la rue d’Armor, (non indexée), et la rue du Bissonnet, (b i). Plus au Sud Nous croisons l’avenue Père Charles de Foucault, (c f).
Plaçons-nous sur le bord supérieur de la carte et cherchons les lettres "l r". Nous sommes sur la rue Louis Robillard que nous suivons vers le Sud. Nous croisons venant de l’Est la rue du Commandant Charcot, (non indexée), et presque aussitôt, à l’Ouest, la rue Pierre Anne, (p a). En continuant, nous croisons à l’Est la rue Daniel Danjon, (d d), puis à l’Ouest la rue Persillet, (p e). Nous croisons ensuite la rue Louis Lechatellier, (l l), qui vient de l’Est. Plus bas, nous croisons à l’Ouest les rues d’Armor et du Finistère, (non indexées). Nous parvenons ensuite à une intersection formée, à l’Ouest, par la rue du Bissonnet, (b i), et à l’Est, par la rue Roger Dechambre, (r d). Au Nord de la rue Roger Dechambre, se trouve le complexe sportif Louis Robillard, (l r). La rue Roger Dechambre se prolonge par la rue Louis Savare (l s), qui fait un angle droit pour rejoindre la rue Louis Lechatellier, (l l). En descendant toujours le long de la rue Louis Robillard, nous croisons à l’Est, la rue Sir Alexander Fleming, (f), puis nous arrivons à une autre intersection formée par la rue Armand Bence, (a b), à l’Ouest, et par la rue Saint- André, (s), à l’Est. Nous parvenons ensuite sur l’Avenue du Père Charles de Foucauld, (c f).
Plaçons-nous sur le bord droit de la carte et cherchons les lettres "c f". Nous sommes sur l’avenue Père Charles de Foucauld qui se prolonge vers l’Est, (voir carte 31). Déplaçons-nous vers l’Ouest. Nous croisons venant du Sud l’avenue Docteur Maurice Collin, (d m). Si nous suivons la rue Maurice Collin vers le Sud, nous croisons, venant de l’Est la rue de la Pomme d’Or, (p o), puis arrivant de l’Ouest la rue d’Étavaux, (e). Débouchant sur la rue d’Étavaux, nous trouvons venant du Nord, et dessinant un angle droit, la rue des Marchands, (m). Revenons sur la rue Père Charles de Foucauld et poursuivons vers l’Ouest. Nous croisons au Sud la place du Commerce, (c o). Au Nord, nous avons l’esplanade André Malraux avec d’un côté l’église Notre-Dame-de-la-Grâce-de-Dieu et de l’autre, le long de la rue Albert Einstein, (a e), l’espace André Malraux, (e m), qui abrite le centre de rencontre de la Grâce-de-Dieu avec la Bibliothèque et la MJC. Nous croisons ensuite la rue Général Laperrine, (g l), venant du Sud, qui longe le collège Marcel Pagnol, (m p). Nous croisons plus loin, venant du Nord, la rue Louis Robillard, (l r), puis nous aboutissons sur l’avenue d’Harcourt.
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit de la carte, et en remontant cherchons les lettres "a m". Nous sommes sur la rue Armand Marie que nous suivons vers le Nord. Nous croisons, venant de l’Est la rue Eustache Restout, (e r), puis arrivant de l’Ouest la rue Albert Einstein, (a e). À ce niveau, se trouve l’espace Malraux, (e m). En continuant, nous avons à l’Ouest la place Lavoisier, (l a), puis nous arrivons sur une intersection formée, à l’Ouest par la rue Sir Alexandre Fleming, (f), et à l’Est par la rue des Capucines, (c a). En progressant vers le Nord nous traversons successivement la rue des Mimosas, (m i), la rue Louis Lechatellier, (l l), puis la rue Daniel Danjon, (d d). Nous croisons ensuite, venant de l’Ouest la rue Pierre curie, (p c). Nous sommes sur le coin supérieur droit de la carte où se trouve la partie Sud du Cimetière de Vaucelles, encadrée par la rue du cimetière de Vaucelles, (c v a), à l’Ouest et la rue Marchaud, (m a), à l’Est.
Plaçons-nous sur le bord droit de la carte et cherchons les lettres (c a). Nous somme sur la rue des Capucines. En la suivant vers l’Ouest, nous coupons la rue Armand Marie et nous nous retrouvons dans la rue Alexandre Fleming, (f). Nous longeons au Sud, la place Lavoisier, (l a), puis nous croisons la rue Paul Langevin, (p), puis la rue Sainte-Cécile (s c). Ces deux rues rejoignent, au Sud, la rue Albert Einstein, (a e). En poursuivant vers l’Ouest, sur la rue Alexander Fleming, nous croisons la rue Michel Crepeau, (c c) puis la rue du Capitaine Foucher, (c). Ces deux rues rejoignent, au Sud, la rue Saint-André (s a). En poursuivant la rue Alexander Fleming, nous aboutissons dans la rue Louis Robillard. En remontant la rue Robillard vers le Nord, nous arrivons à l’intersection, formée à l’Est, par la rue Roger Dechambre, (r d), et par la rue du Bissonnet (b i), allant vers l’Ouest. En suivant la rue du Bissonnet. Nous croisons, partant vers le Nord, la rue du Docteur Roux, puis nous aboutissons sur l’avenue d’Harcourt, (h a), sur la limite communale.
Nous sommes dans le Sud de Caen à Cheval sur trois quartiers : le quartier de la-Grâce-de-Dieu, situé à l’Ouest de la rue de Falaise, (f a), Le quartier Sainte-Thérèse Demi-Lune, situé à l’Est de la rue de Falaise et limité, au Sud, par le boulevard Raymond Poincaré, (r p), la rue des Bouviers, (b), et faisant la liaison entre eux, la rue de la Guérinière, (g u). Enfin, le quartier de la Guérinière, qui occupe tout le quart inférieur droit de la carte, (voir carte D 18-17-19). Toute la partie inférieure de la carte est occupée par la commune d’Ifs, qui découpe un grand triangle, dont la pointe est tournée vers le haut. Nous trouvons sur cette carte deux lycées, le lycée Augustin Fresnel, (f r), et le Lycée Jean Rostand, (j r), situés dans le quartier de la Grâce-de-Dieu. Ils sont séparés par l’avenue Père Charles de Foucauld, (c f), par laquelle passe la ligne B du tramway qui vient du boulevard Poincaré. Nous trouvons la piscine de la Grâce-de-Dieu, située au Sud-Ouest, (coin inférieur gauche de la carte), et le jardin Claude Decaen, au Nord-Est, (coin supérieur droit), dans le quartier Sainte-Thérèse Demi-Lune. Ce jardin, terrain militaire jusqu’en 1985 abritait la caserne Claude Decaen dont la plupart des bâtiments ont été détruits durant la seconde Guerre Mondiale. Le seul bâtiment restant est le poste de commandement, attribué par certains spécialistes à Gustave Eiffel. Outre des aménagements de loisir, le jardin abrite depuis 2013, le pôle de vie rive droite. En mars 2012 a été inauguré un mémorial à la mémoire des 424 soldats du département du Calvados morts lors de conflits s’étant déroulés après 1945. Dans le quartier de la Guérinière, nous trouvons le château d’eau, symbole de la reconstruction de Caen des années 50. Sa construction entreprise par l’ingénieur René Sarger, sous la direction de l’architecte Guillaume Gillet, s’étale de 1955 à 1957. Il est mis en service en 1958 et alimente en eau les quartiers de la Grâce-de-Dieu, de la Guérinière et de Vaucelles, (voir carte 18 19 3). L’édifice est posé sur une plate-forme en forme d’ellipse qui était prévue pour y installer un centre administratif et héberger un marché couvert. Aujourd’hui, la base du bâtiment abrite le bureau de poste du quartier et un garage. Il est classé aux monuments Historique en 2011.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche et descendons vers le Sud. Nous coupons la rue Marchaud, (m a), puis la rue Louis Lechatellier, (l l). En continuant à descendre le long du bord gauche de la carte, nous coupons la rue des Mimosas, (m i), la rue des Capucines, (c a), puis la rue Eustache Restout, (e r). Plus au Sud, nous coupons la rue Armand Marie, (a m), puis l’avenue Charles de Foucauld, (c f). Nous parvenons enfin à la limite de Caen, dans le coin inférieur gauche. Toutes ces rues se prolongent vers l’Ouest (voir carte 30).
Plaçons-nous sur le coin inférieur gauche et déplaçons-nous vers l’Est. Jusqu’au niveau de la rue de Falaise, (f a, Nous sommes sur la commune d’Ifs). Après avoir coupé la rue de Falaise, qui marque la limite avec la commune d’Ifs, nous croisons la rue Jean Jaurès, (j j),et nous parvenons sur le coin inférieur droit de la carte.
Plaçons-nous sur le coin inférieur droit et remontons vers le Nord. Nous coupons la rue Jean Jaurès, (j j), la rue de la Bienfaisance, (b i), la rue de la Justice, (j u), et le boulevard de l’Espérance, (e s). En continuant vers le Nord, nous coupons la route de la Guérinière, (g u), le boulevard Raymond Poincaré, (r p), et la rue des Compagnons de la Libération, (c l). Toutes ces rues se prolongent vers l’Est, (voir carte 32).
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit et déplaçons-nous vers l’Ouest. Après avoir coupé la rue des Compagnons de la Libération, (c l), nous coupons la rue du 43ème Régiment d’Artillerie, (r a), nous traversons le jardin Claude Decaen puis nous coupons l’avenue du Capitaine Georges Guynemer, (c g). En continuant vers l’Ouest, nous coupons la rue des Muguets, (m u), la rue de Falaise, (f a), puis la rue d’Ifs, (i f). En poursuivant notre chemin, toujours vers l’Ouest, nous coupons la rue Georges Gaillard, (g g), la rue Eustache Restout, (e r), puis nous parvenons sur le coin supérieur gauche, à la hauteur de la rue des Compagnons de la Libération, (c l). Toutes les rues que nous avons coupées, se prolongent vers le Nord, (voir carte 28).
L’axe principal est formé par la rue de Falaise, (f a), qui traverse la carte du Nord au Sud formant, sur une partie de son parcours la limite entre Caen et Ifs. Il s’agit d’un des axes de pénétration dans Caen par le Sud. Nous avons également une diagonale Ouest-Est formée par l’avenue Père Charles de Foucauld prolongée par le boulevard de l’Aviation, puis le boulevard Raymond Poincaré, (r p).
Plaçons-nous sur le bord inférieur de la carte et cherchons les lettres "f a". Nous sommes sur la rue de Falaise, qui vient du Sud, (voir carte 33). Dans sa première partie, elle longe la commune ’Ifs à l’Ouest. En la remontant vers le Nord, nous croisons le boulevard de l’Espérance, (e s), puis la rue des Bouviers, (b). Nous arrivons dans la partie de la rue de Falaise formant la limite entre Grâce-de-Dieu et Sainte-Thérèse Demi-Lune. En continuant vers le Nord, nous parvenons à la hauteur de l’intersection formée par le boulevard de l’Aviation, (a v), à l’Ouest, et le boulevard Poincaré à l’Est, (r p). Puis, nous croisons venant de l’Ouest, la rue Rouget de l’Isle, venant de l’Est, une rue sans nom, et après avoir croisé à l’Ouest la rue Faraday, (f),nous arrivons à hauteur de deux rues, qui venant de l’Est aboutissent au même niveau dans la rue de Falaise : la rue de Cormelles, (c o),orientée Sud-Est et l’avenue du Capitaine Georges Guynemer, (c g), qui s’en va vers l’Est. Nous parvenons sur le bord supérieur de la carte où nous retrouvons les lettres "f a".
Plaçons-nous sur le bord gauche de la carte et cherchons les lettres "c f". Nous sommes sur l’avenue Père Charles de Foucauld qui se prolonge vers l’Ouest, (voir carte 31). En la suivant vers l’Est, nous croisons, venant du Nord la rue Armand Marie, (a m), puis plus loin la route d’Ifs, (i f). Avant de parvenir à cette dernière, nous avons au Nord de l’avenue Père Charles de Foucauld le lycée Augustin Fresnel, (f r), et au Sud, le lycée Jean Rostand, (j r). Après avoir croisé la route d’Ifs, nous entrons dans le boulevard de l’Aviation, (a v), nous traversons la rue de Falaise pour entrer sur le boulevard Poincaré, (r p). En continuant sur le boulevard Poincaré, nous coupons la rue Beau Soleil, (b s), puis nous arrivons sur une intersection formée, au Nord par la rue Guillaume Trébutien, (g t), et au Sud par la route de la Guérinière, (g u). Nous croisons ensuite, venant du Nord et rejoignant le jardin Claude Decaen, la rue des Anciens d’Indochine, (a i), puis, avant de se retrouver sur le bord droit de la carte, sur les lettres, (r p), nous croisons la rue du 34ème Régiment d’Artillerie qui vient du Nord et longe le jardin Claude Decaen, (a r). Cet axe, qui travers la carte d’Ouest en Est, est parcouru sur toute sa longueur par la ligne B du Tramway.
Plaçons-nous sur le bord droit et cherchons les lettres (g u). Nous sommes sur la route de la Guérinière, qui vient du Sud-Est, (voir cartes 32 33). En remontant la route de la Guérinière vers le Nord-Ouest, nous croisons d’abord la rue du Château d’eau, (c). Juste dans l’angle formé par les deux rues, nous trouvons le Château d’Eau, évoqué dans l’introduction. En continuant à suivre la route de la Guérinière, nous croisons à l’Ouest la MJC de la Guérinière, (m j), puis la rue des Bouviers, (b). Faisant la liaison entre la rue du Château d’eau et la rue des Bouviers, la rue Jean le Hir, (j). Signalons, à l’Ouest de la rue Jean le Hir, la place Jean Nouzille, (j n), où se trouvent un grand nombre de services administratifs. En continuant à progresser le long de la route de la Guérinière, vers le Nord-Ouest, nous traversons le boulevard Poincaré et nous parvenons à la croisée de deux rues. En continuant vers le Nord-Ouest, nous suivons la rue de Cormelles, (c o), qui nous amène au croisement de la rue de Falaise et de l’avenue du Capitaine Georges Guynemer. En prenant la direction du Nord, nous empruntons la rue Guillaume Trébutien, (g t), nous croisons la rue du Lieutenant Chaperon, (l), qui vient de l’Est, puis nous rejoignons la rue du Capitaine Georges Guynemer, (c g).
Plaçons-nous sur le bord gauche de la carte et cherchons les lettres "e r". Nous sommes sur la rue Eustache Restout, qui arrive de l’Ouest, (voir carte 31). D’abord orientée vers l’Est, elle dessine une courbe et s’oriente vers le Nord. En la suivant, nous croisons d’abord, venant du Nord, la rue des Pensées, (p e), puis nous arrivons à l’intersection entre la rue des Capucines, (c a), à l’Ouest et la rue des Jonquilles, (j o), à l’Est. En continuant à remonter la rue Eustache Restout vers le Nord, nous croisons, venant de l’Ouest, la rue des Mimosas, (m i), puis nous parvenons à une nouvelle intersection formée par la rue des Tulipes, (t), arrivant de l’Ouest, et de la rue du Chanoine Delamazure, (c d), qui vient de l’Est. Débouchant sur la rue des Tulipes, nous trouvons une rue à double entrée : la rue du Paradis, (p). En poursuivant vers le Nord, sur la rue Eustache Restout, nous croisons à l’Est, la rue des Prémontrés, (p r), puis nous parvenons à l’intersection formée par la rue Louis Lechatellier, (l l), à l’Ouest et la rue Georges Gaillard, (g g), qui arrive de l’Est.
Ces trois rues n’étant pas sur un des axes principaux, il faut d’abord passer par l’un d’eux pour y accéder. Plaçons-nous sur le bord gauche de la carte et retrouvons le boulevard Charles de Foucauld, (c f). En le suivant vers l’Est, nous arrivons à la hauteur de la route d’Ifs, que nous remontons vers le Nord. Nous croisons, à l’Est la rue Rouget de l’Isle, (r), puis, plus au Nord, la rue Faraday, (f), qui fait la liaison avec la rue de Falaise, (f a). En empruntant la rue Faraday, nous arrivons sur une intersection formée au Nord, par la rue Jeanne d’Arc, (j a), et au Sud par la rue Ampère, (a m p). La rue Ampère rejoint la rue Rouget de l’Isle.
Nous sommes au Sud de Caen à la limite communale avec Cormelles-le-Royal, (voir carte A 16). Au Nord de la carte, nous sommes sur le quartier Sainte-Thérèse Demi-Lune dont la limite est formée par le Boulevard Raymond Poincaré, (r p), et le chemin aux Bœufs, (b o). Au sud de cette limite, nous sommes dans le quartier de la Guérinière qui occupe la partie Ouest de la carte, (voir cartes D 17-19). La partie Est est occupée par la commune de Cormelles-le-Royal. La ligne A du Tramway traverse la carte en empruntant l’avenue de la Concorde, (c o), la place de la Liberté, (l b), la rue Flandres Dunkerque, (f d), la rue de la Lisière, (l i), puis emprunte une voie réservée pour rejoindre le boulevard Raymond Poincaré à l’Ouest de la rue Michel Lasne, (m l). La ligne B arrive de l’Ouest sur le boulevard Poincaré, parvient au point de jonction. Le trajet commun s’engage alors sur la rue Michel Lasne, (m l), qui part vers le Nord. Le marché de la Guérinière se tient place de Liberté, le jeudi matin. Il rassemble soixante-cinq commerçants environ.
Plaçons-nous sur le coin supérieur gauche de la carte et descendons vers le sud. Nous coupons la rue des Compagnons de la Libération, (c l), qui vient du Sud-Ouest et se prolonge au Nord-Est, (voir cartes 31-32-29). En continuant à descendre vers le Sud, nous coupons le boulevard Raymond Poincaré, (r p), puis la route de la Guérinière, (g u), Le boulevard de l’Espérance, (e s), la rue de la Justice, (j u), la rue de la Bienfaisance, (b i), la rue Jean Jaurès, (j j), puis dans le coin inférieur gauche, la rue Albert de Mun, (a m).
Continuons en nous plaçant sur le coin inférieur gauche de la carte, en allant vers l’Est. Après avoir coupé la rue Albert de Mun, (a m), nous coupons la rue de la Concorde, (c o n), la rue de Genève, (g e), puis la route de la Guérinière, (g u), qui se prolongent toutes trois vers le Sud, (voir carte 33).
Nous sommes à la limite de Cormelles-le-Royal formée en partie par la route de la Guérinière que nous remontons vers le Nord-Ouest. La limite de la commune s’oriente alors Nord-Est et nous amène sur la rue des Coudriers, (c o), qui croise, à l’Ouest la rue des Anciens d’Afrique, (a a), puis se prolonge par la rue de la Lisière, (l i), qui, elle aussi, forme la limite entre les deux communes. Nous trouvons à la jonction de la rue des Coudriers et de la rue de la Lisière, la rue de Flandres Dunkerque, (f d), qui rejoint à l’Ouest la place de la Liberté, (l i). À l’extrémité de la rue de la Lisière, (l i), la limite entre les deux commune change à nouveau d’orientation pour remonter vers le Nord, puis le Nord-Est. Nous sommes alors sur le chemin des Bœufs, (b o), qui nous amène sur le coin supérieur droit de la carte. En suivant le chemin aux Boeufs d’Ouest en Est, nous croisons successivement la rue Michel Lasne, (m l), la rue Victor Lépine, (v l), l’avenue Sainte-Thérèse, (s t), la rue de la Marne, (m a), l’allée Lapèrouse, (l a), et la rue des Mésanges, (m é).
En partant du coin supérieur droit de la carte et en longeant le bord supérieur vers l’Ouest, nous coupons la rue des Mésanges, (m é), puis nous croisons l’allée Lapèrouse, (l a). En continuant, nous coupons la rue de la Marne, (m a), le boulevard de Rethel, la rue de la Seine, l’avenue Sainte-Thérèse, puis la rue Victor Lépine, (v l). En continuant plus à l’Ouest, nous croisons la rue Michel Lasne, puis la rue des Compagnons de la Libération, (c l). Toutes ces rues se prolongent vers le Nord, (voir carte 29). Faisant la liaison entre la rue Victor Lépine et la rue Michel Lasne, nous trouvons la rue Georges Auguste, (g a).
Plaçons-nous sur le bord gauche de la carte et cherchons les lettres "r p". Nous sommes sur le boulevard Raymond Poincaré que nous suivons vers l’Est. Nous coupons la rue Michel Lasne, (m l), la rue Victor Lépine, (v l), puis après avoir traversé l’avenue Sainte-Thérèse, (s t), nous aboutissons sur le boulevard de Rethel, (r e).
Plaçons-nous sur le bord gauche de la carte et cherchons les lettres, (g u). Nous sommes sur la route de la Guérinière que nous suivons vers le Sud-Est. Nous croisons, venant du nord la rue des Cormorans, (c o), qui forme une sorte de fourchette dont les deux dents sont en impasse. Puis nous longeons, au Sud, deux places qui s’imbriquent l’une dans l’autre, la place de la Justice, (j c), et la place de la Liberté, (l i). Le boulevard de l’Espérance, (e s), et la rue de la Justice débouchent sur la place de la Justice. Venant du Nord, la rue Flandres Dunkerque, (f d), débouche sur la route de la Guérinière au niveau de la place de la Liberté. La route de la Guérinière croise ensuite à l’Ouest, la rue Alphonse Lamartine, (l), puis à l’Est la rue des Anciens d’Afrique du Nord, (a a), qui fait la liaison avec la rue de la Lisière, (l i). Nous croisons ensuite, venant de l’Ouest la rue Henry Dunant, (h). La rue Louis Braille, (l b), plus au Sud, relie la rue Henry Dunant et la rue Alphonse Lamartine, formant un rectangle avec la route de la Guérinière plus au Nord.
Nous sommes à la pointe extrême Sud de Caen dans le quartier de la Guérinière, (voir carte D 19). Le quartier est encadré par les communes d’Ifs à l’Ouest et Cormelles-le-Royal à l’Est, (voir carte A 15-16). Dans ce quartier se trouve l’entrée dans Caen de la ligne A du tramway qui vient de la commune d’Ifs. Le tramway, entre par le boulevard de la Charité, puis emprunte l’avenue de la Concorde. Nous trouvons sur cette carte, l’église du Sacré-Cœur-de-la-Guérinière édifiée en 1960 dont l’architecture est l’oeuvre de Guy Piton et Louis Rême. Elle est résolument moderne rompant avec les formes classiques. Le plan au sol est en forme de sablier et la charpente de recouvrement est une structure tridimensionnelle métallique, cas unique en Basse-Normandie. Elle est conçue par Guy Piton pour s’intégrer dans les immeubles de grands ensembles qui l’environnent. Nous y trouvons également le centre de personnes âgées de la Charité.
Nous pourrions le nommer côté Ifs. Il est formé par la rue de Falaise, (f a). En se plaçant sur le coin supérieur gauche et en allant vers l’Est, nous trouvons les lettres, (f a). Nous sommes sur la rue de Falaise qui se prolonge vers le Nord, (voir carte 32). En la suivant vers le Sud, nous croisons à l’Est le Boulevard de la Charité, (c h), puis nous parvenons à la pointe Extrême-Sud de Caen.
Plaçons-nous sur la pointe du triangle. Nous trouvons les lettres "f a" qui marquent l’extrémité Sud de la rue de Falaise. Remontons vers le Nord-Est. Nous longeons la limite de Caen avec Cormelles-le-Royal et arrivons à la rue de la Guérinière, (g u).
Plaçons-nous sur le coin supérieur droit et allons en direction de l’Ouest. Nous coupons la rue de la Guérinière, (g u), puis la rue de Genève, (g e), la rue de la Concorde, (c o n), puis la rue Albert de Mun, (a m), toutes venant du Nord, (voir carte 32). Entre la rue de Genève et la rue de la Concorde, à la hauteur de la rue Jean Gutenberg, (non tracée), se trouve l’église du Sacré-Cœur-de-la-Guérinière.
En partant de la pointe Sud et en remontant vers le Nord, nous croisons le boulevard de la Charité. Suivons-le vers l’Est. Nous croisons, venant du Nord, la rue Louis Lachenal, (l), puis l’avenue de la Concorde, (c o n), sur la quelle circule le tramway, (ligne A). Toujours venant du Nord, nous croisons la rue Père Joseph, (p). Nous aboutissons ensuite à la rue de la Guérinière, (g u). Le Centre de personnes âgées de la charité, (c h), se trouve sur ce boulevard.
Sur le bord supérieur de la carte, cherchons les lettres "c o n". Nous sommes sur l’avenue de la Concorde. Parcourons-la vers le Sud. Nous arrivons à l’intersection entre la rue de Genève au Nord et la rue Jean-Jacques Rousseau, (r), au Sud. Si nous suivons la rue Jean-Jacques Rousseau, nous croisons les deux branches d’une même rue, la rue Sully, (S), qui arrivent du Nord. Si nous remontons la rue de Genève, nous croisons, venant du Sud, la rue Saint-Vincent de Paul, (v), puis la rue Père Joseph, (p). Notons que la rue Saint-Vincent de Paul rejoint la rue Père Joseph dans leur partie Sud. Reprenons la rue de la Concorde et poursuivons vers le Sud. Nous croisons à l’Ouest la rue Louis Lachenal, (l). Si nous la suivons, nous croisons les deux branches d’une même rue, la rue Gandhi, (g), qui vient du Nord. En suivant la rue de la Concorde, nous aboutissons sur le boulevard de la Charité.
Et voilà! C’est la fin du voyage!! Certains d’entre vous,l’auront parcouru de bout en bout, d’autres auront joué à saute-mouton, de carte en carte, d’autres encore se seront concentrés sur un quartier, une rue de Caen. Il est possible aussi qu’il soit remisé dans un placard pendant un temps plus ou moins long avant que son possesseur pense à y recourir. Avez vous trouvé la rue que vous cherchiez ? Avez-vous pu construire un itinéraire ? Avez vous été surpris de trouver une rue à un endroit arors que vous l’imaginiez tout à fait ailleurs ? Ou bien encore, vous êtes vous contenté de flâner d’une carte à lautre, d’un trait à l’autre, d’une couleur à l’autre, au gré de votre fantaisie ?
Qu’importe. l’essentiel est que vous ayez pu vous essayer à la lecture de cet Atlas et que nous l’espérons, vous ayez le goût d’y revenir, soit pour vérifier un détail, soit pour trouver des points de repères, soit simplement pour une flânerie au bout des doigts, ou avec les yeux.
Bien que Caen ne soit pas construite autour de sommets escarpés et de vallées profondes, la ville n’est pas une plaine. Nous y trouvons, des montées, des descentes dont un plan en deux dimensions ne peut rendre compte.
Impossible de montrer le Tramway grimpant de la place saint-pierre jusqu’au Château et à l’Université. Impossible de montrer la montée du viaduc de la cavée et les coteaux de Fleury ou encore la butte sur la quelle est perchée l’église de Saint-Michel de Vaucelle. Nous avons bien essayé de montrer la variété du relief en décrivant le boulevard périphérique, tantôt passant sous une rue, tantôt en enjambant une autre sur un pont, mais pour donner une idée plus précise de la variétés de reliefs sur lesquels est construite la ville, il faudrait réaliser un plan en trois dimensions. Nous aimerions aussi ajouter quelques cartes représentant des aspects plus touristiques de la ville : un plan du château des Ducs de Normandie, un plan de la Colline aux Oiseaux, par exemple.
Les idées ne manquent pas pour que ce projet d’Atlas ne soit pas une fin en soi mais crée une dynamique tournée vers l’avenir. Nous espérons qu’il puisse être complété et qu’il sera à l’origine d’autres initiatives.
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